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Abubakar Shekau, le chef du groupe jihadiste nigérian Boko Haram, a été sérieusement blessé par un raid aérien, a annoncé l'armée nigériane mardi 23 août.



Le chef de l’organisation terroriste Daesh en Afghanistan et au Pakistan, Hafiz Saïd a été tué par une frappe aérienne de la coalition internationale conduite par les Etats-Unis, a fait savoir l’ambassadeur d’Afghanistan au Pakistan.

Le chef de l’organisation terroriste Daesh en Afghanistan et au Pakistan, Hafiz Saïd a été tué par une frappe aérienne de la coalition internationale conduite par les Etats-Unis, a fait savoir l’ambassadeur d’Afghanistan au Pakistan.

La déclaration note que les adjoints de Saïd, militant de haut rang de l’organisation terroriste Daesh, ont également été tués lors de la frappe aérienne.

Un responsable américain a confirmé la mort de Hafiz Saïd tué à la suite d’une frappe aérienne à la frontière entre l’Afghanistan et le Pakistan au mois de juillet.

Un rapport sur la mort de Saïd avait déjà été publié il y a quelques jours, mais il n’avait pas été confirmé.

TRT


Plusieurs bombes ont explosé dans trois sites touristiques et plusieurs villes du sud de la Thaïlande, jeudi soir et vendredi matin, faisant quatre morts et plusieurs dizaines de blessés. 


D'après la police thaïlandaise, il n'existe "aucun lien direct avec le terrorisme".
A Hua Hin, à 200 km environ au sud de Bangkok sur le golfe de Thaïlande, deux premières bombes ont explosé jeudi soir près d'un bar. Une Thaïlandaise a été tuée. On compte également 21 blessés, dont neuf étrangers. Deux autres bombes ont explosé vendredi matin, faisant un mort et trois blessés supplémentaires.

Deux autres bombes de faible puissance ont explosé à Patong Beach, sur l'île de Phuket, faisant un blessé léger, et deux autres à Phang Nga, un autre secteur touristique au nord de Phuket.

Vendredi était jour férié en Thaïlande pour marquer l'anniversaire de la reine Sirikit. Du fait de ce long week-end, de nombreuses personnes ont afflué à Hua Hin, où des barrages de sécurité ont été établis par la police.

Deux hommes ont été appréhendés par la police et sont interrogés à Hua Hin, a annoncé le préfet Sarawut Tankul. Des images de vidéosurveillance montrent les deux hommes "avant, pendant et après les explosions", a-t-il ajouté.

Selon le directeur d'Interpol en Thaïlande, le général Apichat Suriboonya, il semble que ces bombes étaient destinées à adresser un message plus qu'à causer la mort et la destruction. "Si vous observez ces bombes, elles n'étaient pas destinées à tuer des gens mais à envoyer un message à certains groupes. Cela pourrait être une affaire interne", a-t-il dit.

"Il est trop tôt pour tirer la moindre conclusion mais ce que nous tenons pour certain, c'est que ces incidents ne sont pas directement liés au terrorisme", a commenté le colonel Krisana Pattanacharoen, porte-parole adjoint de la police. "Il s'agit en fait de sabotage local et nous essayons d'en identifier les responsables", a-t-il ajouté. 

Rien ne permet de dire en outre que ces attaques étaient liées les unes aux autres (il y a plus de 600 km entre Hua Hin et l'île de Phuket) ou qu'elles ont un lien avec les foyers d'insurrection dans les provinces à majorité musulmane du sud du pays, où l'on a recensé plus de 6.500 morts depuis 2004.

INDIGNATION DU PREMIER MINISTRE

 Hua Hin, Phuket et Phang Nga sont éloignées de ces zones de conflit, où les attaques visent généralement les forces de l'ordre et non pas les touristes.

Des bombes artisanales ont souvent été utilisées dans les périodes de troubles politiques qu'a vécues la Thaïlande au cours des dix dernières années. Depuis que les militaires se sont emparés du pouvoir à la faveur du coup d'Etat de mai 2014, de telles attaques se sont faites rares.

Mais le 17 août 2015, un attentat contre un temple hindou de Bangkok a fait 20 morts et plus de 120 blessés. La police, qui a accusé deux musulmans ouïghours de Chine, avait pareillement exclu tout lien avec un réseau international et expliqué que les deux auteurs de l'attentat appartenaient à un réseau de trafiquants d'êtres humains.

La police avait obtenu des renseignements sur l'imminence d'une attaque mais elle ne disposait pas de précisions sur le lieu et le moment. "Nous ne savions pas quel jour cela pouvait se produire", a déclaré Chakthip Chanjinda, chef de la police nationale.
Les autorités ont renforcé les mesures de sécurité dans les zones touristiques, les aéroports et les transports publics à Bangkok. 

Le Premier ministre Prayuth Chan-ocha a exprimé sa frustration face à ces événements. "Pourquoi maintenant alors que le pays va mieux, que l'économie va mieux, que le tourisme va mieux ?" s'est-il indigné devant la presse.

