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Le véhicule a été volé dans l’enceinte de l’auberge où le chauffeur y était pour satisfaire sa libido. Il est poursuivi par son patron pour abus de confiance.
 
Dans les faits, Moustapha, chauffeur d’un consultant indépendant, de retour d’une mission à Mao, est parti s’envoyer en l’air dans une auberge. Il a eu le malheur d’y aller avec le véhicule de son patron (Hilux bombé). Pourtant, il l’avait instruit de parquer le véhicule au garage pour maintenance. Après une nuit bien arrosée dans l’auberge, Moustapha a été surpris de constater le lendemain matin la disparition du véhicule.
 
Devant les juges correctionnels du tribunal de grande instance de N’Djamena, le chauffeur reconnait les faits et dit regretter son acte. Cependant, il s’étonne de ce vol opéré dans l’enceinte de l’auberge où il y avait passé sa nuit avec sa gonzesse. “J’ai pris le soin de garer le véhicule à l’intérieur et j’ai informé l’agent de sécurité de service”, a-t-il clamé devant les juges.
 
Le patron réclame son véhicule. L’affaire est renvoyée au 25 octobre pour convocation des témoins.


Source : Tchadinfos



 

Les faits se sont déroulés à N’Djamena. Les relations entre un veilleur (aveugle) et sa guide sont strictement professionnelles et basées sur la confiance mutuelle et le respect des limites.

 

Cependant, il arrive parfois que ces frontières soient franchies, ce qui peut conduire à des conséquences inattendues et complexes. C’est le cas d’un aveugle, Abba Moussa, âgé de 52 ans et sa guide X, âgée de 16 ans. La guide est la fille aînée de Haoua, l’épouse de Abba Moussa qu’elle a eu avec un autre homme avant d’épouser ce dernier. Devenu aveugle à 40 ans, n'ayant pas d’enfants, Abba Moussa a eu comme guide la fille aînée de son épouse Haoua. La guide X a commencé à sillonner avec Abba Moussa Gand, elle avait 10 ans.

 

A 16 ans, les deux se sont familiarisés et devenus de complices. L’épouse Haoua, commerçante, est tranquille dans son marché. Durant six ans, la guide et Abba Moussa, passaient tout leur temps à mendier dans les rues et se retrouvaient avec la maman le soir la maison pour partager le butin.

 

Un jour, l’épouse Haoua est allée à Bongor pour un cas de décès où elle a mis trois mois avant de revenir. Elle communiquait au téléphone avec sa fille et son mari, mais à sa grande surprise, à son retour de Bongor, elle trouve que sa fille est en grossesse.

 

Les voisins ont commencé à s’interroger, et l’affaire a pris une autre tournure, la fille va avouer à son papa que ce son père, le vieil aveugle qui l’a mise enceinte. La guide justifie qu’elle essayait de résister, mais comme ils étaient souvent à deux dans la chambre, il a profité pendant le sommeil pour la violer.

 

Ne pouvant pas supporter l’acte posé par son mari, l’épouse Haoua a pris sa fille X, guide devenue maîtresse de son mari pour aller chez ses parents à Bongor, abandonnant Abba Moussa dans son triste sort.

 

Pour les voisins, c’était une abomination, c’est pour cela qu’ils ont demandé l’extraction du vieux loup du quartier. Une relation de proximité peut parfois créer des liens intenses entre deux parties, dépassant les limites professionnelles, mais il faut savoir faire preuve de maturité et de discernement pour gérer ces situations de manière responsable.

Source : alwihdainfo




Le fait divers se déroule en Côte d'Ivoire. Un faux agent des douanes ivoiriennes a été interpellé par le service régional de la police économique et financière de Bouaké. Ce dernier est soupçonné d'avoir escroqué 24 millions de francs CFA à une institutrice lui promettant d'inscrire les noms de ses protégés sur la liste des admis à la Fonction publique.

 

Le nommé KN est tombé dans les filets de la police économique de Bouaké. Cet individu est accusé de s'être fait passer pour un informaticien exerçant à la Fonction publique, notamment dans les douanes ivoiriennes. Les faits ont eu lieu en 2021.

 

En effet, le mis en cause a promis à dame KS, institutrice de formation, d'intégrer plusieurs de ses intègres à la Fonction en insérant leurs noms dans la liste des admis. Selon les informations recueillies auprès de la Police nationale, KN a empoché la bagatelle somme de 24 millions de francs CFA.

 

À la proclamation des résultats, la dame a été désillusionnée quand aucun de ses protégés ne figurait sur la liste des admis. Elle a vainement tenté de se faire rembourser. C'est ainsi qu'elle a décidé de porter l'affaire devant les autorités compétentes.

 

Finalement, le samedi 21 octobre 2023, les agents de la police économique de Bouaké ont mis le grappin sur le faux fonctionnaire. Après l'avoir interpellé, les policiers se sont déportés à son domicile. La perquisition a permis de découvrir un pistolet automatique, trois munitions, une menotte, un insigne, une tenue kaki de la douane ainsi que des amulettes.


Source : 


 



Une vidéo circulant sur la toile a choqué de nombreux internautes, dont Hassan Hayek. Un ressortissant libanais a tiré à bout portant sur un jeune Ivoirien. Les faits ont eu lieu dans la commune de Cocody, précisément à Angré.

