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18:53:00 , , ,

Ce dimanche 18 décembre, MHD a été contraint d’annuler son concert en Guinée. Pour cause : son de mauvaise qualité, jets de projectiles, normes de sécurité non respectées par les organisateurs…


Première source d’agacement, la sono était mal réglée ! Les journalistes de guinee7.com se sont rendus sur place, et comme l’a rapporté un fan du prince de l’afrotrap : ‘‘La sono était pire que la mamaya des rues de Conakry’’. Grosse déception pour les amateurs qui ont fait de nombreux kilomètres pour venir écouter des grésillements de micro à la place de la voie de leur idole. Deuxième point sensible: l’absence de sécurité. Le staff n’a pas pu empêcher les casseurs de faire des leurs.


Un autre fan présent sur place a déclaré :  ‘‘Un véhicule a été pris pour cible et complètement saccagé’’. Difficile de prendre plaisir quand des individus cassent tout juste à côté de vous ! Troisième et dernier point, les organisateurs ont laissé pénétrer 120 000 personnes dans la zone du concert alors que la surface pouvait en accueillir 40 000 maximum. On vous laisse imaginer thermosphère irrespirable dans laquelle les fans ont du résister jusqu’à l’évacuation…

Trace  


Une école de musique ultramoderne est en cours de construction à Libreville, la capitale du Gabon.

 

L'African Music Institute (AMI), à l'initiative du gouvernement du Gabon, fait partie du réseau international du Berklee College of Music à Boston, Massachusetts aux Etats-Unis, l'une des plus prestigieuses écoles de musique privées avec plus de 270 Grammies attribués à ses anciens élèves.

Bénéficiant d'un campus ultramoderne sur six hectares au cœur de Libreville, le nouvel institut offrira un site et des équipements de pointe comprenant des studios d'enregistrement, des studios de télévision, des salles de spectacles entre autres. L'hébergement en campus est également proposé.

AMI, qui ouvrira ses portes en Septembre 2017, s’adresse aux étudiants du continent et offrira des formations de Berklee en anglais et en français. Les inscriptions débuteront en Janvier de l'année prochaine.
L'institut aura la capacité d'accueillir au moins 140 étudiants chaque année (80 % pour la licence et 20 % pour la maîtrise en musique et disciplines complémentaires). Les étudiants pourront se spécialiser dans une variété de sujets notamment la composition musicale, la composition de musique de film, la production musicale et la technologie du son, la production et le design électroniques, le spectacle et la danse.
En 2018, AMI proposera des cours intensifs, notamment un programme d'études de 7 semaines à l'étranger et un cours de 5 semaines en interprétation musicale.

Atelier de formation gratuit en Septembre

Du 26 au 30 Septembre 2016, le Berklee College of Music, en partenariat avec l'AMI et le gouvernement gabonais, proposera un atelier gratuit mettant l'accent sur l’interprétation musicale contemporaine. L'atelier aura lieu à Libreville et est ouvert aux musiciens du continent s’exprimant dans tous les genres musicaux. 
Les organisateurs sont à la recherche de 180 étudiants, qui seront formés par des experts de Berklee. L'atelier se tiendra en anglais et en français. Pour y participer, les étudiants doivent être âgés de 18 à 30 ans et doivent jouer d'un instrument ou pratiquer le chant pendant un minimum de six mois.
Pour présenter votre candidature, veuillez remplir et soumettre le formulaire en ligne.  

La date limite est fixée au samedi 10 Septembre 2016.

Tous les candidats sont vivement invités à présenter des documents à l'appui (sous forme de liens vers des échantillons audio ou vidéo) démontrant leur expérience et compétences musicales.
Les participants seront logés et nourris gratuitement, mais devront prendre en charge toutes leurs dépenses de voyage. Les participants recevront un certificat à l’issue de la formation. 
Pour plus d’informations, visitez le site de l’African Music Institute.

Music In Africa

Le musicien congolais Francois Matumona, alias Le Général Defao, est détenu dans un hôtel de Mombasa pour n’avoir pas payé une facture de moins de 200 USD.


Le musicien a été arrêté samedi pour avoir omis de payer la facture pour la nourriture et son séjour dans un Hôtel à Nairobi au Kenya. Il est depuis détenu à Rickseaside Villas à Nyali, toujours dans cet hôtel de banlieu chic de Nairobi.