Les Thaïlandais ont voté dimanche dernier en faveur d'une nouvelle Constitution voulue par la junte militaire qui permettra à l'armée de contrôler les futurs gouvernements.
Les militaires affirment que la Constitution permettra de réduire les querelles politiques qui minent le pays et ont fait des dizaines de morts. Les adversaires du projet, notamment les partisans de l'ancienne Première ministre Yingluck Shinawatra, ont dénoncé un texte visant à asseoir le pouvoir des militaires.

Reuters


Les forces de sécurité éthiopiennes ont tué plus de 100 personnes durant le week-end lors de manifestations dans les régions d'Oromia et d'Amhara, ont rapporté lundi des habitants et des membres des partis d'opposition.


Les forces de sécurité éthiopiennes ont tué plus de 90 personnes durant le week-end lors de manifestations dans les régions d'Oromia et d'Amhara, ont rapporté lundi des habitants et des membres des partis d'opposition.



Mulatu Gemechu, député du Congrès fédéraliste Oromo, l'un de ces mouvements politiques, a déclaré que des policiers et des militaires avaient abattu des manifestants dans dix villes de la région d'Oromia.
Des projets d'expropriation de terres agricoles ont provoqué des tensions depuis plusieurs mois dans cette région du centre de l'Ethiopie.

"Nous avons établi une liste de 33 manifestants tués par les forces de sécurité mais je suis plus que sûr que ce nombre va augmenter", a dit Mulatu Gemechu. "Vingt-six personnes ont aussi été blessées et beaucoup d'autres ont été arrêtées", a-t-il ajouté.

Le gouvernement d'Addis Abeba n'a fait aucun commentaire. L'agence de presse officielle éthiopienne a rapporté que des "manifestations illégales", menées par des "forces non-pacifiques", avaient été maîtrisées mais elle n'a pas mentionné le nombre de victimes.

Dans la région d'Amhara, dans le nord du pays, des habitants ont déclaré que les forces de l'ordre avaient ouvert le feu sur des manifestants qui réclamaient qu'un territoire rattaché il y a deux décennies à la région voisine du Tigré leur soit restitué.

"Les soldats ont tiré à balles réelles sur les manifestants. Les hôpitaux sont pleins de morts et de blessés", a déclaré un habitant en avançant le chiffre de 60 morts.

Amnesty International a estimé que la répression dans la ville de Bahir Dar, où les manifestations se poursuivaient lundi, avait fait au moins 30 morts en une seule journée et qu'on pouvait peut-être parler d'"exécutions extrajudiciaires".

Un porte-parole du gouvernement régional a fourni aux médias officiels un bilan de sept morts pendant le week-end.

Tout signe de protestation est surveillé de près en Ethiopie, qui apparaît depuis quelques années comme une puissance économique relativement stable dans la région.

Zaman

Deux Chinois ont été enlevés par des hommes armés sur une route proche de la capitale nigériane Abuja, a indiqué dimanche la police nigériane.


Les deux hommes ont été attaqués samedi dans le village de Agada, sur la route d'Abuja, a expliqué le porte-parole de la police de l'Etat de Nasarawa, Ismail Noman.


"Les deux ressortissants chinois ont été enlevés vers 14H30 hier (samedi) alors qu'ils se rendaient à Abuja et emmenés vers une destination inconnue", a-t-il ajouté en précisant que des recherches avaient été lancées.


Les deux hommes, âgés de 45 et 50 ans, travaillaient pour une entreprise de construction opérant dans la région, selon les médias locaux.


Aucun commentaire n'était disponible dimanche auprès des autorités diplomatiques chinoises au Nigeria.

Les enlèvements de Nigérians aisés ou d'étrangers sont assez fréquents au Nigeria, notamment dans le sud pétrolier du pays.


L' Orient Le Jour



Onze soldats ont été tués samedi dans un affrontement avec des trafiquants d’armes et des bandits dans le centre du Nigéria, région où les conflits sur les droits de pâturage sont récurrents, a annoncé l’armée.


Le porte-parole de l’armée, le colonel Sani Usman a indiqué dans un communiqué que les militaires avaient été attaqués par les bandits au cours d’une opération dans les villages de Kopa, Dagma et Gagaw dans l’État de Niger, destinée à nettoyer la zone du trafic des armes illégales. 

Le Soir

 

Deux jeunes hommes ont été tués ce dimanche matin à Marseille, lors d'une fusillade. Les raisons de ces tirs restent pour l'heure inconnues.

Une fusillade a éclaté place Pierre-Brossolette, dans le quartier des Chartreux à Marseille (4e arrondissement), ce dimanche matin, faisant deux morts. Pour l'heure, les raisons de ces tirs ne sont pas encore connues même si la piste d'un règlement de compte semble privilégiée.

Selon le quotidien régional La Provence, les deux victimes sont âgés d'une vingtaine d'années. "Ils se trouvaient à bord d'une Twingo et se seraient fait prendre en chasse par un véhicule avant d'être pris sous les balles", rapporte le journal.