Un Libanais tire sur un Ivoirien, Hassan Hayek demande pardon

La scène s'est déroulée au quartier Angré de Cocody. Une vidéo publiée sur la toile montre des individus en colère contre un ressortissant libanais accusé d'avoir tiré à bout portant sur un jeune Ivoirien.

Les informations recueillies auprès de la victime soutiennent que les deux individus sont trempés dans une affaire de contrefaçon et le Libanais devrait 600 000 francs CFA à la victime. Lorsque ce dernier est parti lui réclamer son dû, son associé a fait usage de son arme à feu.

Hassan Hayek a immédiatement réagi face à ce drame. "Je viens de voir la vidéo du jeune libanais qui a tiré dans le pied du jeune ivoirien ! Je suis juste catastrophé de cet acte impardonnable ! Pour une énième fois , un acte isolé met à mal toute une communauté ! Je voulais demander aux responsables de la communauté libanaise s’il y’en a de prendre leur responsabilité !", a écrit Hassan Hayek sur sa page Facebook.

"Nous sommes fatigués de subir une colère d’ailleurs que je trouve légitime à cause des agissements de certaines personnes qui je ne sais pas comment qualifier !

Hier c’était San Pedro, aujourd’hui c’est Angré !", a martelé le "Vagabond de la charité" avant de demander pardon.

"Pour finir, je voulais dire un yako au jeune et à ses parents ! Je voudrais demander aux autorités qu’il serve d’exemple afin que toutes personnes réfléchissent à 100000000 fois avant de penser faire quelque chose d’anormal ! À mon nom personnel, je demande pardon à genoux face à cet acte inexplicable et barbare !", a conclu Hassan Hayek.

 

Source : ivoirebusiness.net/



Selon le président de la Fecafoot, il est possible de créer les bonnes conditions pour que la prochaine génération.

 

Le Cameroun, tout comme plusieurs autres pays, célèbre ce jeudi 16

juin 2022, la journée de l’enfant africain, une journée internationale organisée chaque année depuis le 16 juin 1991 par l’Organisation de l’unité africaine, en souvenir du massacre de centaines d’enfants lors d’une marche pour leurs droits à Soweto (Afrique du Sud) par le pouvoir de l’apartheid le 16 juin 1976.

A cette occasion, Samuel Eto’o a adressé un message d’espoir à tous les africains, notamment les enfants. « L’avenir des enfants africains est entre nos mains. Ensemble, nous pouvons créer les bonnes conditions pour que la prochaine génération s’épanouisse. », a écrit le président de la Fédération camerounaise de football ( Fecafoot) sur sa page Facebook.

 

(c) Actu Cameroun

 

 

13:47:00 ,


Six migrants originaires d'Afrique subsaharienne ont été tués par balles par les gardes libyens d'un centre de détention à Tripoli, selon le bureau de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM). Des médias locaux ont rapporté que des centaines de migrants s'étaient évadés de ce centre surpeuplé. 

Des gardes libyens ont tué, vendredi 8 octobre, par balles six migrants africains dans un centre de détention à Tripoli, a indiqué l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), dénonçant des conditions de vie "terribles" dans ce lieu surpeuplé.

Des médias libyens ont rapporté, vidéos à l'appui, que des centaines de migrants s'étaient évadés du centre sans faire état des tirs meurtriers dans le complexe.

"C'est en lien avec l'entassement des migrants"

L'incident s'est produit dans le centre de détention d'Al-Mabani où sont détenus quelque 3 000 migrants, a indiqué le responsable de l'OIM, Federico Soda. "Six migrants au total ont été tués par les gardes." "Nous ne savons pas ce qui a provoqué l'incident, mais c'est en lien avec l'entassement des migrants qui vivent dans des conditions terribles et tendues", a-t-il ajouté. "Beaucoup de migrants se sont évadés pendant le chaos." 

Selon Federico Soda, le centre de détention Al-Mabani a une capacité d'accueil de 1 000 détenus, mais plus de 3 000 s'y entassent, dont environ 2 000 hors du bâtiment principal, mais dans le périmètre du complexe. "Leur détention est arbitraire. Nombreux d'entre eux ont des papiers en règle mais sont bloqués dans le pays", a-t-il affirmé.

La Libye est un important point de passage pour des dizaines de milliers de migrants, majoritairement issus de pays d'Afrique saharienne, cherchant chaque année à gagner l'Europe par les côtes italiennes, distantes de quelque 300 km des côtés libyennes.

Plusieurs ONG et agences onusiennes dénoncent régulièrement les conditions déplorables dans les centres de détention en Libye, où passeurs et trafiquants ont profité ces dix dernières années du climat d'instabilité ayant suivi la révolte de 2011, faisant de la Libye la plaque tournante du trafic d'êtres humains sur le continent. 

Des "crimes de guerre" et des "crimes contre l'humanité" commis en Libye

Début octobre, une opération "anti-drogue" menée par les autorités libyennes dans un faubourg de Tripoli, qui a ciblé principalement des migrants en situation irrégulière, a fait un mort et au moins quinze blessés, selon la Mission d'appui des Nations unies en Libye (Manul). Au moins 5 000 personnes, dont des femmes et des enfants, ont été arrêtées, selon Médecins sans frontières (MSF). 

