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Selon le journaliste, le président de la Fecafoot fait partie des personnalités à même de reconstruire le pays.

 

Plusieurs observateurs politiques annoncent la fin imminente du régime Biya. Et pour reconstruire le pays, il faudra des personnes compétentes et patriotiques. Dans une publication sur sa page Facebook, Jean-Claude Mbede estime que le futur gouvernement ne pourra pas se faire Samuel Eto’o Fils.

Le président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), tout comme d’autres personnes, font partie des personnalités à même de reconstruire le pays.

 

Lire ci-dessous sa publication :

Voici quelques futurs ministres jeunes  qui seront incontournables pour la reconstruction du Cameroun après la bataille pour la succession. Aucun gouvernement ne fera sans eux.

–  Valere Bessala, Ministre de l’administration territoriale

– Cabral LIBI, Ministre de la décentralisation et des collectivités territoriales

–  Samuel Eto’o, Ministre des  sports et du développement des infrastructures

– Jean Claude MBEDE FOUDA, Ministre de la coopération internationale, des partenariats du développement

– Abdelaziz Mounde, Ministre des affaires étrangères et de l’intégration régionale.

– Hilaire Kamga, Ministre de la réconciliation nationale, des droits de l’homme et de la Diaspora.

Ils sont une 50 aine de jeunes brillants et incontournables au totale. Demain, la liste du TOP50 des jeunes qui font le Cameroun!


 

 

 

Actu Cameroun





Le FBI a obtenu un mandat l'autorisant à examiner des courriels reliés au serveur privé de l'ancienne secrétaire d'Etat Hillary Clinton, rapportent ce dimanche soir plusieurs médias américains.

 

Ce mandat va permettre au FBI d'étudier ces courriels afin de déterminer si leur teneur ne contredit pas le résultat de l'enquête qu'il avait déjà menée sur le serveur privé de courriels utilisé par Hillary Clinton lorsqu'elle dirigeait la diplomatie américaine, de 2009 à 2013.

Aucun représentant du FBI n'était immédiatement disponible pour évoquer les informations.

La candidate démocrate pensait être débarrassée de cette affaire qu'elle porte comme une croix depuis les primaires et qui a contribué à accentuer la désaffection de l'opinion publique à son égard.

« Vous avez violé la loi »

John Podesta et Robby Mook, respectivement président et manager de la campagne démocrate, ont vivement critiqué le directeur du FBI James Comey pour avoir informé dans un courrier les parlementaires américains que l'agence allait examiner de nouveaux courriels rédigés par Hillary Clinton à partir d'une messagerie personnelle lorsqu'elle était secrétaire d'Etat.

Dimanche, le chef de file des démocrates au Sénat, Harry Reid a adressé dimanche un courrier à James Comey, laissant entendre qu'il avait violé le « Hatch Act » qui interdit d'utiliser une fonction publique gouvernementale pour influencer une élection.
« Avec vos mesures partisanes, vous avez violé la loi », a écrit le sénateur du Nevada.

« Des informations explosives »

Dans ce communiqué, Harry Reid accuse le patron du bureau fédéral d'investigation de faire « deux poids deux mesures » et d'avoir une approche partiale dans la divulgation de certaines informations.

Le sénateur va plus loin et soutient qu'« il est devenu clair » que le FBI possède « des informations explosives » sur les étroites relations que Donald Trump et ses principaux entretiennent avec le gouvernement russe.

La lettre de James Comey, envoyée en dépit des objections de responsables du département de la Justice, va plonger les derniers jours de la campagne dans un tourbillon médiatique. Donald Trump qui est en retard dans les sondages y voit la démonstration qu'Hillary Clinton est, comme il l'affirme, corrompue et indigne de confiance.

Des messages illicites

Selon des sources proches du département de la Justice, ce dernier n'aurait pas empêché le FBI d'obtenir le mandat recherché afin d'accélérer le processus.
De source proche de l'enquête, on expliquait vendredi que ces courriels ont été découverts dans le cadre d'une enquête séparée visant Anthony Weiner, mari séparé de la conseillère Huma Abedin travaillant pour Hillary Clinton.

Anthony Weiner, ancien parlementaire démocrate de l'Etat de New York, est la cible d'investigations pour des messages illicites adressés à une adolescente de 15 ans en Caroline du Nord.

Son avance dans les sondages diminue

Les agents fédéraux auraient découvert dans l'ordinateur portable de d'Anthony Weiner des éléments qui les ont conduits à penser qu'une enquête complémentaire était nécessaire dans l'affaire des courriels d'Hillary Clinton.

Avant la publication de la lettre de James Comey, Hillary Clinton comptait une solide avance sur Trump dans les sondages. Cette avance s'est, depuis, réduite.

 Avec Ouest France


Sur son compte Twitter, le député national, par ailleurs, président de l’Engagement pour la Citoyenneté et le Développement a posté ses photos, couché sur un lit d’hôpital.

Le visage tuméfié, l’opposant congolais affirme avoir été agressé par un membre de la police qui lui a ‘‘lancé un projectile’‘. Sur l’une de ses photos publiées sur son compte officiel, l’homme politique congolais a un œil totalement enflé et fermé. La partie droite de sa joue gonflée.

 Martin Fayulu s’est cependant voulu reconnaissant vis-à-vis de toutes ses partisans et personnes anonymes qui lui ont adressé des messages de soutien.

Dans un article de Jeune Afrique publié le 19 septembre 2016, à la veille de la manifestation qui a dégénéré, 17 morts (gouvernement) et 50 morts, selon l’opposition, M. Martin Fayulu a affirmé que « (…) M. Kabila, est le problème. Il suffit de regarder ce qui se passe à Beni ».
 