Les Bouches-du-Rhône très touchées

Les règlements de comptes ont fait une quinzaine de morts depuis le début de l'année dans les Bouches-du-Rhône. En 2015, ils ont coûté la vie à 19 personnes dans le département, dont 12 à Marseille. La plupart des décès étaient liés au trafic de drogue dans les quartiers sensibles de la ville.

avec BFM


Boko Haram, le groupe jihadiste qui sème la terreur au Nigeria et qui a prêté allégeance à l'organisation État islamique (EI), aurait un nouveau chef, selon l’une des publications utilisées par l’EI pour diffuser sa propagande. Une information qui relance les spéculations sur la disparition de l'insaisissable chef du mouvement Abubakar Shekau.

Plusieurs fois donné pour mort, ce dernier avait pris la tête de la secte islamiste en 2009, après l'exécution de son fondateur Mohammed Yusuf par les forces de l'ordre. Réputé radical et très violent, l’homme, qui est coutumier de déclarations médiatiques fracassantes et qui apparaît toujours en treillis militaire, une kalachnikov en bandoulière ou à la main, a fait de Boko Haram l'une des rébellions les plus violentes de la planète.

Radicalisé sous ses ordres, le groupe terroriste - et sa répression par les forces de l'ordre - ont fait au moins 20 000 morts et 2,6 millions de réfugiés dans le nord-est du Nigeria et les régions frontalières des pays voisins, autour du lac Tchad.

Remplacé par le dénommé Al-Barnaoui ?

Mais dans une publication de l'EI, datée du mardi 2 août, apparaît un entretien avec cheikh Abou Mosab al-Barnaoui, présenté comme "Wali (chef) sur l'Afrique de l'Ouest". Or jusqu'à présent, même si le groupe jihadiste nigérian apparaît divisé, Abubakar Shekau n'a jamais été officiellement démis de ses fonctions de leader. Et dans son entretien, Al-Barnaoui ne fait aucune référence claire au sort du chef reconnu du mouvement jihadiste.

Al-Barnaoui est apparu à plusieurs reprises dans des vidéos relatant les attaques du groupe, ce qui lui valait d'être considéré comme le porte-parole de Boko Haram par les experts, ce qu'a toujours réfuté Shekau lui-même, affirmant "qu'il n'y a qu'un seul porte-parole", Abou Zinnira.

"Il (Barnaoui) est très expressif et précis sur l'organisation et sur ses objectifs", analyse Kyle Shideler du Center for Security Policy, basé à Washington. "Si Shekau est toujours vivant, cela montre que l'EI veut le remplacer" par Barnaoui.



Un mouvement divisé et affaibli

Les spéculations sur la disparition de Shekau sont monnaie courante. L'armée nigériane a prétendu plusieurs fois l'avoir tué. Sa dernière apparition date de mars, où il paraissait affaibli dans une vidéo postée sur YouTube et déclarait : "Pour ‘moi’ la fin est venue".
Selon des sources locales proches de la mouvance jihadiste, Shekau était alors blessé à l'estomac. Il n'y a eu depuis aucune autre preuve de vie, ce qui laissait penser que le chef était soit dans l'incapacité de commander, soit mort.

Un expert nigérian proche de la mouvance islamiste, contacté par l'AFP mais qui souhaite rester anonyme, reste convaincu que Shekau est "toujours vivant".

Il est "possible" qu'Al-Barnaoui ait pris la succession de Shekau à la tête Boko Haram, explique Yan St-Pierre, spécialiste des questions du jihadisme pour le Modern Security Consulting Group. Sous le leadership de Shekau, "Boko Haram a perdu son prestige et est devenu difficile à contrôler. Aujourd'hui, Boko Haram est divisé en plusieurs petits groupes", certains proches de l'EI, d'autres d'Ansaru et de la mouvance d'Al-Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi).

Avec cet entretien, en suggérant eux-mêmes un nouveau leader, l'EI fait un nouveau pas en direction de Boko Haram, de plus en plus divisé et affaibli par les offensives de l'armée dans ses fiefs du nord-est.

Le mouvement, qui réclame l'instauration d'un État islamique dans le nord du Nigeria, avait atteint le faîte de sa puissance en 2014, en proclamant un "califat" dans le nord-est, et en perpétrant le kidnapping massif de plus de 200 lycéennes, un acte qui avait suscité une réprobation internationale.

La semaine dernière, la force armée régionale anti-Boko Haram a repris le contrôle de Damasak, ville stratégique à la frontière du Niger, où les jihadistes avaient tué plus de 200 personnes et kidnappé des centaines d'enfants il y a deux ans.

France24 Avec AFP


Lorsque la policière suédoise Mikaela Kellner a arrêté un pickpocket mardi dernier, elle ne se doutait sûrement pas que l'intervention serait aussi... percutante.