Lundi, une mission d'enquête d'experts de l'ONU a publié un rapport dans lequel elle a dénoncé des "crimes de guerre" et des "crimes contre l'humanité" commis en Libye depuis 2016, en particulier contre les migrants.

Les migrants sont soumis à toutes sortes de violences "dans les centres de détention et du fait des trafiquants", selon le texte. "Notre enquête montre que les agressions contre les migrants sont commises à une large échelle par des acteurs étatiques et non-étatiques, avec un haut degré d'organisation et avec les encouragements de l'État – autant d'aspects qui laissent à penser qu'il s'agit de crimes contre l'humanité".

De plus en plus de morts en Méditerranée


De nombreux drames de l'immigration clandestine se sont produits en partance de Libye. Le dernier date de mardi quand les corps sans vie de 17 migrants ont été découverts sur la côte ouest libyenne après le naufrage de leur embarcation.

Le nombre de migrants morts en mer en tentant de rejoindre l'Europe a plus que doublé cette année par rapport à la même période en 2020, selon des chiffres de l'OIM publiés en juillet. En septembre, l'OIM a dénombré 1 369 migrants morts noyés en Méditerranée depuis de début d'année.

La Libye tente de tourner la page d'une décennie de chaos depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi tué lors d'une révolte populaire. Surmontant les années de conflit, un gouvernement de transition a été installé en mars, sous l'égide de l'ONU, pour mener le pays vers des élections prévues en décembre et en janvier, mais qui restent hypothétiques en raison de la persistance des divisions.

Source: France 24 Avec AFP




Le sélectionneur de Bafana-Bafana d’Afrique du Sud, Hugo Broos, a demandé à l'instance mondiale du football, FIFA de s'investir à donner à l’Afrique plus de cinq places, avant la phase finale de la Coupe du monde 2022.


Il n’y a que cinq places disponibles pour les équipes africaines à la Coupe du monde de l’année prochaine au Qatar, alors que l’Europe, par exemple, prendra 13 des 32 places.

Broos a mené les Bafana Bafana à trois victoires et un match nul lors de leurs quatre premiers matches dans les éliminatoires de la Coupe du monde 2022 et ils sont actuellement en tête du classement du Groupe G.

Seuls les vainqueurs de groupe se qualifieront pour le prochain tour de qualification, où seront déterminées les cinq équipes qui représenteront l’Afrique.

« Ce n’est pas juste, il est plus facile pour les bonnes équipes en Europe de se qualifier pour la Coupe du monde que [les bonnes équipes] en Afrique ».

« En Afrique, vous avez le Ghana, le Cameroun, le Nigeria, l’Algérie, le Sénégal, le Maroc, la Tunisie et l’Égypte.»


« Vous avez déjà huit bonnes équipes là-bas ! J’espère que cela va changer pour 2026… C’est dommage qu’ils aient attendu si longtemps pour le faire, car l’Afrique mérite plus d’équipes », a déclaré Broos au Citizen.


Source: Afrique Sports




L’attaque qui s’est produite le lundi matin contre la brigade de gendarmerie de Tanwalbougou, dans le département de Fada N’Gourma, région de l’est du Burkina Faso, s’est soldée par la mort d’au moins dix assaillants, selon des sources médicales.



Dans la fusillade, deux personnes dans un car de transport ont été accidentellement tuées et les autres passagers blessés.

Plusieurs motos, des armes à feu et des armes blanches, des portables ainsi qu’un émetteur/récepteur, ont été saisis.



L'ancien proche collaborateur de Paul Biya aujourd'hui en rupture de ban et incarcéré interpelle le chef de l'Etat sur les dysfonctionnement qui ont conduit au drame meurtrier d'Eséka.


Yaoundé, le 27 octobre 2016

Lettre ouverte à Monsieur le President de la République
Monsieur le Président de la République,

C'est au cœur de l'une des périodes les plus tragiques et les plus sombres de l'histoire récente de noire pays que je m'adresse à vous. Les images insoutenables de l'accident terrovialre survenu la 21 octobre à Eseka sur la ligne Yaoundé-Douala desservie par Camrail, ont profondément bouleversé tous les Camerounais. Elles continueront longtemps de les hanter. Ces 79 morts, innocents privés de leurs destin et arrachés à leurs proches -mais n'y a-t-il pas eu davantage de
victimes qu'on ne veut bien nous le dire? -, ces centaines de blessés qui tentent aujourd'hui de s'accrocher à la vie dans les conditions sanitaires les plus précaires, sont d'autant plus insupportables à nos compatriotes que ce drame aurait pu être évite. Si l'émotion da la nation est aujourd'hui si forta, c'est parce qu'elle méle la douleur et la colère.

Lorsque ce tragique événement s'est produit, Monsieur le Président de la République, vous ne vous trouviez pas au Cameroun. C'est donc plus de 48 heures après les faits que vous vous étes enfin exprimé, à votre arrivée é l'aéroport de Yaoundé. Vous ne vous êtes depuis toujours pas rendu sur les lieux de l'accident. Dans de telles circonstances, qu'on peut sans crainte qualifier de drame national, le Chef de l'Etat ne se doit-il pourtant pas d'endosser la douleur de la nation, s'adresser à ses compatriotes des paroles de compassion et d'apaisement, et se recueillir au nom du peuple tout entier sur les lieux de la catastrophe. C'est ce que les Camerounais attendent de vous. Faites donc ce geste simple, Monsieur le Président de la République, pour répondre il leurs souhaits. Allez enfin à Eséka. La dignité, l'émotion de tout un pays l'exigent.