 A la question de l’hebdomadaire de savoir ce qu’il préconise pour sortir son pays de cette crise. Il est sans détour : «  Le 19 décembre à 23 heures 59 au plus tard, Kabila doit quitter le Palais de la nation ».

Les violences continuent dans la capitale Kinshasa, mardi les sièges de deux partis de l’opposition ont été incendiés faisant deux morts. Ils ont été carbonisés selon un journaliste de l’AFP.

AfricaNews



Le président français François Hollande a lancé mardi un appel pressant à la communauté internationale pour mettre fin au conflit en Syrie, s'exclamant à la tribune des Nations unies : «Ca suffit ! ». «Je n'ai qu'un seul mot à dire: ça suffit ! », a lancé le chef de l'Etat français pointant le régime syrien, «responsable» selon lui de «l'échec» du cessez-le feu conclu sous l'égide des Etats-Unis et la Russie.

 

«La tragédie syrienne sera devant l'Histoire une honte pour la communauté internationale si nous n'y mettons pas fin rapidement», a-t-il affirmé en qualifiant Alep (nord de la Syrie) de «ville aujourd'hui martyre». «Des milliers d'enfants sont écrasés sous les bombes, des populations entières sont affamées et des convois humanitaires attaqués, des armes chimiques sont utilisées». Il a posé «quatre exigences» de la France dans ce dossier : «imposer un cessez-le-feu, assurer l'acheminement immédiat de l'aide humanitaire, permettre la reprise des négociations politiques et sanctionner le recours aux armes chimiques».

Aucune solution diplomatique


Quelques heures plus tôt, une réunion du Groupe international de soutien à la Syrie (GISS, 23 pays et organisations internationales) présidée par le secrétaire d'Etat américain John Kerry et son homologue russe Sergueï Lavrov, n'a pas permis de trouver une solution diplomatique au lendemain de la fin du cessez-le-feu, prononcé par l'armée syrienne.

Les raids ont continué ce mardi, particulièrement à Alep, où «plus de 40 frappes aériennes» ont eu lieu depuis l'abandon de la trêve selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), provoquant la mort d'au moins 36 civils. Un convoi humanitaire a notamment été touché par un bombardement. Moscou a démenti être à l'origine de cette frappe, malgré les accusations de l'opposition syrienne, qui pointe du doigt Damas et son puissant allié russe.
Le Parisien

Depuis le début de la crise postélectorale au Gabon, il est clair que l’on n’entend pas trop les chefs d’Etats ou officiels Africains se prononcer sur la question. Qu’est-ce qui pourrait expliquer cet état des choses ?


Le seul à avoir osé prendre la parole ce, en qualité de président en exercice de l’Union africaine (curieusement), est le président du Tchad Idriss Deby Itno. Dans un communiqué publié le 3 septembre 2016, le chef de l’Etat tchadien se disait « préoccupé par l’éruption de la violence au Gabon »… 

 Comme on s’y attendait un peu, ce dernier appelait les parties prenantes « à faire preuve de la plus grande retenue et à privilégier le dialogue et la concertation dans le strict respect des procédures légales et constitutionnelles, et des instruments pertinents de l’UA, pour trouver une solution à la crise née du contentieux électoral » et promettait d’ « aider les parties prenantes gabonaises à régler leurs divergences par des moyens pacifiques en vue de préserver la paix et la stabilité au Gabon et dans son voisinage ».

 Cependant, l’opinion trouve très curieux que ce soit Deby Itno, le seul dirigeant issu de l’Afrique centrale à s’être porté garant de dire un mot sur la crise gabonaise qui pourtant devrait préoccuper l’ensemble. Plus loin, le président de la Côte d’Ivoire Alassane Ouattara a également pris la parole, mais c’était pour dénoncer l’attitude de son conseiller Mamadi Diané, accusé de s’ingérer dans les affaires intérieures du Gabon. Constat assez suffisant pour que le professeur Jean Emmanuel Pondi puisse s’y pencher. Le politologue croit savoir pourquoi les leaders Africains sont aussi silencieux. Il a détaillé sa pensée au cours de l’émission « Sans Rancune » diffusée le 16 septembre 2016 sur la télévision Vox Africa. Il rappellera d’entrée de jeu que : « Il y a gêne. Il y a le miroir dans lequel l’on se voit et ça rappelle beaucoup de situations domestiques intérieures. Voilà la vérité. Et beaucoup sont suffisamment pudiques pour se dire qu’au fond d’eux-mêmes, ils ne sont pas les meilleurs vecteurs en termes de propositions de solutions.

 C’est quand même une preuve de lucidité par rapport à leur propre parcours. Pour certains d’entre eux ». Ce qui renvoi à comprendre pourquoi seuls les responsables Français voire des pays occidentaux et des organisations internationales, ont commenté la situation tendue qui prévaut au Gabon depuis le 28 août 2016 lendemain de l’élection présidentielle à problèmes qui s’y est déroulée.

Affaire à suivre !

ÔCameroun

La seule pomme de discorde pour le moment entre les deux parties serait les modalités de ce recomptage.


Le contentieux électoral au Gabon pourrait connaitre une nouvelle tournure. Plus heureuse. En effet, le camp Ali Bongo, président réélu selon la CENAP (Commission Electorale Nationale Autonome et Paritaire), et Jean Ping l’opposant malheureux selon la même instance, ont évolué sur leur position. Les deux parties seraient favorables au recomptage des voix tel que préconisé par a France.

«Les avocats d'Ali Bongo et Jean Ping sont d'accord pour recompter des voix de l'élection présidentielle du 27 août», rapporte l’AFP. «On est d'accord pour le recomptage, mais dans les 2.579 bureaux de vote (dans tout le pays). Il faut éviter de faire de la discrimination entre le Haut-Ogooué et les huit autres provinces», a indiqué à l'AFP l'avocat d'Ali Bongo.