C'est ce qui arrive, bien sûr, lorsqu'on prévient le crime vêtu d'un bikini. Kellner, agente au département de police de Stockholm depuis 11 ans, était en congé et se faisait bronzer avec des amis, lorsqu'un homme prétendant vendre des magazines pour les sans-abris s'est approché de son groupe. Même si personne ne souhaitait acheter ses articles, le suspect refusait de s'éloigner.

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C'est à ce moment que l'héroïne de la journée s'est rendu compte que quelque chose clochait. «J'ai dit à mes amis d'avoir un œil sur leurs affaires», a dit Kellner à KPI.com. «Mais dès qu'il est parti, une de mes amies m'a demandé où était passé son téléphone cellulaire.»

Kellner se doutait que l'homme avait utilisé ses magazines pour subtilement dissimuler l'appareil mobile. Elle ressentait le besoin urgent d'intervenir avant qu'il ne soit trop tard.
Elle a donc poursuivi l'homme à la course, ne portant rien d'autre qu'un bikini.
«Il n'y avait pas de temps à perdre, alors je lui ai couru après, sur 15 mètres environ», a-t-elle révélé à TheLocal.se. «Une de mes amies est aussi policière alors nous l'avons maîtrisé. Puisqu'il a essayé de s'échapper, nous l'avons maintenu avec plus de force.»
Kellner a publié une photo de l'arrestation sur sa page Instagram, qui est rapidement devenue virale.
 
La policière a d'ailleurs révélé qu'une fois ses instincts professionnels enclenchés, elle n'a pas songé à son habillement.
«Je n'ai pas hésité. Même nue, je serais aussi intervenue. Rien n'aurait pu m'arrêter, mais c'est assez comique d'avoir arrêté quelqu'un en bikini.»




Huffington


Les services de contrôle de l'aéroport de Nsimalen viennent d'intercepter ce soir, 26/07/2016, trois caisses remplies d'armes légères, visiblement des pistolets automatiques (voir photos), destinées à l'ambassade de France à Yaoundé.


Les autorités du Cameroun, qui nous envoient ces photos et cette information, précisent que ce n'est pas la première fois qu'elles
interceptent des cargaisons d'armes à destination de l'ambassade de France. Elles présentent cette saisie d'armes comme une preuve des manœuvres de déstabilisation du Cameroun par la France, dit notre source, qui se confirment cette nuit.


Notre source déclare que certains officiers camerounais tiennent souvent des réunions au quartier Bastos avec les officiels de l'Ambassade de France, tout en gardant le lieu secret. L'un parmi ces officiers aurait vendu la mèche auprès des autorités du régime Biya.


Rappelons que Madame Christine Robichon, désignée par l'Elysée comme ambassadrice de France au Cameroun le 16 septembre 2013 en remplacement de Bruno Gain, quitte le Cameroun dans quelques mois. Elle sera remplacée par Gilles Thibault, l'actuel ambassadeur de France au Burkina Faso. Le régime de Paul Biya avait toujours soupçonné Madame Robichon de vouloir le renverser, en organisant des "manoeuvres". Elle avait toujours été menacée, physiquement par un groupe dirigé par Alain Mebe Ngo'o lors d'une manifestation dite de soutien aux troupes contre Boko Haram, et aussi à travers la chaîne de télévision Afrique Média, qui mena une grande campagne contre la France au Cameroun, réussissant à enflammer la haine populaire contre les français. De sorte qu'il fallut en juillet 2015 que François Hollande rassure le peuple camerounais lors de sa visite, en disant que la France est à ses cotés.



Cameroun Online


Koudjalima est tombé dans les mailles des filets du comité de vigilance de Gansé. Longtemps recherché après sa première évasion du BIR, ce leader de la secte islamiste a été appréhendé près de Kolofata.

 


 Le grappin vient (enfin) d’être mis sur le redoutable Koudjalima, leader camerounais de la secte Boko Haram. En effet, sous la couverture de transporteur, ce dernier opérait discrètement dans le secteur de Banki, Amchidé et Kolofata (Extrême-Nord). Ses activités discrètes et subversives n’ont nullement échappé à la vigilance des membres du comité d’autodéfense qui l’ont arrêté et mis à la disposition de la gendarmerie. Les enquêtes sont actuellement en cours pour déterminer avec exactitude l’étendue de ses responsabilités au sein de ce groupe terroriste.

Il ressort de sources concordantes que ce parrain du jihad au Cameroun avait été appréhendé six mois plus tôt. Détenu au camp du Bataillon d’Intervention Rapide (BIR) d’Amchidé puis de Kolofata, il avait réussi à s’évaporer dans la nature. Cette fois-ci, les autorités sécuritaires sont décidées à lui soutirer toutes les informations nécessaires pour mieux combattre Abubakar Shekau et ses hommes.

Notons que la Force multinationale mixte (Fmm) et les comités de vigilance qui en sont le bras séculier continuent de travailler en parfaite synergie pour venir à bout de cette hydre. Mais les autorités gagneraient à mieux suivre ces mouvements d’autodéfense, le cas échéant, à accroître leur dotation. Toutefois, les forces régulières doivent également demeurer en première ligne afin de bien orienter cette guerre asymétrique.