Il a déclaré aux journalistes qu’un club à Mombasa a refusé de régler la facture.Il a dit qu’il est arrivé à l’hôtel le 28 Juillet et a quitté le samedi dernier. Le musicien a déclaré que les responsables de la boîte de nuit lui ont « demandé de rester pour un autre concert le 3 Août. Toutefois, ce concert improvisé n’a pas eu lieu ».

La facture pour son séjour entre du 28 Juillet et le 1er Août a déjà réglée mais les responsables de la boîte de nuit n’ont pas payé pour les quatre jours supplémentaires. 

Direct CD



Intégrer la troupe de danseuses de Koffi Olomidé a longtemps fait rêver les jeunes filles des quartiers populaires de Kinshasa. Et cela relevait du privilège que d’être choisie par le « patron ». Qu’importe si une taquinerie en vogue dans cette mégapole de plus de dix millions d’habitants voulait qu’une dame vêtue de façon sexy soit « habillée comme une danseuse de Koffi ». Car le roi de la rumba congolaise fait partie de ces légendes contemporaines africaines qui a vendu des millions d’albums, adulé par son public et courtisé par des chefs d’Etat de la région. Son visage rond et rieur, ses costumes élégants ou extravagants, ses chansons romantiques ou vulgaires et ses pas de danse ont fait de lui une icône du continent.

 

Interdit de séjour en France

Mais au-delà de sa voix douce, ses fans ont redécouvert une violence brute. Vendredi 22 juillet, Koffi Olomidé vient d’arriver à l’aéroport de Nairobi avec sa troupe lorsqu’il porte un coup de pied à l’une de ses danseuses. « Quelques secondes d’égarement », s’est justifié l’artiste dans un message d’excuse.

Mais la scène, filmée, a irrigué les réseaux sociaux. Arrêtée par les autorités kényanes, la vedette congolaise est expulsée et voit son concert prévu à Lusaka annulé. De retour à Kinshasa, il est hué à son arrivée, est placé en détention le 26 juillet puis libéré sous caution quatre jours plus tard. « J’ai subi, j’ai compris », écrit-il sur sa page Facebook dans la foulée. Depuis, il poste des « selfies », entourés de sa famille et de Fally Ipupa, autre grand nom de la musique congolaise qui a fait ses classes dans le groupe de Koffi Olomidé, Quartier Latin.

Pourtant, Koffi Olomidé n’en est pas à sa première frasque. Celui qui a été le premier chanteur africain à faire salle comble à Bercy en 2000 est désormais interdit de séjour en France.

Antoine Christophe Agbepa Mumba, de son vrai nom, reste visé par un mandat d’arrêt international émis par la justice française en 2009 et renouvelé en 2012. « L’instruction est encore ouverte, la procédure n’a pas été clôturée et l’enquête se poursuit », indique-t-on au tribunal de grande instance de Nanterre.

La star franco congolaise, née il y a soixante ans à Kisangani, la grande ville du nord du pays, est poursuivie en France pour « viol sur mineure de quinze ans », « séquestration », « aide à l’entrée et au séjour d’une étrangère en France », « conditions de travail ou d’hébergement contraires à la dignité humaine ».

Les faits se sont déroulés entre 2002 et 2006 sur des danseuses parfois mineures et aux parcours de vie perturbés par la perte de leurs parents dans la première guerre du Congo (1996-1997), la misère et la violence familiale. Après avoir été contrôlées sans papier à Lyon où elles se trouvaient pour un concert, trois d’entre elles se sont décidées à témoigner devant les juges, avec le soutien du Comité contre l’esclavage moderne.

« Viols » réguliers

Leurs récits parfois décousus décrivent un envers du décor sordide, dont le théâtre principal est une maison louée par l’artiste en banlieue parisienne, à Asnières (Hauts-de-Seine). Durant les tournées françaises, c’est là que sont hébergées les danseuses dont la plupart sont venues illégalement en France, munies de passeports d’autres individus fournis, disent-elles, par Koffi Olomidé. Un détail frappe les enquêteurs : « les portes et surtout les fenêtres étaient munies de verrous de nature à les empêcher de quitter les lieux », lit-on dans le dossier judiciaire que Le Monde Afrique a pu consulter.
Une danseuse y relate son quotidien lors des tournées françaises de Koffi Olomidé :

« Dès que le concert était terminé, on devait rentrer à la maison, à Asnières. On était gardées par trois vigiles. On était quatre dans la même chambre, on n’avait pas le droit de sortir sans autorisation. Je ne pouvais pas téléphoner, même à ma mère. On était payé 100 euros pour un concert de minuit à six heures de matin. On était forcées de coucher avec lui : il appelait un vigile pour qu’il amène une danseuse à l’Etap Hôtel ».