Seul bémol, les deux parties n’arrivent pas à s'entendre sur les modalités. «Nous voulons la confrontation des procès-verbaux alors qu'ils ne veulent travailler que sur les procès-verbaux de la Commission électorale», précise à l'AFP un porte-parole de l'équipe de campagne de Jean Ping, Jean-Gaspard Ntoutoume Ayi. Face à cette sollicitation, l’on rétorque dans le camp d’Ali Bongo que la loi dit que le recomptage se fait sur la base des procès-verbaux de l'administration, c'est-à-dire de la Commission électorale.

La Cour constitutionnelle poursuit ses travaux à Libreville. La présidente de la Cour, Marie-Madeleine Mborantsuo, et les autres juges, disposent d'un délai de quinze jours jusqu'à vendredi pour trancher, alors que des rumeurs évoquent un report de leur décision, apprend-on. 

CIN

Dimanche, l'opposant s'est proclamé "élu" devant la presse et ses partisans à Libreville. Le président sortant s’est dit vainqueur dans cinq des neuf provinces du pays. Les résultats sont attendus au plus tard mardi. 


À peine les bureaux de vote étaient-ils fermés après un scrutin qui s'est déroulé sans incident, qu'Ali Bongo et Jean Ping, les deux candidats favoris à l'élection présidentielle, ont revendiqué ​chacun avoir été élu président de la République du Gabon. Alors que les opérations de dépouillement se poursuivent, Alain Claude Bilie By Nzé, le porte-parole d'Ali Bongo - bien que n'indiquant aucun chiffre - donne vainqueur le président candidat:

"Nous sommes, au vu des informations qui nous parviennent, en mesure d'affirmer que notre candidat Ali Bongo Ondimba emporte la victoire dans notre pays. Nous sommes donc déjà en route pour un second mandat."

Devant des centaines de partisans et la presse invitée à l'occasion, Jean Ping a quant à lui fait une déclaration solennelle aux allures présidentielles: "Il n'y aura aucune chasse aux sorcières. Je serai le président de toutes les Gabonaises et de tous les Gabonais." 

Appels à la transparence


Accrédité pour cette élection présidentielle, le Haut Conseil des Acteurs Non Etatiques du Gabon appelle au respect du vote. Nicaise Moulombi est le président du HCANEG: "À cette élection, pour la première fois, la transparence a joué. Il faut que cette transparence aille jusqu'au bout. Donc nous demandons à tous les candidats de se réserver de toutes déclarations et nous avons foi en nos institutions car elles seront devant l'histoire des générations actuelles et futures."
Dans un communiqué, le ministère de l'intérieur a invité les différentes parties à ne donner aucun résultat ou à ne s'aventurer à une quelconque déclaration de victoire. La Commission électorale autonome et permanente (Cénap) annonce que les résultats seront connus au plus tard mardi.

Le PS français pour l'alternance


En France, ancienne puissance coloniale encore influente au Gabon, le Parti socialiste a prévenu dans un communiqué qu'il serait "d'une extrême vigilance" à l'heure des résultats. Le PS souligne qu'une "alternance serait signe de bonne santé démocratique et un exemple" étant donné que la famille Bongo gouverne le Gabon depuis un demi-siècle.

DW

Publié le dimanche 28 août 2016  Par  M. Lambert – Noël Matha, Secrétaire Général du Ministère de l’Intérieur, de la Décentralisation, de la Sécurité et de l’Hygiène Publiques de la République Gabonaise 


Ce samedi 27 août 2016, 

628 124 Gabonais en âge de voter sont appelés aux urnes pour élire le président de la République pour les sept prochaines années.

Je me dois d’entrée de rappeler à tous et à chacun que l’administration et la gestion des scrutins au Gabon relève de la compétence exclusive de la Commission Électorale Nationale Autonome et Permanente (CENAP).

Cependant, le Ministère de l’Intérieur ayant la charge de l’administration du territoire et de la sécurité des personnes et des biens, peut, sans s’immiscer dans les prérogatives de la CENAP, faire le point du déroulement des opérations électorales au moment où s’approche le terme des opérations de vote.

Globalement, les opérations de vote ont démarré assez tôt sur l’ensemble du territoire et à l’étranger notant quelques retards observés dans certains centres à Libreville du fait de l’absence à 7h30 des scrutateurs, toutes tendances confondues ainsi que celle de certains représentants de candidats.

Ce retard accusé par les scrutateurs participe en réalité, qu’étant eux-mêmes électeurs, ils ont dû tout d’abord aller accomplir leur devoir citoyen dans des centres autres que ceux dans lesquels ils ont été désignés.

Ce qu’il y a lieu de retenir, ce que l’on a noté, est un engouement indéniable de la part des électeurs, ce qui traduit l’intérêt de nos compatriotes pour la gestion de la chose publique et partant pour le choix de ses dirigeants.

De plus, la présence massive sur le terrain des observateurs aussi bien internationaux que nationaux, prouve à suffisance le respect par les pouvoirs publics de l’engagement pris de voir cette élection et celles à venir de se tenir en toute transparence.

Cette transparence commande également le respect des règles régissant le processus électoral.

En effet, autant la gestion du scrutin relève de la CENAP, autant seul cet organe et ses démembrements locaux sont compétents dans la centralisation et la publication des résultats.

L’annonce ou la publication des résultats électoraux ne relèvent donc ni d’un individu ni d’un parti politique fut-il de la Majorité ou de l’Opposition.

Enfin il faut saluer la maturité des citoyens gabonais qui ont fait montre de calme et de civisme car, malgré la passion qui caractérise toute compétition y compris électorale, l’on n’a pas enregistré d’incidents majeurs.