Afrique sur 7

Photo: L'ancien otage Floribert Kambale Safari pose devant sa maison à Kayna, en République démocratique du Congo, le 15 juillet 2016 - afp.com/Eduardo Soteras




Kayna (RD Congo) - Floribert Kambale Safari a troqué sa condition d'otage pour un nouvel asservissement. Enlevé pendant trois jours par des bandits dans l'Est de la République démocratique du Congo, il devra désormais consacrer pendant huit ans l'intégralité de son maigre revenu au remboursement de la rançon ayant permis de le libérer. 

Paysan, M. Safari reçoit l'AFP devant sa maison en torchis coiffée d'un toit en tôle rouillée à Kayna, dans la verdure des collines du Nord-Kivu. 
Né en 1954, ce petit homme au sourire triste et à la barbe poivre et sel raconte avoir été enlevé de nuit, début mai, par trois hommes armés et cagoulés dans le cabanon de son champ. 
Les ravisseurs exigent d'abord 1.500 dollars pour sa libération. Ils finiront par accepter les 500 dollars péniblement récoltés par sa famille à coup d'emprunts à droite, à gauche. 
Sa mésaventure est loin d'être isolée : depuis plus d'un an, la région est frappée par une vague d'enlèvements. 
Paysans, chauffeurs, employés d'ONG, imams, prêtres catholiques, agents de l'état... Les rapts se comptent par dizaines et se dénouent presque toujours après versement d'une rançon, l'intervention des forces de l'ordre étant extrêmement rare. 
L'insécurité -- sur fond de pauvreté généralisée -- est telle dans cette zone aux confins des territoires de Lubero, Rutshuru et Walikale, que certaines oeuvres caritatives comme la Croix-Rouge internationale ont suspendu leurs opérations pendant plusieurs mois alors que les besoins ne manquent pas. 
Plusieurs milices comme les rebelles hutu rwandais des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) ou des groupes d'autodéfense qui leur sont opposés sont actives dans la région et pourraient être impliquées dans ces crimes, de même qu'un ou plusieurs réseaux de bandits. 

- 15.000 dollars -

Interrogé par l'AFP à Goma, la capitale provinciale, le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, confesse une certaine impuissance. 
"Nous sommes en train d'assister à un nouveau fléau (...) c'est un nouveau business", dit-il. "On est en train de réfléchir sur le mécanisme pour mettre fin à ça.
À Kayna, comme dans la majeure partie du Congo, il n'y a ni eau courante, ni électricité, pratiquement pas de rues bitumées, et les seuls bâtiments en dur, fort décrépis, semblent dater de la colonisation belge (avant 1960). 
Depuis sa libération le 13 mai, M. Safari n'ose plus retourner dans sa bananeraie par crainte d'être enlevé de nouveau par les mêmes ravisseurs. 
Pour tout revenu, il dit gagner chaque mois 5.000 francs congolais (environ cinq dollars) que lui rapporte la vente d'un bidon de "kasiksi" (alcool de banane) et sur lesquels aucune économie n'est possible. 
"Je ne sais pas comment je vais faire pour rembourser", dit-il, "ici, on souffre ; si j'avais les moyens, j'irais vivre ailleurs". 
Déménager, c'est ce qu'a fait Isaac Kavusa Vukole après avoir été pris en otage. Selon son témoignage, ce commerçant de Kayna qui approche la quarantaine a été enlevé en septembre 2015 à son domicile par des hommes armés et cagoulés qui l'ont conduit en forêt. 
Deux jours durant, ses ravisseurs font pression sur sa famille en menaçant de le tuer ou en le fouettant pendant qu'il supplie ses proches de réunir les 15.000 dollars qu'ils exigent. La famille arrivera finalement à réunir 4.500 dollars, somme qui sera jugée suffisante pour le relâcher. 

- Convoi armé -

Plus prospère que M. Safari, M. Kavusa dit avoir remboursé en un mois les 3.000 dollars empruntés pour sa rançon. Mais au prix de la vente des trois quarts de son stock, et il doit maintenant payer un loyer pour son nouveau logement. 
En voyage, "je vis en clandestinité. Le soir, je fais tout pour ne pas être visible", dit M. Kavusa, contraint de revenir régulièrement à Kayna et dans ses environs pour vérifier la bonne marche de ses boutiques. 
Entre Kanyabayonga et Kiwanja, plus au sud, ce sont les véhicules circulant sur la piste (principal axe routier nord-sud de la province) qui ont longtemps été visés. 
Depuis quelques mois, à la demande de M. Paluku, les voitures peuvent circuler en convoi escorté par un petit nombre de soldats, à raison de deux départs par jour dans les deux sens. 
Conducteur de camion-benne, José Byamungu Muderwa, dit avoir été un jour obligé d'arrêter son véhicule par des hommes armés ayant emmené avec eux 17 personnes. 
Plusieurs voyageurs faisant route sous la protection des soldats estiment que celle-ci, pour bienvenue qu'elle soit, est un pis-aller . 
Pour Jeannot Kisiba, comptable trentenaire, les autorités feraient mieux "de mettre fin au problème de l'insécurité" qui gangrène la province depuis plus de vingt ans. 