Les Camerounais attendent aussi de vous la vérité. Par décret du 25 octobre, vous avez créé une commission d'enquête sur les circonstances de l'accident. Mais vous avez décidé qu'y siègeraient uniquement des membres de votre gouvernement. Comment, dès lors, cette commission pourrait-elle faire preuve de l'impartialité et de l'indépendance requises en de telles circonstances ? Comment vos ministres pourraient-ils établir en toute transparence les possibles responsabilités de l'Etat? Comment pourraient-ils même établir les responsabilités probables du concessionnaire, la société Camrail, à laquelle l'Etat est lié par des Intérêts communs ? Et cela en seulement 30 jours, soit le délai dérisoire qui lui a été accordé pour mener ses investigations? Les Camerounais ne s'y trompent pas, Monsieur le Président de la République: ils savent bien que de celle commission d'enquête ne pourra pas sortir la vérité pleine et entière sur l'accident d'Eseka. Or cette vérité, ils veulent la connaitre. Ils veulent savoir selon quels mécanismes un enchainement de déficiences et de dysfonctionnements multiples a pu conduire à cette horreur. Vous leur devez donc d'assurer l'indépendance de cette commission d'enquête en l'élargissant à des membres de le société civile, ingénieurs de haut rang, scientifiques éminents, juristes, anciens officiers supérieurs, anciens ministres, médecins. Seuls des enquêteurs aux intérêts non alignés seront à même de tirer des conclusions crédibles. Notre pays n'en manque pas. Donnez-leur l'occasion de faire preuve de leurs compétences el de leur expérience. Donnez ainsi aux Camerounais la possibilité de connaître toute ta vérité sur ce drame. Alors, seulement, ils pourront commencer à faire leur deuil.

Sachez enfin, Monsieur le Président de la République, que les Camerounais ont bien conscience que le funeste événement d'Eséka n'est pas un pur accident. Le hasard, ou plutôt la malchance, a bien sûr joué son rôle. Mais elle s'est engouffrée dans une série de brèches complaisamment ouvertes par l'incurie de votre administration. C'est parce que la route reliant les deux principales villes de notre pays s'est brutalement trouvée coupée, en raison d'un entretien insuffisant, qu'on a dans la précipitation entassé des voyageurs dans un train, au mepris des règles de sécurité les plus élémentaires. C'est parce que
l'hôpital d'Eséka manquait cruellement de médicaments et de lits que les blessés ont du être acheminés, dans les conditions les plus éprouvantes et les plus critiques pour leur survie, vers les hôpitaux de Douala et Yaoundé. Si les infrastructures routières et ferroviaires de notre pays n'étaient pas aussi vétustes et défaillantes, Monsieur le Président de la République, ce drame aurait pu ètre évité. Si nos infrastructures de santé n'étaient pas aussi précaires, les blessés auraient pu être pris en charge plus efficacement et plus dignement.

Parmi les leçons que nous enseigne, au prix de telles souffrances, ce terrible accident, figure donc en premier lieu l'urgence à engager un programme massif d'investissement dans les infrastructures de noire pays, Lorsque j'étais secrétaire général à la Présidence, et après cela ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, j'ai sans relâche tenté de vous en convaincre. En vain: vous n'avez engagé dans ce domaine qu'une série de plans d'urgence qui furent autant de cautères sur une jambe de Dois. Le drame d'Eséka, dont le souvenir ne devra jamais s'éteindre, interdit désormais aux responsables de ce pays de tergiverser davantage. L'heure est venue pour la Cameroun de se transformer enfin en un Etat aux infrastructures modernes et à l’administration efficace et responsable, l’heure est venue pour des dirigeants qui se mettent vraiment à l'écoute du peuple camerounais, et eu service du Cameroun, Le drame d'Eséka a déclenché une onde de choc chez nos concitoyens. Ceux qui restent sourds à cette déflagration ont perdu tout contact avec le peuple.


Marafa Hamidou Yaya



Des milliers de personnes ont manifesté ce dimanche dans plusieurs villes du Maroc après la mort vendredi d'un poissonnier écrasé dans la benne d'un camion de ramassage des ordures ménagères alors qu'il tentait de récupérer du poisson confisqué par police.

 

Mouhcine Fikri, un marchand de poisson d'une trentaine d'années, est décédé vendredi soir à Al-Hoceima, dans le Rif, happé par une benne à ordures alors qu'il tentait apparemment de s'opposer à la saisie et à la destruction de sa marchandise par des agents de la ville. 
Les circonstances effroyables de sa mort, filmée sur un téléphone portable et diffusée sur internet, ont choqué la population. Une photo de la victime inanimée a été largement diffusée sur les réseaux sociaux, qui ont relayé des appels à manifester dans tout le pays. 
Dimanche, des milliers de personnes ont participé aux funérailles du jeune homme, rendant hommage au « martyr Mouhcine » et marchant pendant plusieurs heures dans le calme du centre-ville d'Al-Hoceima jusqu'à la localité d'Imzouren, où la dépouille a été inhumée. 