Ce comportement républicain doit demeurer pour préserver la paix, la stabilité et la démocratie voulues par tous.

Je vous remercie.

Le Défis Gabon


Les 628 124 gabonais inscrits dans la liste électorale étaient hier appelés aux urnes dans 2 580 bureaux de vote. Le scrutin organisé à l’occasion de cette élection présidentielle au Gabon s’est déroulé dans le calme sans heurt notable dans l’ensemble du pays. Et le Ministère de l’Intérieur note un taux de participation élevé.


Le déroulé de l’élection dans sa globalité est satisfaisant du point de vue des observateurs et des institutions. Les résultats sont en cours de dépouillement avant d’être compilés et communiqués par les organismes habilités.

L’annonce est prévue pour ce mardi 30 août vers 17h et les prinipaux responsables rappellent une nouvelle fois que les textes de lois précisent le fait que la seule et unique annonce de résultats qui soit officielle et reconnue sera celle annoncée par le Ministre de l’Intérieur Pacôme Moubelet Boubeya lors de l’intervention prévue à cet effet.
Cette annonce sera ouverte à la presse et retransmise en direct par les chaînes de télévision et de radio présentes.

Le Ministère rappelle également que l’annonce de résultats par un organisme, groupe ou personnalité tierces est hors la loi. « Plus que jamais nous en appelons au calme et rappelons qu’il est illégal de proclamer des résultats chiffrés en amont de l’annonce des autorités compétentes, comme le stipule la loi » a déclaré Pacôme Moubelet Boubeya.

Par ailleurs, conformément à l’annonce du 27 août, le Ministère rapporte que les frontières ont été rouvertes à 20:00 le 27 août suite à la clôture du vote.

Il est donc crucial pour la paix et la stabilité du Gabon que les acteurs politiques et leurs partisans respectifs attendent sereinement l’annonce des résultats et évitent les actes ainsi que les propos qui risquent de provoquer des troubles dans le pays.

Le Défis Gabon

Malgré tous les efforts de la France et de l'Onu pour stabiliser la situation au Mali, les Maliens sont pessimistes quant à l'incertitude grandissante dans le pays. 

Alors que le gouvernement du pays est inactif, ses habitants espèrent mettre fin à la crise et à l'incertitude en appelant à l'aide le président russe Vladimir Poutine pour qu'il résolve leurs problèmes, a annoncé le journal malien Actusen.com.

Dans cette optique, une commission spéciale entend recueillir 8 millions de signatures de citoyens du pays afin que le président russe "intervienne dans la crise malienne". Les Maliens croient que "la Russie doit sauver le Mali". Ils ne sont pas satisfaits des progrès accomplis par la France en termes de règlement de la crise, déclarant que "la France n'est pas pour la paix au Mali". C'est pourquoi, citant en exemple les actions des forces aérospatiales russes, les Maliens ont décidé de demander de l'aide au numéro un russe. Malgré la présence de la Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation au Mali (MINUSMA), l’opération anti-terroriste "Barkhane" menée par les Français et de l’accord d’Alger, conclu entre le gouvernement malien et les rebelles touareg, la situation dans le pays reste très tendue. Le week-end dernier, dans la ville de Ségou au sud du Mali, des "patriotes locaux" ont lancé une pétition. Ainsi, avec un représentant dans chaque ville du pays, la commission va tenter de recueillir 8 millions de signatures auprès des Maliens afin de légaliser leur initiative. D'après les Maliens, les autorités maliennes donnent l'impression de ne pas maîtriser la situation.

Le nord du Mali était tombé, en mars-avril 2012, sous la coupe de djihadistes liés à Al-Qaïda, après la déroute de l'armée malienne face à la rébellion à dominante touareg, d'abord alliée à ces groupes qui l'ont ensuite évincée. Les djihadistes ont alors été dispersés et ont été en grande partie chassés du pays à la suite du lancement en janvier 2013, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire internationale qui se poursuit actuellement. Mais des zones entières échappent toujours au contrôle des forces maliennes et étrangères.
 
Sputnik


Les Gabonais iront aux urnes le 27 août pour élire leur président. Douze candidats sont en lice pour cette élection dont le président sortant Ali Bongo. Mais à mesure que la date du scrutin approche, le pays et plus particulièrement Libreville, la capitale est sous haute tension.


A Libreville, pouvoir et opposition ne cessent de multiplier les escarmouches, laissant craindre une élection présidentielle tendue, qui sera organisée en un seul et unique tour. Tout a commencé par la polémique autour de l’authenticité de l’acte de naissance du président Bongo. Ce sujet a été longtemps considéré comme argument de taille de l’opposition qui est allée jusqu’à demander la disqualification de l’actuel président.

La tension est montée d’un cran durant la campagne électorale, mais aussi avant lorsqu’un rassemblement pacifique de quelques centaines d’opposants à Libreville au mois dernier a été violemment dispersé à coups de grenades lacrymogènes par les forces de l’ordre. Il s’en était suivi la décision de la Cour constitutionnelle du Gabon qui avait rejeté les recours introduits par trois opposants contre la candidature à la présidentielle du chef de l’Etat sortant, Ali Bongo Ondimba, qu’ils accusent d’inéligibilité. Une situation qui s’était aggravée au moment où un collectif d’avocats dénonçait la « détention arbitraire » de plusieurs syndicalistes arrêtés le 9 juillet, en marge d’un meeting pro-Bongo, et, réclamait leur libération.

En attendant le jour du vote, les Gabonais restent majoritairement sceptiques quant à la transparence du prochain scrutin, même si plusieurs observateurs étrangers se trouvent dans le pays : 50 de l’Union européenne et 75 de l’Union Africaine. Ces observateurs auront accès à toutes les étapes le jour du scrutin, notamment l’ouverture des bureaux de vote, le vote lui-même, et le dépouillement des résultats, selon la commission électorale nationale autonome et permanente.