Puis elle décrit la brutalité sexuelle de l’un des pères de la rumba congolaise également redouté pour ses pratiques mystiques : « il fait de la magie, des trucs bizarres, il nous soufflait sur le corps ».

Lorsque ce n’était pas à l’hôtel, les « viols » se déroulaient parfois dans le studio d’enregistrement ou dans les toilettes d’un supermarché d’Asnières, se souvient une autre danseuse âgée de quatorze ans à l’époque des faits.

« Il m’a demandé de l’accompagner faire des courses. (…) Il m’a demandé de déposer le caddie, que j’aille aux toilettes et que je ne ferme pas la porte. Après, il est venu. (…) Il m’a dit que je me tourne et a fait rentrer son truc. (…) J’avais mal. Il m’a dit “ne crie pas” parce qu’il y avait des gens à côté ».

Celles qui se refusaient à lui étaient renvoyées. Souriantes et avenantes sur scène, les danseuses étaient en fait « humiliées », « salies », régulièrement « violées » par celui qui n’a pas hésité à se présenter comme un défenseur du droit des femmes. Lorsqu’elles tombaient enceintes, Koffi Olomidé les contraignait à avaler des « cachets blancs », raconte l’une d’entre elles. Ce qui provoquait des fausses couches. Parfois, la situation médicale empirait. Et il était contraint de les emmener à l’hôpital où elles étaient admises sous l’identité d’Aliane Olomidé, son épouse.


Le roi de la rumba reste populaire

Ces danseuses ont aussi vécu enfermées dans la maison à Kinshasa de la mère du chanteur, dans le quartier résidentiel de Ma Campagne. Là encore, elles vivaient sous la surveillance permanente de vigiles, terrorisées et à la merci du « boss ». À côté de cette maison-prison, il y a un hôtel au nom de crustacé où les vigiles amenaient des danseuses contraintes d’assouvir les pulsions de la star qui les y attendait, entièrement nue. Les viols étaient réguliers et brutaux, selon les témoignages consultés par Le Monde Afrique.
La plupart d’entre elles adulaient pourtant Koffi Olomidé. Pouvoir danser dans sa troupe, l’accompagner dans ses tournées à l’étranger, était un conte de fée pour des Kinoises belles, talentueuses et désargentées.

Lire aussi : A Abidjan, l’arrestation de Koffi Olomidé ravive un mauvais souvenir
L’artiste franco congolais a été mis en examen et ne peut plus fouler le sol français où il serait immédiatement incarcéré. Sa défense met en avant des failles de l’enquête. « Le dossier judiciaire est très bizarre, avec l’une des plaignantes qui a menti sur son âge, s’étant présentée comme mineure, ce qui s’est révélé faux, pointe Me Emmanuel Marsigny, l’avocat parisien de Koffi Olomidé. Le dossier ne repose que sur des accusations qui ont permis aux accusatrices de rester sur le territoire français où elles étaient entrées illégalement ».

Or cet épisode judiciaire n’a pas égratigné la popularité de Koffi Olomidé, même s’il a également été condamné à trois mois de prison avec sursis à Kinshasa pour avoir violemment frappé son producteur en 2012. Pour le coup de pied de Nairobi, il est poursuivi par la justice congolaise. Mais la danseuse violentée n’a pas souhaité porter plainte. Il reste dangereux de s’attaquer au roi de la rumba moderne, porté au pinacle par la rue comme par le gouvernement congolais qui l’a décoré en décembre 2015 de la médaille du mérite des arts, des sciences et des lettres.

 Avec LeMonde


La reprise de Samuel, jeune Gabonais de 17 ans, sur "The Power of Love" de Céline Dion fait le tour du monde. La chanteuse n'est pas passée à côté du phénomène et vient de lui écrire un message tendre et plein d'encouragements : "Ton talent est aussi grand que ta voix". 