Marée humaine

Le soir même, une marée humaine a envahi le centre-ville d'Al-Hoceima.
« Criminels, assassins », scandaient notamment les milliers de manifestants, « Arrêtez la hogra (l'arbitraire) », ou encore « Écoute makhzen (palais royal), on n'humilie pas le peuple du Rif ! ». Le rassemblement, au fort accent identitaire berbère et revendiquant l'héritage rebelle de la région, s'est déroulé jusqu'à 21 h 30 (locales et GMT) sans incident. 
Des manifestations de moindre ampleur ont eu lieu dans plusieurs autres villes du Rif, mais aussi - fait peu ordinaire - à Casablanca, Marrakech et Rabat, où plus d'un millier de personnes ont défilé au cri de « Nous sommes tous Mouhcine ! », brandissant la photo de la victime ou une pancarte provocatrice « Bienvenue à la COP22, ici on broie les gens »

« Une enquête minutieuse »

Actuellement en Tanzanie, au terme d'une tournée diplomatique en Afrique de l'Est, le roi Mohammed VI a dépêché dimanche à Al-Hoceima son ministre de l'Intérieur Mohammed Hassad qui est venu « présenter les condoléances et la compassion du souverain à la famille du défunt »
Le roi a donné des instructions « pour qu'une enquête minutieuse et approfondie soit diligentée (...) », alors que l'Intérieur avait déjà annoncé l'ouverture d'une enquête, conjointement avec le parquet local, au lendemain du drame. 
Les circonstances exactes de la mort de Mouhcine Fikri restent à établir, et le ministre Hassad s'est dit « déterminé à établir les circonstances exactes du drame et à en punir les responsables »
La victime avait refusé d'obtempérer à un barrage de police, et avait en suite été interceptée, avec dans sa voiture « une quantité importante d'espadon, une espèce interdite à la pêche », a récapitulé le ministre. « Décision a été prise de détruire la marchandise illégale. Toutes les questions se posent après ça », a-t-il expliqué. 

Conclusions d'ici quelques jours

« Personne n'avait le droit de le traiter ainsi », a déploré M. Hassad. « On ne peut pas accepter que des responsables agissent dans la précipitation, sous la colère, ou dans des conditions qui ne respectent pas les droits des gens », a-t-il souligné, promettant les conclusions de l'enquête d'ici « quelques jours »
La ville côtière d'Al-Hoceima, comptant environ 55 000 habitants, fut le cœur de la révolte contre le colonisateur espagnol dans les années 1920, puis le théâtre d'une insurrection populaire en 1958. 
Longtemps délaissée sous le règne d’Hassan II, la région du Rif a une réputation de frondeuse et entretient des relations difficiles avec le pouvoir central. Elle fut aussi l'un des principaux foyers de la contestation lors du mouvement du 20-Février, la version marocaine des Printemps arabes en 2011. 

Le suicide d'un vendeur ambulant en 2010

Le suicide d'un vendeur ambulant fin 2010 en Tunisie est souvent vu comme l'un des éléments déclencheurs de ces Printemps arabes. L'homme s'était immolé par le feu en réaction à la saisie de sa marchandise par les autorités. 
En pointe dans les manifestations de 2011, l'Association marocaine des droits humains (AMDH) a « dénoncé » le rôle de l'État qui « foule aux pieds la dignité des citoyens » et mis en garde contre « une possible répétition » du mouvement du 20-Février.
Un scénario particulièrement délicat pour les autorités alors que s'ouvre dans une semaine à Marrakech la conférence internationale sur le climat, la COP22, dont Rabat entend faire une vitrine internationale. 

Depuis le début de la crise postélectorale au Gabon, il est clair que l’on n’entend pas trop les chefs d’Etats ou officiels Africains se prononcer sur la question. Qu’est-ce qui pourrait expliquer cet état des choses ?


Le seul à avoir osé prendre la parole ce, en qualité de président en exercice de l’Union africaine (curieusement), est le président du Tchad Idriss Deby Itno. Dans un communiqué publié le 3 septembre 2016, le chef de l’Etat tchadien se disait « préoccupé par l’éruption de la violence au Gabon »… 

 Comme on s’y attendait un peu, ce dernier appelait les parties prenantes « à faire preuve de la plus grande retenue et à privilégier le dialogue et la concertation dans le strict respect des procédures légales et constitutionnelles, et des instruments pertinents de l’UA, pour trouver une solution à la crise née du contentieux électoral » et promettait d’ « aider les parties prenantes gabonaises à régler leurs divergences par des moyens pacifiques en vue de préserver la paix et la stabilité au Gabon et dans son voisinage ».