Avec AIAC

Une dizaine de chars turcs ont lancé l'opération "Bouclier de l'Euphrate" en Syrie ce mercredi matin, dans une offensive visant à la fois Daech et les milices kurdes.

 

Une dizaine de chars turcs sont entrés en territoire syrien ce mercredi 24 août au matin et tirent actuellement en direction de positions tenues par le groupe Etat islamique dans la localité frontalière de Jarablos, comme le constate l'AFP. 
Ankara avait annoncé au cours du week-end vouloir jouer un rôle plus actif en Syrie : cette opération, baptisée "Bouclier de l'Euphrate", est la plus ambitieuse de la Turquie depuis le début du conflit syrien en 2011. Le vice-président américain Joe Biden est arrivé en milieu de matinée à Ankara où il doit rencontrer le Premier ministre Binali Yildirim, puis le président Recep Tayyip Erdogan.

L'armée turque, soutenue par les forces de la coalition internationale antidjihadiste, a lancé avant l'aube (4h heures locale) l'opération, qui engage également ses avions de combat et ses forces spéciales. Des F-16 turcs, accompagnés d'avions de la coalition, ont largué des bombes sur des sites djihadistes. 

Vers 7h heures locale, un communiqué officiel du Bureau du Premier ministre confirmait le déclenchement des hostilités :

"Les forces armées turques et les forces aériennes de la coalition internationale ont lancé une opération militaire visant à nettoyer le district de Jarablos de la province d'Alep de l'organisation terroriste Daech".

Des centaines de rebelles syriens soutenus par Ankara (Armée syrienne libre), acheminés par bus, se sont également préparés à une offensive sur le terrain. Ce mercredi en fin de matinée, ils avaient pénétré sur 3 kilomètres à l'intérieur du territoire syrien.


Objectif : damer le pion aux milices kurdes

L'état-major vise une opération rapide. Le ministre de l'Intérieur Efkan Ala, premier responsable turc à s'exprimer après le déclenchement de l'offensive, a déclaré :

"Je pense que cette menace sera éradiquée dans un court délai."

L'agence de presse progouvernementale Anadolu a précisé que sur 12 cibles visées par les chasseurs, 11 ont déjà été détruites. Des sources militaires ont par ailleurs indiqué à la télévision l'artillerie avait éliminé 70 cibles.



Un char d'assaut turc en direction de la Syrie, ce mercredi 24 août. (BULENT KILIC / AFP)

Bien que l'attaque vise ses ennemis, le régime de Bachar al-Assad a dénoncé ce mercredi l'incursion turque sur son territoire, pointant une "violation flagrante" de la souveraineté du pays.

Les Kurdes également visés

Jarablos est le dernier point de passage contrôlé par Daech à la frontière turco-syrienne depuis sa retraite de Minbej. Ankara avait ordonné mardi soir aux habitants de Karkamis, qui fait face à Jarablos du côté turc, d'évacuer la ville pour "des raisons de sécurité".
Mardi, un responsable turc avait indiqué que cette opération était également motivée par la volonté d'Ankara d'empêcher la prise de contrôle de Jarablos par les FDS, qui combattent également Daech dans la zone.

L'offensive a pour but de "mettre un terme" aux problèmes à la frontière turque en général et vise aussi les milices kurdes, a confirmé ce matin le président turc Recep Tayyip Erdogan. Un sujet qui devrait largement occuper les discussions avec Washington ce mercredi : les Forces démocratiques syriennes (FDS), alliance de combattants kurdes et de groupes armés arabes, sont en effet soutenues par la coalition.

OBS


L'ancien chef de l'Etat publie un nouveau livre Tout pour la France dans lequel il dresse ses cinq axes de campagne : la vérité, l'identité, la compétitivité, l'autorité, la liberté.


«J'ai décidé d'être candidat à l'élection présidentielle de 2017. La France exige qu'on lui donne donne tout. J'ai senti que j'avais la force pour mener ce combat à un moment si tourmenté de notre histoire». C'est par cette phrase, rédigée sur la quatrième de couverture d'un nouveau livre (Tout pour la France, publié chez Plon) que Nicolas Sarkozy marque lundi son entrée en campagne. «J'ai hésité, j'ai retourné les données du débat dans tous les sens. J'ai essayé d'être le plus honnête possible vis-à-vis des autres, de ma famille, comme de moi-même», confie-t-il. Alors Nicolas Sarkozy a «écouté» et puis «finalement (il) a décidé». «Ce fut comme un soulagement car l'évidence s'était imposée», note-t-il.

Ce livre, ajoute l'ancien président, «est le point de départ». «Face à tant de défiance à l'égard de la parole publique, je veux convaincre les Français que le débat de la campagne doit s'intégrer à part entière au mandat présidentiel», poursuit-il. Pour l'ex-chef de l'Etat, «c'est seulement en disant tout avant, que nous aurons le légitimité pour tout faire après. Rien ne sera possible sans cette exigence de clarté».





 Cette esquisse de programme, il la présente en cinq axes comme autant de «grands défis à affronter». La vérité; l'identité, «notre premier combat pour défendre notre mode de vie»; la compétitivité pour que la France «redevienne une puissance économique»; l'autorité alors que «l'autorité du maître à l'école n'a jamais été autant remise en cause» et que «des minorités gagnent leur chantage contre le pouvoir en place»; et la liberté, «un atout pour rétablir la confiance et l'espoir dans l'avenir». Pour Nicolas Sarkozy, «les cinq années qui viennent seront celles de tous les dangers mais aussi de toutes les espérances».