L'Express



Une information judiciaire a été ouverte à l'encontre des quatre hommes et de la femme arrêtés dans l'enquête sur l'attentat de Nice.

« Le parquet a ouvert à la mi-journée une information judiciaire des chefs de participation à une association de malfaiteurs terroristes, en vue de la préparation d'un ou plus crimes d'atteinte aux personnes », a indiqué le procureur de Paris François Molins. Il a précisé avoir requis le placement en détention provisoire de ces cinq personnes, qui ne sont « pas connues des services spécialisés de renseignements ». L'auteur de l'attentat du 14 juillet à Nice a pu bénéficier de complicités et « semble avoir envisagé et mûri plusieurs mois avant son passage à l'acte », a ajouté François Molins.
 
« Les investigations menées depuis la nuit du 14 juillet dernier n'ont cessé d'avancer et ont permis non seulement de confirmer plus encore le caractère prémédité du passage à l'acte mortifère de Mohamed Lahouaiej Bouhlel, mais également d'établir que ce dernier avait pu bénéficier de soutiens et de complicités dans la préparation et la commission de son acte criminel. »

Confondus par des « éléments de téléphonie »

 Les cinq personnes sont Ramzi A., un Franco-Tunisien né le 28 novembre 1994 à Nice, Chokri C., Tunisien né le 11 juillet 1979, Artan H., Albanais né le 30 janvier 1978, Mohamed Oualid G., Franco-Tunisien né le 19 février 1976, et Enkeledja Z., née le 3 mars 1974, de nationalité française et albanaise. « Le parquet a ouvert à la mi-journée une information judiciaire des chefs de participation à une association de malfaiteurs terroristes, en vue de la préparation d'un ou plusieurs crimes d'atteinte aux personnes », du « chef d'assassinat et complicité d'assassinat en bande organisée, du chef de tentative et complicité de tentative d'assassinat en bande organisée et sur personne dépositaire de l'ordre public, du chef d'acquisition, détention et cession d'armes de catégorie A et B en bande organisée, du chef de port et transport d'armes de catégorie A et B », a déclaré le procureur. Toutes ces infractions « étant en relation avec une entreprise terroriste », a-t-il précisé.

C'est grâce à des « éléments de téléphonie » que les cinq suspects ont été interpellés. « L'exploitation de la téléphonie a pu établir de nombreux contacts entre eux », a souligné le procureur, précisant que les liens entre Lahouaiej Bouhlel et ses complices présumés « transparaissent aussi sur les éléments dans le camion et sur la fourniture d'armes ». Ces exploitations ont aussi permis de trouver des « clichés révélateurs » de la préméditation de l'attentat. Celui-ci a fait 84 morts et 331 blessés. Le pronostic vital de 15 d'entre eux est toujours engagé.

 Le point


Les Forces armées gabonaises ainsi que les parents des disparus se sont mobilisés, hier en fin de matinée, pour recevoir les dépouilles des deux militaires gabonais de la Minusca décédés récemment en Centrafrique. Cérémonie funèbre et dépôt de gerbes de fleurs au gymnase du Prytanée militaire.

La cérémonie d’honneurs funèbres aux feus caporaux Nzombi Yopa et Mouloungui Nziengui a eu lieu au gymnase du Prytanée militaire en présence du chef d’État-major général des Forces armées, le général Auguste Roger Bibaye Itandas. Ainsi que de plusieurs responsables d’autres corps. Entre autres, la Garde républicaine, le Génie militaire, la Gendarmerie nationale, la Marine nationale, les Sapeurs pompiers, etc.

Les parents, amis, connaissances et frères d’armes ont, à cette occasion, laissé éclaté leurs douleurs. Dans la dignité. Après l’exposition des dépouilles, moment qui n’a laissé personne insensible, s’en est suivi le dépôt de gerbes des fleurs. Le bal a été ouvert par le représentant du ministère de la Défense nationale. Aujourd’hui, nos deux vaillants soldats auront droit aux honneurs militaires, puis seront décorés à titre posthume au même endroit en présence du ministre de la Défense nationale, Mathias Otounga Ossibadjouo.



l'Union

 

Le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll a confirmé ce mercredi sur France Info la présence de forces spéciales françaises en Libye. Mais c'est le ministère de la Défense qui a confirmé la mort de trois soldats français. Jean-Yves Le Drian a rendu hommage à "ces militaires engagés au service de la France." 

Dans son communiqué, le ministre de la Défense "salue le courage et le dévouement de ces militaires engagés au service de la France, qui accomplissent, tous les jours, des missions dangereuses contre le terrorisme" et il adresse ses condoléances à leurs familles. En fin de matinée, François Hollande a confirmé que ces soldats étaient morts "dans le cadre d'un accident d'hélicoptère." 