 Cependant, l’opinion trouve très curieux que ce soit Deby Itno, le seul dirigeant issu de l’Afrique centrale à s’être porté garant de dire un mot sur la crise gabonaise qui pourtant devrait préoccuper l’ensemble. Plus loin, le président de la Côte d’Ivoire Alassane Ouattara a également pris la parole, mais c’était pour dénoncer l’attitude de son conseiller Mamadi Diané, accusé de s’ingérer dans les affaires intérieures du Gabon. Constat assez suffisant pour que le professeur Jean Emmanuel Pondi puisse s’y pencher. Le politologue croit savoir pourquoi les leaders Africains sont aussi silencieux. Il a détaillé sa pensée au cours de l’émission « Sans Rancune » diffusée le 16 septembre 2016 sur la télévision Vox Africa. Il rappellera d’entrée de jeu que : « Il y a gêne. Il y a le miroir dans lequel l’on se voit et ça rappelle beaucoup de situations domestiques intérieures. Voilà la vérité. Et beaucoup sont suffisamment pudiques pour se dire qu’au fond d’eux-mêmes, ils ne sont pas les meilleurs vecteurs en termes de propositions de solutions.

 C’est quand même une preuve de lucidité par rapport à leur propre parcours. Pour certains d’entre eux ». Ce qui renvoi à comprendre pourquoi seuls les responsables Français voire des pays occidentaux et des organisations internationales, ont commenté la situation tendue qui prévaut au Gabon depuis le 28 août 2016 lendemain de l’élection présidentielle à problèmes qui s’y est déroulée.

Affaire à suivre !

ÔCameroun

La seule pomme de discorde pour le moment entre les deux parties serait les modalités de ce recomptage.


Le contentieux électoral au Gabon pourrait connaitre une nouvelle tournure. Plus heureuse. En effet, le camp Ali Bongo, président réélu selon la CENAP (Commission Electorale Nationale Autonome et Paritaire), et Jean Ping l’opposant malheureux selon la même instance, ont évolué sur leur position. Les deux parties seraient favorables au recomptage des voix tel que préconisé par a France.

«Les avocats d'Ali Bongo et Jean Ping sont d'accord pour recompter des voix de l'élection présidentielle du 27 août», rapporte l’AFP. «On est d'accord pour le recomptage, mais dans les 2.579 bureaux de vote (dans tout le pays). Il faut éviter de faire de la discrimination entre le Haut-Ogooué et les huit autres provinces», a indiqué à l'AFP l'avocat d'Ali Bongo.

Seul bémol, les deux parties n’arrivent pas à s'entendre sur les modalités. «Nous voulons la confrontation des procès-verbaux alors qu'ils ne veulent travailler que sur les procès-verbaux de la Commission électorale», précise à l'AFP un porte-parole de l'équipe de campagne de Jean Ping, Jean-Gaspard Ntoutoume Ayi. Face à cette sollicitation, l’on rétorque dans le camp d’Ali Bongo que la loi dit que le recomptage se fait sur la base des procès-verbaux de l'administration, c'est-à-dire de la Commission électorale.

La Cour constitutionnelle poursuit ses travaux à Libreville. La présidente de la Cour, Marie-Madeleine Mborantsuo, et les autres juges, disposent d'un délai de quinze jours jusqu'à vendredi pour trancher, alors que des rumeurs évoquent un report de leur décision, apprend-on. 

CIN

L’incertitude plane toujours sur la tenue de la CAN 2017 au Gabon en raison de la crise poste électorale.


L’Algérie s’est officiellement prononcée le 18 septembre dernier sur l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2017 en cas de désistement du pays organisateur, le Gabon. «En cas de retrait officiel de la compétition par la CAF (Confédération Africaine de Football, NDLR) au Gabon, l’Algérie dispose d’enceintes en mesure d’accueillir de tels évènements d’envergure. Mais, il faudrait au préalable étudier ce cas avec les responsables du Gouvernement et les parties chargées de la gestion du football algérien», a affirmé le ministre algérien de la Jeunesse et des Sports, Hadi Ould-Ali selon le site Afrik-Foot.

Cette déclaration du Ministre algérien positionne ainsi le pays des Fennecs à l’organisation de la prochaine CAN au cas où la CAF décidait de destituer le Gabon. «Si nous obtenons le feu vert des hautes autorités du pays pour l’organisation de cette grande compétition, nous entamerons l’étude des préparatifs liés à cette manifestation», a ajouté Hadi Ould-Ali. Une issue fondée sur les émeutes ayant eu lieu au Gabon à l’issue de l’élection présidentielle du 27 août dernier. Lesquelles ont fait plusieurs morts et blessés, ainsi que la destruction des plusieurs biens.

En attendant que la CAF se penche définitivement sur la question lors de ses réunions annuelles, les 21 et le 27 septembre prochain, le Gabon reste le pays organisateur de la compétition. Du moins, si l’on s’en tient à une récente sortie du directeur des médias à l’instance faitière du football africain.

«Dans l’état actuel des choses, le calendrier communiqué par la CAF est maintenu, il n’y a pas de souci à se faire. Il y a un tirage au sort le 19 octobre prévu à Libreville, on n’y est pas encore» avait confié Junior Binyam à l’AFP. «On a les réunions annuelles de la CAF entre le 21 et le 27 septembre, toutes les commissions permanentes se réunissent, parmi lesquelles la commission d’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations (...) La situation sera évaluée et discutée au moment des réunions annuelles», avait-il conclu. 

CIN

Dimanche, l'opposant s'est proclamé "élu" devant la presse et ses partisans à Libreville. Le président sortant s’est dit vainqueur dans cinq des neuf provinces du pays. Les résultats sont attendus au plus tard mardi. 