Tient-on déjà le futur gagnant de "The Voice" saison 6 ? Alors que le télé-crochet ne reviendra pas avant janvier 2017, le public connait déjà Samuel, âgé de 17 ans, vivant au Gabon. Et il pourrait bien déjà faire sensation l'an prochain sur TF1 après avoir été découvert sur Internet. En effet, sa reprise bouleversante de "The Power of Love", le tube de Céline Dion, est en train de faire le tour du monde et les équipes de "The Voice" l'ont d'ores et déjà contacté. Dans sa cage d'escalier à Libreville, l'adolescent interprète la chanson avec une voix haut perchée et une bonne dose d'émotion. Deux millions de vues ont été recensées sur Facebook en moins de dix jours ! « Je suis très content et ému. Je veux faire de la musique mon métier, mais jusqu'alors je n'avais aucun soutien. Et même mes parents n'étaient pas toujours vraiment d'accord » vient de confier Samuel, encore déboussolé par le buzz autour de sa reprise.

"J'espère que nous aurons l'occasion de nous rencontrer"

« Dès le lendemain de la publication, j'ai reçu un appel de la part d'un producteur qui veut m'aider à me lancer. (...) D'autres producteurs cherchent à me joindre et à savoir où j'habite pour discuter avec moi » a renchéri Samuel, aussi émerveillé qu'impressionné. Et le conte de fées continue pour lui ! Céline Dion en personne a tenu à lui laisser un message sur sa page Facebook officielle après avoir visionné sa reprise. « Samuel, ton talent est aussi grand que ta voix. Je suis très touchée que mes chansons aient voyagé jusqu'à toi » a écrit l'interprète de "Encore un soir", visiblement émue. Et si un duo entre Céline Dion et Samuel avait lieu prochainement ?


« J'espère que nous aurons un jour l'occasion de nous rencontrer et je te souhaite de réaliser tous tes rêves. Continue de chanter comme tu le fais : quand la musique vient du cœur, elle traverse toutes les frontières.… Céline » a renchéri la chanteuse, avec la bienveillance que le public lui connaît.







PureBreak Charts


Photo: A droite casquette à la tête: le chanteur Koffi Olomide et ses avocats avant le verdict de son procès le 16/08/2012 au tribunal de paix de la Gombe à Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

Après son audition, mardi 26 juillet au Parquet de grande instance de Gombe, le chanteur congolais Koffi Olomide est placé sous mandat d’arrêt provisoire à la prison centrale de Makala.


Le Parquet le poursuit pour coups et blessures volontaires administrés en public à l’une de ses danseuses. Les faits ont eu lieu vendredi dernier à Nairobi, au Kenya, d’où l’artiste musicien congolais a été expulsé suite à cet acte.

Au sortir de l’audition, Me Tony Mwaba Kazadi, l’un des avocats de Koffi Olomide indique que l’instruction se poursuit.

« L’instruction va continuer mais avec Koffi en privation de liberté. On l’achemine [à la prison centrale de Makala]. Pour la loi, c’est 5 jours et après on verra », a expliqué Me Tony Mwaba Kazadi.
Selon l’avocat de Koffi Olomide, le fait reproché à Koffi Olomide a déjà été classé sans suite.

« Ici on le poursuit alors qu’il n’y a ni plaignant ni dénonciation d’une autorité judiciaire de Nairobi », a déploré Me Tony mwaba Kazadi.

Des sources judiciaires renseignent qu’il y a plusieurs plaignants notamment le ministère kenyan du Genre et l’Etat congolais à travers les ministères provincial et central du Genre.
Me Tony Mwaba se veut prudent et ne confirme pas ces faits.

« On a entendu qu’elle est [Mme Mabunda, conseillère du chef de l’Etat en matière des violences faites à la femme] derrière le dossier mais nous on ne l’a pas vu. Je suis avocat je dois éviter des affirmations », a-t-il indiqué.

Radio Okapi

A l’occasion du Late Show présenté par James Corden, l’épouse du président américain s’est prêtée au jeu de l'émission Carpool Karaoke. Assise côté passager, la première dame des Etats-Unis a chanté sur Signed, Sealed, Delivered de Stevie Wonder et Single Ladies de Beyoncé.
« J'adore Stevie Wonder. Je connais toutes les chansons de ce chanteur sur la planète », a-t-elle déclaré. La rappeuse Missy Elliott est ensuite venue s’installer à l’arrière du véhicule pour entonner l'hymne féministe This is for my girls.