Décidé à tranformer son entrée en campagne en événement qui soufflerait les ambitions présidentielles de ses concurrents, Nicolas Sarkozy prend tout le monde de court en révélant lundi la publication d'un nouveau livre. Le deuxième en huit mois. Si son entrée en campagne avant le 25 août ne laissait place à aucun doute, le projet d'écrire un nouvel ouvrage n'avait pas été confirmé par l'entourage de l'ex-chef de l'Etat. 

Après le succès de La France pour la vie (Plon), publié en janvier dernier et vendu à plus de 100.000 exemplaires, Nicolas Sarkozy compte transformer l'essai. Depuis le début de l'année, il a fait de chacune de ses séances de dédidaces une tribune. Dans nombre de librairies ou de centres commerciaux, parfois situés en zones péri-urbaines, plusieurs centaines de personnes se sont déplacées pour le rencontrer. L'occasion de renouer le lien avec les militants, le président des Républicains se disant certain que ceux qui paient 19,90 euros pour son livre et attendent des heures pour une signature seraient les premiers à aller voter le jour de la primaire.

En hausse dans les sondages

Une stratégie qui a effectivement semblé payer. Mois après mois, Nicolas Sarkozy a repris du terrain dans les sondages. Certains instituts indiquent même qu'il est au coude à coude avec Alain Juppé chez les seuls sympathisants Les Républicains. Toutefois pas encore suffisamment pour dépasser le maire de Bordeaux dans les enquêtes qui portent sur le second tour de la primaire, à laquelle pourrait participer un cercle plus large d'électeurs. «Je participerai à la primaire de la droite et du centre. J'en respecterai chacune des règles», confirme Nicolas Sarkozy.
Douze candidats sont déjà en piste pour la primaire à droite, programmée les 20 et 27 novembre. Ils devront être toutefois beaucoup moins à pouvoir effectivement se présenter, vu le nombre requis de parrainages pour finaliser leur démarche (250 élus dont au moins vingt parlementaires, et 2500 adhérents).

Le Figaro

L’ex-rebelle et ancien vice-président sud-soudanais Riek Machar, chassé de la capitale en juillet par de violents combats, a récemment quitté le Soudan du Sud et se trouve actuellement en République démocratique du Congo, a-t-on appris de sources concordantes.

Si la localisation exacte de M. Machar en RDC demeurait floue jeudi soir, un porte-parole de l’ONU à New York, Farhan Haq, a précisé que M. Machar avait été pris en charge par la Mission de l’ONU en RDC (Monusco) avant d‘être remis aux autorités congolaises.

“La Monusco a appris hier (mercredi) la présence de M. Machar en RDC et les autorités congolaises ont demandé à la Monusco de faciliter son extraction et son transfert. Il a été remis aux autorités de la RDC”, a déclaré Farhan Haq.


La prise en charge de M. Machar et de sa famille s’est faite pour des “raisons humanitaires” et “avec son consentement”, a déclaré le porte-parole, ajoutant que l’opération s‘était déroulée “dans une zone près de la frontière avec le Soudan du Sud”.

“Nous lui avons fourni l’aide médicale dont il avait besoin”, a indiqué le porte-parole, sans donner plus de précisions.

Selon M. Haq, les Nations unies ne savent pas précisément où, sur le territoire congolais, se trouve à présent M. Machar mais, “nous pensons qu’il n’est pas à Kinshasa”.

Selon une source proche du dossier, M. Machar pourrait séjourner à Kisangani (centre-nord) mais aucune source officielle n’a confirmé cette information.

Plus tôt, un responsable du SPLM-IO – parti de M. Machar – avait indiqué à l’AFP que l’ex-chef rebelle se trouvait “à Kinshasa” et qu’il souhaitait “rejoindre au plus vite l’Ethiopie” où il donnerait une conférence de presse.

M. Machar s‘était réfugié à plusieurs reprises en Ethiopie lors de la guerre civile au Soudan du Sud, débutée fin 2013.

Riek Machar avait fui Juba à l’issue de combats à l’arme lourde dans la capitale du 8 au 11 juillet entre forces loyales au président Salva Kiir et les ex-rebelles répondant à ses ordres. Ses hommes, en infériorité numérique, avaient dû quitter la ville. M. Machar a depuis été remplacé au poste de vice-président par son ancien allié Taban Deng Gai.

Les camps Kiir et Machar se rejettent la responsabilité des combats de juillet, qui ont mis en péril le fragile accord de paix d’août 2015, destiné à mettre un terme à une guerre civile débutée en décembre 2013 et ayant fait des dizaines de milliers de morts et 2,5 millions de déplacés.

M. Deng, nommé par Salva Kiir le 25 juillet, a appelé mercredi Riek Machar à rester à l‘écart des affaires politiques du pays afin de permettre la mise en oeuvre d’un accord de paix.

Mais le soutien dont dispose M. Deng au sein de l’ethnie nuer (de M. Machar) et des forces ex-rebelles reste difficile à évaluer alors que plusieurs cadres de l’ex-rébellion, en exil ou à l’extérieur de Juba, ont vécu sa nomination comme une trahison.

Le Conseil de sécurité de l’ONU a autorisé vendredi dernier le déploiement de 4.000 soldats onusiens en plus des 13.500 Casques bleus se trouvant déjà dans le pays, pour assurer la sécurité à Juba et dissuader les attaques contre les bases de l’ONU.

Juba n’a pas encore accepté le déploiement de cette force.

Avec AfricaNews


L’information a été rendue officielle tard dans la nuit de lundi à Libreville ! Jean Ping, ancien président de la Commission de l’Union africaine est bien le candidat unique de l’opposition gabonaise pour le compte du Front uni de l’opposition pour l’alternance. Les deux plus grosses pointures candidats en lice pour l’élection présidentielle, Casimir Oyé Mba, de l’Union nationale et Guy Nzouba Ndama, du mouvement dissident du PDG ’’Héritage et Modernité’’ ancien président du Parlement gabonais se sont retirés de la course pour se ranger derrière le diplomate chevronné, docteur en économie en vue de faire barrage à Ali Bongo.