À peine les bureaux de vote étaient-ils fermés après un scrutin qui s'est déroulé sans incident, qu'Ali Bongo et Jean Ping, les deux candidats favoris à l'élection présidentielle, ont revendiqué ​chacun avoir été élu président de la République du Gabon. Alors que les opérations de dépouillement se poursuivent, Alain Claude Bilie By Nzé, le porte-parole d'Ali Bongo - bien que n'indiquant aucun chiffre - donne vainqueur le président candidat:

"Nous sommes, au vu des informations qui nous parviennent, en mesure d'affirmer que notre candidat Ali Bongo Ondimba emporte la victoire dans notre pays. Nous sommes donc déjà en route pour un second mandat."

Devant des centaines de partisans et la presse invitée à l'occasion, Jean Ping a quant à lui fait une déclaration solennelle aux allures présidentielles: "Il n'y aura aucune chasse aux sorcières. Je serai le président de toutes les Gabonaises et de tous les Gabonais." 

Appels à la transparence


Accrédité pour cette élection présidentielle, le Haut Conseil des Acteurs Non Etatiques du Gabon appelle au respect du vote. Nicaise Moulombi est le président du HCANEG: "À cette élection, pour la première fois, la transparence a joué. Il faut que cette transparence aille jusqu'au bout. Donc nous demandons à tous les candidats de se réserver de toutes déclarations et nous avons foi en nos institutions car elles seront devant l'histoire des générations actuelles et futures."
Dans un communiqué, le ministère de l'intérieur a invité les différentes parties à ne donner aucun résultat ou à ne s'aventurer à une quelconque déclaration de victoire. La Commission électorale autonome et permanente (Cénap) annonce que les résultats seront connus au plus tard mardi.

Le PS français pour l'alternance


En France, ancienne puissance coloniale encore influente au Gabon, le Parti socialiste a prévenu dans un communiqué qu'il serait "d'une extrême vigilance" à l'heure des résultats. Le PS souligne qu'une "alternance serait signe de bonne santé démocratique et un exemple" étant donné que la famille Bongo gouverne le Gabon depuis un demi-siècle.

DW

Publié le dimanche 28 août 2016  Par  M. Lambert – Noël Matha, Secrétaire Général du Ministère de l’Intérieur, de la Décentralisation, de la Sécurité et de l’Hygiène Publiques de la République Gabonaise 


Ce samedi 27 août 2016, 

628 124 Gabonais en âge de voter sont appelés aux urnes pour élire le président de la République pour les sept prochaines années.

Je me dois d’entrée de rappeler à tous et à chacun que l’administration et la gestion des scrutins au Gabon relève de la compétence exclusive de la Commission Électorale Nationale Autonome et Permanente (CENAP).

Cependant, le Ministère de l’Intérieur ayant la charge de l’administration du territoire et de la sécurité des personnes et des biens, peut, sans s’immiscer dans les prérogatives de la CENAP, faire le point du déroulement des opérations électorales au moment où s’approche le terme des opérations de vote.

Globalement, les opérations de vote ont démarré assez tôt sur l’ensemble du territoire et à l’étranger notant quelques retards observés dans certains centres à Libreville du fait de l’absence à 7h30 des scrutateurs, toutes tendances confondues ainsi que celle de certains représentants de candidats.

Ce retard accusé par les scrutateurs participe en réalité, qu’étant eux-mêmes électeurs, ils ont dû tout d’abord aller accomplir leur devoir citoyen dans des centres autres que ceux dans lesquels ils ont été désignés.

Ce qu’il y a lieu de retenir, ce que l’on a noté, est un engouement indéniable de la part des électeurs, ce qui traduit l’intérêt de nos compatriotes pour la gestion de la chose publique et partant pour le choix de ses dirigeants.

De plus, la présence massive sur le terrain des observateurs aussi bien internationaux que nationaux, prouve à suffisance le respect par les pouvoirs publics de l’engagement pris de voir cette élection et celles à venir de se tenir en toute transparence.

Cette transparence commande également le respect des règles régissant le processus électoral.

En effet, autant la gestion du scrutin relève de la CENAP, autant seul cet organe et ses démembrements locaux sont compétents dans la centralisation et la publication des résultats.

L’annonce ou la publication des résultats électoraux ne relèvent donc ni d’un individu ni d’un parti politique fut-il de la Majorité ou de l’Opposition.

Enfin il faut saluer la maturité des citoyens gabonais qui ont fait montre de calme et de civisme car, malgré la passion qui caractérise toute compétition y compris électorale, l’on n’a pas enregistré d’incidents majeurs.

Ce comportement républicain doit demeurer pour préserver la paix, la stabilité et la démocratie voulues par tous.

Je vous remercie.

Le Défis Gabon


Les 628 124 gabonais inscrits dans la liste électorale étaient hier appelés aux urnes dans 2 580 bureaux de vote. Le scrutin organisé à l’occasion de cette élection présidentielle au Gabon s’est déroulé dans le calme sans heurt notable dans l’ensemble du pays. Et le Ministère de l’Intérieur note un taux de participation élevé.


Le déroulé de l’élection dans sa globalité est satisfaisant du point de vue des observateurs et des institutions. Les résultats sont en cours de dépouillement avant d’être compilés et communiqués par les organismes habilités.