Booska-p

Les Afrimma se positionnent depuis 4 ans déjà comme l’une des plus grandes cérémonies de récompenses pour la musique urbaine en Afrique.


 Installés à Dallas aux USA, l’édition 2016 d’AFRIMMA est prévue pour le 15 novembre de cette année. Plusieurs catégories sont en présentées, et les artistes les plus en vue du continent sont nominés. Si les stars nigérianes sont à chaque fois les mieux représentées à cause de leur forte capacité de production, on note une montée en puissance des acteurs camerounais.

Depuis l’édition de 2014 remportée par Stanley Enow, les camerounais sont de plus en plus nominés aux Afrimma. L’an dernier Mani Bella avait déjà remporté le prix. Cette fois ci, ils sont 8 acteurs qui représenteront le Cameroun dans différentes catégories. Magasco, Franko et Stanley Enow sont nominés comme meilleurs artistes masculins d’Afrique centrale, comme Daphne, Reniss, et Charlotte Dipanda dans la même catégorie au féminin. Locko est nominé comme meilleure révélation africaine. Adrenalyne comme meilleur Directeur de vidéogramme. Franko est aussi nominé comme chanson de l’année, et Stanley comme meilleure vidéo avec AKA.

AfrikMag

Donald Trump et sa course à la Maison Blanche suscitent de nombreuses réactions. Parmi ses détracteurs, de nombreux artistes le critiquent, parfois violemment.

Donald Trump a officiellement été investi comme candidat du Parti Républicain à la présidentielle américaine, ce mardi 19 juillet. L'homme d'affaire divise les Etats-Unis en deux camps, les pro et les anti-Trump.  Deux camps aux idées bien différentes qui s'affrontent. Donald Trump et sa campagne pour l'élection américaine suscitent de nombreux débats. Personnage controversé, adulé ou critiqué, le milliardaire américain ne laisse personne indifférent.

Et les géants de la musique n'y échappent pas ! Les artistes peuvent être de solides soutiens dans une course à la Maison Blanche. Et à l'inverse, d'excellents portes-paroles de l'opposition. Force est ainsi de constater que de nombreux noms de la musique s’immiscent dans la campagne présidentielle américaine. Interdire un candidat d'utiliser sa musique peut notamment être un moyen pour les musiciens d'exprimer son opposition. C'est ce qu'a fait par exemple la chanteuse Adele. Dans la même mouvance, d'autres artistes ont décidé de délaisser Donald Trump, comme Demi Lovato, Cher, Miley Cyrus, les Rolling Stones, Shakira ou Usher et plus récemment le groupe Earth Wind & Fire.

Adele : la chanteuse a interdit à Donald Trump d'associer sa musique à sa campagne. Le 21 janvier dernier le candidat républicain a été présenté par sa fille sur "Rolling in the Deep". Le milliardaire monte sur scène au rythme du tube de la chanteuse, ce qu'elle a fortement refusé. "Adele n'a pas donné la permission pour que sa musique soit utilisée pour n'importe quelle campagne politique", a expliqué son porte parole suite à l'événement.

Queen : le groupe mythique s'est énervé suite à l'utilisation de son tube "We Are The Champions" par Donald Trump pendant la convention républicaine tenue lundi 18 juillet dernier. Le compte Twitter de Queen a publié un court message où il dénonce l'emprunt de leur chanson, contre son gré. L'association "répétée et non autorisée de la chanson, alors qu'une demande pour arrêter de la jouer a déjà été faite, demande qui a visiblement été ignorée par Monsieur Trump et son staff" condamnait déjà la maison de disque dans un communiqué. Cette fois c'est le groupe lui même qui s'exprime sur Twitter. "Une utilisation non autorisée à la convention républicaine contre notre volonté - Queen" est-il écrit sur la page du groupe.
Earth Wind & Fire : comme Queen et Adele, le groupe de funk américain s'insurge contre l'utilisation de sa musique pour la campagne de Donald Trump. Ce mercredi la formation dénonce sur Twitter l'emprunt du culte "September" lors de la Convention Républicaine. Une association que Earth Wind & Fire avait également interdit. Sur le compte Twitter du groupe on peut lire un message similaire à celui de Queen. "Une autre utilisation non autorisée (September) à la Convention Républicaine, contre notre volonté" peut-on lire sur leur page, accompagné d'un renvoi au post du groupe anglais qui s'opposait à l'utilisation par Trump de "We Are The Champions".