 "Trois de nos soldats, qui étaient justement dans ces opérations, viennent de perdre la vie dans le cadre d'un accident d'hélicoptère" 

 

"Oui, les forces spéciales sont là"

Interrogé ce mercredi matin sur France Info sur le fait que la France mène actuellement des opérations secrètes en Libye, le porte-parole du gouvernement a été clair : "Oui, les forces spéciales sont là. Bien sûr pour aider et puis faire en sorte que la France soit présente partout pour lutter contre les terroristes". 

La France a  toujours été réticente à communiquer de manière officielle sur ses forces spéciales où qu'elles soient d'ailleurs. On savait toutefois que des éléments étaient déployés en Libye quelques dizaines d’hommes qui conseillent l’armée nationale libyenne dans son combat contre Daech, ce que font aussi les Britanniques et les Américains. Ces hommes ne sont pas sur les lignes de front.

Réunion internationale sur la lutte contre Daech à Washington

La lutte contre Daech en Libye est une priorité des Occidentaux au même titre qu'en Irak et en Syrie parce que l'organisation terroriste y monte en puissance depuis plusieurs mois et qu'elle se rapproche chaque jour davantage du sud de l'Europe. "La Libye connaît (...) une instabilité dangereuse", a dit ce matin François Hollande. Elle est toujours déchirée entre deux factions rivales qui soutiennent chacune un gouvernement et ce chaos profite aux groupes djihadistes.

Une réunion internationale sur la lutte contre Daech se tient à partir d’aujourd’hui à Washington avec comme objectif de coordonner les forces françaises et américaines pour enfin reprendre à l’Etat islamique sa capitale irakienne, Mossoul. Les chancelleries veulent croire que toucher à l’épicentre, au coeur de Daech, c’est empêcher son idéologie mortifère de s’étendre.


Avec France Info



Selon le ministre malien de la Défense à la télévision publique, 17 soldats maliens ont été tués et 35 blessés mardi dans une "attaque terroriste coordonnée" contre un camp militaire dans le centre du Mali.

L’attaque a été perpétrée par des hommes armés non autrement identifiés à Nampala.

Le porte-parole de l’armée malienne a affirmé que les assaillants sont arrivés dans un convoi de plusieurs véhicules et ont attaqué plusieurs positions de l’armée avant de battre en retraite à plus de 45 kms de la ville.

Depuis le précédent communiqué qui faisait état de "12 morts, une trentaine de blessés" militaires à Nampala, "le bilan a évolué: nous avons perdu 17 hommes et déplorons 35 blessés", a déclaré le ministre Tièman Hubert Coulibaly, évoquant une "attaque terroriste coordonnée sur nos positions", sans identifier de responsables.

Photo: Ce navire de guerre (43.000 tonnes et 305 mètres de long) est équipé d'avions de combats et d'hélicoptères blindés. © (Twitter).

La Russie enverra son plus grand navire de guerre, équipé d'avions de combats et d'hélicoptères blindés, pour éliminer Daesh. 


Avec les récents attentats perpétrés au Bangladesh (20 morts) et à Bagdad (250 morts) par Daesh, Vladimir Poutine compte passer à la vitesse supérieure. Comme le relate le Daily Mail, le président russe enverra son plus grand porte-avion pour "anéantir" l'État Islamique.

Selon l'agence Tass, la Russie déploiera l'Amiral Kuznetsov, en Méditerranée dès octobre prochain. Ce navire de guerre (43.000 tonnes et 305 mètres de long) est équipé d'avions de combats et d'hélicoptères blindés. Il peut transporter jusqu'à 41 avions et 18 hélicoptères.

Attaque coordonnée

 Selon une source militaire russe, l'Amiral Kuznetsov se rapprochera de la côte syrienne pour que les troupes russes puissent remplir leur mission et avoir assez d'essence pour rentrer au pays. Les soldats occupant le camp de base situé à Latakia (Syrie) seront d'une précieuse aide pour la Russie.

"Le but est est de réaliser des attaques aériennes contre les terroristes", ajoute cette même source à l'agence Tass. 


7sur7

30 juin 2016, une date qui restera dans les annales du Sénégal. En effet, le président Macky Sall a ordonné le retrait d’urgence des enfants de la rue en ce jour. La cérémonie officielle de cette campagne s’est déroulée ce matin en présence du ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfance, Mariama Sarr. Ce plan vise à retirer et réhabiliter les enfants exploités et en situation dangereuse.

 
« Ces centaines de milliers d’enfants sans aucune protection sont ainsi livrés à diverses formes d’exploitation et de maltraitance au mépris de leur droit les plus élémentaires liés à l’éducation et aux soins familiaux. Au nom du principe de l’intérêt supérieur de l’enfant et en application de la loi, le gouvernement a décidé de mettre fin à ces souffrances insupportables des violations graves des droits des enfants », a déclaré le ministre Mariama Sarr.