L’annonce est prévue pour ce mardi 30 août vers 17h et les prinipaux responsables rappellent une nouvelle fois que les textes de lois précisent le fait que la seule et unique annonce de résultats qui soit officielle et reconnue sera celle annoncée par le Ministre de l’Intérieur Pacôme Moubelet Boubeya lors de l’intervention prévue à cet effet.
Cette annonce sera ouverte à la presse et retransmise en direct par les chaînes de télévision et de radio présentes.

Le Ministère rappelle également que l’annonce de résultats par un organisme, groupe ou personnalité tierces est hors la loi. « Plus que jamais nous en appelons au calme et rappelons qu’il est illégal de proclamer des résultats chiffrés en amont de l’annonce des autorités compétentes, comme le stipule la loi » a déclaré Pacôme Moubelet Boubeya.

Par ailleurs, conformément à l’annonce du 27 août, le Ministère rapporte que les frontières ont été rouvertes à 20:00 le 27 août suite à la clôture du vote.

Il est donc crucial pour la paix et la stabilité du Gabon que les acteurs politiques et leurs partisans respectifs attendent sereinement l’annonce des résultats et évitent les actes ainsi que les propos qui risquent de provoquer des troubles dans le pays.

Le Défis Gabon

Malgré tous les efforts de la France et de l'Onu pour stabiliser la situation au Mali, les Maliens sont pessimistes quant à l'incertitude grandissante dans le pays. 

Alors que le gouvernement du pays est inactif, ses habitants espèrent mettre fin à la crise et à l'incertitude en appelant à l'aide le président russe Vladimir Poutine pour qu'il résolve leurs problèmes, a annoncé le journal malien Actusen.com.

Dans cette optique, une commission spéciale entend recueillir 8 millions de signatures de citoyens du pays afin que le président russe "intervienne dans la crise malienne". Les Maliens croient que "la Russie doit sauver le Mali". Ils ne sont pas satisfaits des progrès accomplis par la France en termes de règlement de la crise, déclarant que "la France n'est pas pour la paix au Mali". C'est pourquoi, citant en exemple les actions des forces aérospatiales russes, les Maliens ont décidé de demander de l'aide au numéro un russe. Malgré la présence de la Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation au Mali (MINUSMA), l’opération anti-terroriste "Barkhane" menée par les Français et de l’accord d’Alger, conclu entre le gouvernement malien et les rebelles touareg, la situation dans le pays reste très tendue. Le week-end dernier, dans la ville de Ségou au sud du Mali, des "patriotes locaux" ont lancé une pétition. Ainsi, avec un représentant dans chaque ville du pays, la commission va tenter de recueillir 8 millions de signatures auprès des Maliens afin de légaliser leur initiative. D'après les Maliens, les autorités maliennes donnent l'impression de ne pas maîtriser la situation.

Le nord du Mali était tombé, en mars-avril 2012, sous la coupe de djihadistes liés à Al-Qaïda, après la déroute de l'armée malienne face à la rébellion à dominante touareg, d'abord alliée à ces groupes qui l'ont ensuite évincée. Les djihadistes ont alors été dispersés et ont été en grande partie chassés du pays à la suite du lancement en janvier 2013, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire internationale qui se poursuit actuellement. Mais des zones entières échappent toujours au contrôle des forces maliennes et étrangères.
 
Sputnik


Les Gabonais iront aux urnes le 27 août pour élire leur président. Douze candidats sont en lice pour cette élection dont le président sortant Ali Bongo. Mais à mesure que la date du scrutin approche, le pays et plus particulièrement Libreville, la capitale est sous haute tension.


A Libreville, pouvoir et opposition ne cessent de multiplier les escarmouches, laissant craindre une élection présidentielle tendue, qui sera organisée en un seul et unique tour. Tout a commencé par la polémique autour de l’authenticité de l’acte de naissance du président Bongo. Ce sujet a été longtemps considéré comme argument de taille de l’opposition qui est allée jusqu’à demander la disqualification de l’actuel président.

La tension est montée d’un cran durant la campagne électorale, mais aussi avant lorsqu’un rassemblement pacifique de quelques centaines d’opposants à Libreville au mois dernier a été violemment dispersé à coups de grenades lacrymogènes par les forces de l’ordre. Il s’en était suivi la décision de la Cour constitutionnelle du Gabon qui avait rejeté les recours introduits par trois opposants contre la candidature à la présidentielle du chef de l’Etat sortant, Ali Bongo Ondimba, qu’ils accusent d’inéligibilité. Une situation qui s’était aggravée au moment où un collectif d’avocats dénonçait la « détention arbitraire » de plusieurs syndicalistes arrêtés le 9 juillet, en marge d’un meeting pro-Bongo, et, réclamait leur libération.

En attendant le jour du vote, les Gabonais restent majoritairement sceptiques quant à la transparence du prochain scrutin, même si plusieurs observateurs étrangers se trouvent dans le pays : 50 de l’Union européenne et 75 de l’Union Africaine. Ces observateurs auront accès à toutes les étapes le jour du scrutin, notamment l’ouverture des bureaux de vote, le vote lui-même, et le dépouillement des résultats, selon la commission électorale nationale autonome et permanente.

Avec AIAC

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