Cher : la chanteuse de 70 ans est l'une des plus forte voix contre Donald Trump. "Je n'aime rien de Donald Trump. C'est une blague à un moment où vous avez vraiment besoin de personnes sérieuses" a-t-elle expliqué au magazine Billboard. A grands coups de tweets, elle s'oppose totalement au milliardaire américain, sa page est inondée de messages hostiles. "Trump est tout ce que je déteste ! Menteur, stupide, tyrannique, raciste, vantard, misogyne, violeur, immoral, élitiste" écrit-elle dans un tweet ; "Je suis malade des con*****. Trump parle des "Gays" !! La communauté LGBT, vire cet énorme raciste malsain !! Trump ne se préoccupe que de Trump et des votes !!" dans un autre, ou encore "On achète pas la décence, la moralité ou la compassion ! Sachez qu'il est raciste, mais aussi incompétent !"



Demi Lovato : elle est également une fervente opposante à Donald Trump. Sur twitter, elle critique également le candidat républicain, qu'elle considère comme étant "une célébrité" et non un homme politique. "Nous vivons dans un montre obsédé par les "célébrités". S'il vous plaît n'en élisez pas une comme président" suivi du #ImWithHer, symbole du soutien à Hillary Clinton.

Miley Cyrus : d'habitude très discrète sur ses opinions politiques, la chanteuse a tenu à donner son avis sur Donald Trump. Sur Instagram, elle qualifie le candidat de "con stupide et sexiste" et de "cauchemar". Dans un long message elle explique : "Oui. C'est une larme qui coule sur ma joue, gouttant sur le bout de mon nez... Cela me rend incroyablement apeurée et triste... Non seulement pour notre pays mais pour tous les animaux que j'aime plus que tout au monde... Mon cœur est brisé en 100 000 morceaux... Je pense que je vais vomir... Cette image est tellement inquiétante... VOUS n'êtes pas le destin ! Ce n'est pas votre travail de décider quand une vie est finie... Et vous n'êtes pas Dieu, peu importe à quel point vous vous pensez l'être (et si il ne pense pas être Dieu il pense être le putain d'élu ou quelque chose comme ça ! (...). Honnêtement, avec toute cette merde je déménage si il est mon président ! Et je ne dis pas des choses que je ne pense pas !". Ou dans un autre elle indique en légende : "Je vais vomir / déménager hors de ce pays".




Une photo publiée par Miley Cyrus (@mileycyrus) le


Shakira : Quand Trump s'exprime sur l'immigration mexicaine, la chanteuse répond sur Twitter. "Quel discours haineux et raciste qui tente de diviser un pays qui pendant des années a prôné la diversité et la démocratie !" lance-t-elle avant d'ajouter "Personne vivant dans ce siècle devrait être à ce point ignorant" à propos d'une vidéo du candidat républicain.
Usher : l'artiste a été très clair quant à ses préférences politiques. Et il n'a pas besoin d'écrire des longues lignes sur les réseaux sociaux. Le chanteur, lors d'un concert aux BET Awards 2016, s'est exhibé portant un t-shirt où il est écrit : "Ne 'trumpez' pas l'Amérique".



L'Internaute 

La scène de la photo du haut est extraite de la vidéo « Love Drought » du film-album « Lemonade » de Beyonce… L’image qu’on aperçoit en dessous fait, elle, allusion à l’histoire de « Igbo Landing », un acte de résistance de masse mené par des captifs Igbo contre l’esclavage.


Pour ceux qui l’ignorent, “Igbo Landing” est le nom donné à l’endroit où s’est déroulé un suicide de masse d’esclaves Igbo, ayant eu lieu en 1803 aux abords de l’île de St.Simons en Géorgie aux États-Unis. L’histoire raconte que des esclaves Igbo se révoltèrent et prirent le contrôle du navire qui les emmenait en direction de cette île. Refusant de se soumettre, ces esclaves se mirent à marcher vers l’eau, au rythme de chants Igbo, puis s’y noyèrent tour à tour. En effet, ces vaillants Igbo prirent la décision de mourir dans leur dignité plutôt que de subir l’esclavage. Cet acte de résistance de masse contre les horreurs de l’esclavage devint une légende, principalement parmi le peuple Gullah vivant près du site d’Igbo Landing, sur la côte Est du sud des États-Unis, entre la Caroline du Nord et la Floride.