Il sera mis en œuvre en partenariat avec les différents services étatiques compétents, les collectivités locales, les organisations de la société civile et les communautés.
«Le retrait des enfants se fera avec le concours du ministère de l’Intérieur à travers la brigade des mineurs qui procédera en même temps à l’identification de tous les enfants avant leur placement dans les centres d’accueil  dans les familles et les structures d’apprentissage », a renchéri le ministre.

Cette  phase sera suivie par un processus de réhabilitation qui permettra d’offrir aux enfants les services de protection nécessaires le plus recensé et de procéder à leur retour dans leurs espaces familiaux.

Pour Mariama Sarr, « Le retour dans les régions se fera en relation avec les autorités administratives compétentes qui seront chargées de remettre les enfants à leurs familles. Il peut aussi avoir une autre possibilité c’est-à-dire les maintenir dans les centres d’éducation; et dans ce cadre, ils auront l’appui permanent du gouvernement du Sénégal ».

En ce qui concerne les enfants d’une nationalité autre que sénégalaise, le dispositif ouest africain de coopération en la matière, développé par le réseau ouest africain pour la protection de l’enfant, sera mis à contribution en relation avec les ambassades des pays concernés. La coordination et le suivi de ce travail seront assurés par un comité restreint opérationnel composé des représentants des départements sectoriels des organisations de la société civile, des leaders d’opinion et des partenaires techniques et financiers.
Sur la question de ressources nécessaires à l’opérationalisation de ce plan, le ministre Mariama Sarr a rassuré que « le gouvernement ne ménagera aucun effort pour mobiliser tous les moyens à sa disposition ».

Concluant son intervention lors de cette cérémonie de lancement officiel de retrait des enfants de la rue et de restauration de leur droit à l’éducation, à la protection, et à la vie, Madame le ministre a lancé un appel aux forces vives et à tous les citoyens pour prendre part activement à cette initiative.

SénéNews

Par souci d’efficacité et de rapprochement avec les usagers, la préfecture de police de Libreville vient de mettre à dispositions des populations, un service de sécurité en ligne, composé notamment, d’une page Facebook et d’un site internet.
 
A travers la page Facebook, les usagers auront désormais les réponses liées à leur sécurité en temps réel. Elle permettra également aux populations d’avoir une parfaite maitrise des services et missions dévolus à la préfecture de police de Libreville

Le deuxième outil que constitue le site internet - www.prefecture-police.libreville.ga - tout comme la page Facebook, est appelé à fournir des informations liées à la préfecture de police de Libreville notamment, à son fonctionnement ainsi qu’aux différentes activités menées quotidiennement par cette institution. 

Autrement dit, « avec ces deux outils innovants, les Forces de police nationale gabonaises entendent renforcer et dynamiser leurs capacités pour des objectifs nobles d’un service efficace et de qualité. L’objectif étant de donner la possibilité à tous les usagers de pouvoir bénéficier de ces services de proximité.», souligne-t-on, de la direction de l'information gouvernementale. 

Le Nouveau Gabon

Les forces de sécurité du Bangladesh ont donné l'assaut, samedi matin, dans un café-restaurant du quartier diplomatique de la capitale où 20 otages ont été tués selon l'armée. 

20 otages, d'origine étrangère, ont été tués par des hommes armés qui ont pris d'assaut un café-restaurant de Dacca au Bangladesh vendredi soir. Les victimes sont essentiellement des Italiens et des Japonais, a annoncé samedi un haut responsable de l'armée.

L'assaut final des forces spéciales a été donné vers 4h00, samedi matin, dans ce restaurant du quartier diplomatique de Dacca, où une vingtaine de personnes avaient été prises en otages par des hommes armés. Selon les autorités, six assaillants ont été tués.

Treize otages, dont trois étrangers (un Japonnais et deux Sri-lankais), ont été secourus lors de l'assaut mené par des militaires et commandos d'élite mobilisés pour neutraliser les assaillants. Deux policiers bangladais, en faction près du café-restaurant, ont été tués dans la fusillade qui a précédé la prise d'otages. 

Prise d'otages et fusillade revendiquées par Daech

Le Premier ministre du Bangladesh, Sheikh Hasina, a déclaré samedi être "déterminée à éradiquer le terrorisme" après la fin de la prise d'otages. 

Le restaurant  Holey Artisan Bakery, situé dans le quartier diplomatique de la capitale, est très prisé de la communauté internationale de Dacca. Cette attaque dans un quartier ultra-sécurisé est sans précédent au Bengladesh et marque une intensification de la violence dans le pays. 

Le Bengladesh est en proie à une vague de meurtres depuis trois ans, souvent à l'arme blanche, ciblant des personnes appartenant à des minorités religieuses, des intellectuels et des blogueurs.

Une majorité de ces meurtres ont été revendiqués par Daech mais le gouvernement Bengladais refuse la présence de l'organisation terroriste sur son territoire, et pointe du doigt le principal parti islamiste du pays. 


France Info

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