Jean Ping sera bien l’unique candidat de l’opposition gabonaise face à Ali Bongo. Cette annonce sera rendue officielle aujourd’hui, à l’occasion d’une importante rencontre suivie d’une déclaration qui sera organisée cet mardi après-midi à partir de 14h à Nkembo. Cette information, loin d’être un secret de polichinelle, confirme ainsi les ambitions présidentielles des cadors de l’opposition gabonaise qui ont réussi à l’arrachée à faire taire enfin leurs velléités personnelles pour faire bloc et campagne contre le régime au pouvoir depuis 1968.
Avant d’entamer une tournée provinciale inédite, jamais organisée par aucun homme politique gabonais, villages après villages, l’ancien président de la Commission de l’Union africaine, jadis baron du parti au pouvoir passé dans l’opposition, avait officialisé sa candidature dès août 2015 en ces termes : "après mure réflexion, j’annonce solennellement, du haut de cette tribune de la ville d’Oyem, aux peuples du Woleu-Ntem et du Gabon tout entier, que je suis officiellement candidat à la candidature unique de l’opposition pour les prochaines échéances présidentielles et que j’irai jusqu’au bout".
Jean Ping, candidat à l’élection présidentielle qui a sillonné le Gabon depuis plusieurs mois à travers une tournée provinciale et une campagne de terrain et qui a marqué le pas avant ses pairs avait été déjà désigné vendredi 15 janvier 2016 à Libreville, candidat unique de l’opposition pour la présidentielles, après un vote qui s’était fait suite à une une audition au sortir de laquelle, il avait été plébiscité à l’unanimité par les seize membres (sur 27) du Front uni de l’opposition pour l’alternance (FUOPA).

En effet, à cette période sur les 27 partis et personnalités du Front, 16 avaient choisi Jean Ping quelques heures après le vote qui avait eu lieu au siège du Front dans le quartier de Glass à Libreville en officialisant sa candidature à l’investiture de l’opposition le 5 janvier 2016, prenant de court le rappel à l’ordre du président en exercice du Front, le Pr André Kombila. Quelques temps plus tard, l’ancien président de la Commission de l’UA avait poursuivi sa campagne à travers l’arrière pays entamé depuis plusieurs mois en se mettant derrière son dos les partisans de l’Union Nationale, principale parti de l’opposition avec son éphémère DTE (Destitution-Transition-Election), qui n’a jamais vu le jour.
Lors de sa tournée dans l’intérieur du Gabon, Jean Ping expliqua sa vision pour une alternance et un changement démocratique. Ainsi, lors du meeting de clôture de sa tournée provinciale dans l’Estuaire, Jean Ping avait décliné clairement son projet politique. En affirmant en ces termes : « Je voudrais également formuler pour notre pays, les vœux d’espoir, d’alternance et de changement. L’année 2016 doit être celle où, à l’unisson, nous instituons une Nouvelle République afin d’ouvrer dans l’unité partagée par tous pour que les Gabonaises et les Gabonais vivent désormais à l’abri de la peur et du besoin ».

Parlant de l’engouement populaire pour le changement des autorités politiques gabonaises à la tête de l’Etat, Jean Ping indiquait que, «  cette mobilisation exceptionnelle du peuple gabonais en faveur de l’alternance démocratique tant attendue par les citoyens républicains depuis un demi-siècle, est, à n’en point douter, le témoignage vivant de votre foi inébranlable et votre attachement indéfectible à notre chère République Gabonaise qui est Une et Indivisible ! D’où il avait ressassé durant toutes ses sorties publiques son désir d’union et de voir tous les opposants former un seul bloc autour de lui pour battre Ali Bongo ».

Jean Ping, challenger assuré d’Ali Bongo pour la présidentielle de 2016 faisait remarquer aussi que, « cette mobilisation exceptionnelle des populations de toutes les neuf provinces du Gabon en faveur de l’alternance démocratique est assurément un camouflet et une mémorable défaite politique de cet Etat-PDG moribond, honni, rejeté, impopulaire et volontiers dégradant de l’âme gabonaise pourtant généreuse à maints égards. Mais sans l’union de toutes les forces du changement ce rêve démocratique pourrait être encore retardé. D’où martelait-il, je vais me battre avec toute la dernière énergie à ce que nous travaillions à taire nos désirs et ambitions personnels afin de faire respecter les aspirations du peuple gabonais qui exigent une candidature unique pour tourner la page radicalement avec Ali Bongo et son régime dictatorial, en panne d’idées pour la dignité du Gabon  ».

Il faut noter que la désignation de sa candidature qui a été âprement discutée en interne durant plusieurs mois, par un conclave répété où ont pris part tous les cadors de l’opposition gabonaise s’inscrit donc dans le cadre du Front qui réclame toujours de meilleures conditions de transparence électorale. Plusieurs observateurs analystes, politologues et historiens de la politique gabonaise semblent lucides pour reconnaître que tous les gages de transparence électorale ne sont pas respectés. Avec de telles institutions, Ministère de l’intérieur, CENAP, Cour Constitutionnel, Conseil national de la communication (CNC), les forces de l’ordre et l’armée gabonaises, tous à la solde du régime d’Ali Bongo, le sort de cette élection de toutes les tensions est déjà connu d’avance. Au regard des manigances du fichier électoral, sujet à plusieurs irrégularités flagrantes, le président sortant sera nul doute déclaré vainqueur au soir du scrutin du 27 août prochain. Mais quel sera la réaction du peuple gabonais face à cette énième forfaiture ?

Info241


Les deux hommes d‘État se sont rencontrés dans l’ouest du Rwanda, où Joseph Kabila s’est fait accompagner d’une importante délégation. Une visite au cours de laquelle les questions sécuritaires, commerciales et coopération ont été abordées, fait savoir un communiqué.

 

Les relations bilatérales entre la République démocratique du Congo et le Rwanda longuement évoquées ce vendredi au cours d’une rencontre entre les présidents des deux pays. Joseph Kabila, président de la République démocratique du Congo s’est rendu à Rubavu, dans l’ouest du Rwanda où il a rencontré son homologue Paul Kagamé. Accompagnés de délégations ministérielles importantes, les deux hommes ont égrainé un chapelet relatif à leur coopération. 


"Notre vœu est de voir nos peuples vivre en paix..." (Paul Kagamé)


Point pour le moins important, celui de la sécurité. A ce propos, “les deux parties se sont félicitées des progrès réalisés dans les efforts visant à l‘éradication des forces négatives, et ont également souligné l’importance de la mise en place d’un mécanisme étroit d‘échange de renseignements”, détaille un communiqué de presse conjoint. En effet, la présence dans l’est de la RDC de la rébellion des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) – groupe hostile au régime Kagamé – a longtemps fait régner un climat délétère entre Kinshasa et Kigali. Une rébellion que le gouvernement rwandais accuse son voisin congolais de soutenir. De son côté, Kinshasa n’a pas digéré l’ingérence du Rwanda lors des deux guerres du Congo (1996-1997 et 1998-2003), où il avait ouvertement soutenu des milices. 

Outre ce volet sécuritaire, les deux homologues ont échangé sur le commerce transfontalier et de l‘énergie, notamment “dans l’exploitation du gaz méthane dans le lac Kivu”. “L’intensification des relations diplomatiques” fait également partie des promesses approuvées par les présidents Kabila et Kagamé.
Néanmoins, aucune brèche sur les affaires politiques congolaises n’a été ouverte à Rubavu, tient à préciser un membre de la délégation congolaise, alors que des voix s’interrogent sur les récentes visites du président Kabila aux présidents ougandais Yoweri Museveni (la semaine dernière) et congolais Denis Sassou Nguesso (fin juin). 

Pour rappel, Joseph Kabila – qui termine ses deux mandats constitutionnels en décembre – est sous pression de ses opposants politiques qui l’accusent de vouloir se maintenir au pouvoir en repoussant l’organisation de la présidentielle censée se tenir en décembre 2016.

Avec AfricaNews


Ils ont à leur tête deux chefs d'Etat jeunes, conduisant leur pays dans le cadre respectif d'un projet national similaire baptisé Programme stratégique Gabon émergent (PSGE) et Programme Sénégal émergent (PSE).




Le ministre des Affaires étrangères a reçu, le 9 août courant, à Libreville, Abdoulaye Sally Sall, envoyé spécial du président sénégalais.

Abdoulaye Sally Sall est au Gabon, porteur d’un «important message à la très haute attention du président de la République, Ali Bongo Ondimba». Avant la remise du document, il a échangé avec le ministre des Affaires étrangères, rappelant que la coopération entre le Gabon et le Sénégal est exemplaire en tout point. «Ils ont à leur tête deux chefs d’Etat jeunes, conduisant leur pays dans le cadre respectif d’un projet national similaire baptisé Programme stratégique Gabon émergent (PSGE) et Programme Sénégal émergent (PSE)», a déclaré l’émissaire du chef de l’Etat sénégalais.


 Issozet Ngondet recevant, des mains d’Abdoulaye Sally Sall, la lettre de Macky Sall. © D.R.

Si le contenu du message n’a pas été dévoilé, on sait néanmoins qu’Abdoulaye Sally Sall n’est pas à sa première visite au Gabon. Il y était déjà venu le 24 juillet 2015. Cette fois-là, il venait s’enquérir des conditions du décès d’un Sénégalais au cours d’une garde à vue à la gendarmerie. Il voulait aussi se faire une idée de la situation des Sénégalais en situation irrégulière au Gabon.

Abdoulaye Sally Sall n’est donc pas en terre inconnue. Proche de Macky Sall, il connait bien le Gabon pour y avoir longtemps vécu.

Gabon Review 

 

C’est la première fois depuis l’instauration des relations diplomatiques entre les deux pays que le Bénin fait une telle demande à la France.


Le Bénin a demandé aux autorités françaises de restituer les reliques africaines emportées de ce pays à l’époque coloniale. Selon les spécialistes en art africain, il s’agit notamment du trône de Glélé, le deuxième roi d’Abomey.

Le Bénin envisage également d’obtenir encore quelques reliques du palais royal. C’est la première fois que le Bénin entreprend cette démarche depuis l’instauration des relations diplomatiques entre les deux pays.

D’ailleurs, le prince Guézo, l’héritier du trône d’Abomey, a envoyé la même demande à François Hollande, à laquelle l’entourage du président français n’a opposé aucun refus.

Cependant, la conseillère Afrique de François Hollande, Hélène Le Gal, n’est pas d’avis qu’il s’agisse d’un « pillage colonial ». Selon Mme Le Gal, le roi Béhanzin « a offert son trône, son sceptre et les statues de son père et de son grand-père de façon volontaire en vertu du droit international » avant d’être expulsé en Martinique.

Les initiateurs de la restitution de la collection ne baissent cependant pas les bras et se sont néanmoins assuré l’appui d’organisations influentes telles que le groupe d’ambassadeurs africains au sein de l’Onu pour l’éducation, la science et la culture (Unesco).

La dirigeante de la fondation culturelle franco-béninoise Marie-Cécile Zinsou estime qu’environ 5.000 œuvres d’art béninois se trouvent pour le moment dans divers musées français.

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