 


Il serait tentant (et peut-être même légitime) de penser que Beyonce est, avant tout, dans une démarche commerciale visant à promouvoir la sortie de son dernier album en surfant sur la vague de conscientisation qui déferle sur les peuples afros où qu’ils se trouvent, mais après tout, qu’importe ! L’essentiel étant d’attirer l’attention du plus grand nombre, afin qu’il soit au courant de ces actes de résistance, faits historiques “volontairement” laissés aux oubliettes par ceux qui ont réinventé l’Histoire. Il est bon et nécessaire de rappeler que parmi les captifs d’origine africaine, beaucoup ont refusé de se soumettre et ont préféré la mort à la condition d’esclave.

Morts et libres plutôt que vivants et esclaves, quel puissant message !

BYUS

 

‘’Les Seigneurs de la Forêt’’ sont sur le plan géo-humain, ethnologiquement identifiés sous l’ethno-thème de ‘’Pahouin’’. Ils font partie des deux cent quarante groupe ethno-culturels de la république du Cameroun. On les retrouve également en Guinée Equatoriale et dans le Nord du Gabon. Au Cameroun, ils sont origi-naires de trois régions parmi les dix que compte le Cameroun. 

Le Bikutsi est la musique par excellence des ‘’Seigneurs de la Forêt ‘’ que côtoient d’autres genres musicaux. 


En 1990 après la belle performance de nos Lions Indomptables (Football) au mondial, le célèbre chanteur américain Paul Simon, dans sa quête de nouvelles sonorités, signe un al-bum intitulé ‘‘The rythm of the saints’’ dont le titre phare, ‘‘Proof’’, connait un succès monu-mental ; 6 millions d’exemplaires vendus en moins de deux mois.

 Le vidéo clip tourné au Brésil, avec des images floues d’Indiens en course servant de support iconographique à l’album. Le grand public qui découvre avec émoi le chef d’oeuvre ne sait pas qu’il s’agit en réalité du ‘‘BIKUTSI’’ venu d‘Afrique. Plus drôle et plus choquant d’ailleurs, plusieurs chroniqueurs internationaux en parlent comme une musique n’ayant jamais existé nulle part et donc une création personnelle de l’artiste. Cette parenthèse malheureuse est l’un des moteur de ce concert-évènement ‘‘EKANG – FANG – BETI’’ qui fédère autour du rythme Bikutsi tous les autres genres musicaux écrits et composés par la grande famille des auteurs-compositeurs et musiciens des peuples de la forêt.







En matière de buzz, Kanye West n’a pas grand-chose à envier à sa belle Kim Kardashian. Le rappeur vient de le prouver en dévoilant, sur Tidal, le clip de Famous, extrait de son dernier album The Life of Pablo


Les réseaux sociaux se sont affolés en découvrant cette vidéo qui met à nu de nombreuses célébrités. Inspiré de Sleep (Le Sommeil), un tableau du peintre américain Vincent Desiderio, le clip de Famous montre en effet 12 personnalités, fesses et seins à l’air, allongés dans un lit aux draps blancs immaculés. 

Dix minutes durant, la caméra se balade sur les corps dénudés et les visages qui semblent appartenir à Taylor Swift, Donald Trump, la papesse de la modeAnna Wintour, Chris Brown, Rihanna, qui chante dans Famous, Kanye West et Kim Kardashian, Bill Cosby, Caitlyn Jenner, George W. Bush, et les ex respectifs du couple West-Kardashian : Amber Rose et Ray J.






Huit jours après le meurtre de Christina Grimmie, Alejandro Fuentes, un autre ex-candidat du télé-crochet, a été tué par balles aux Etats-Unis. 


Alejandro Fuentes, ancien candidat de l'émission "The Voice" au Mexique, est mort à Chicago (Illinois, nord) après avoir été touché par plusieurs balles dans un apparent "car-jacking", selon les autorités dimanche. 



C'est le deuxième candidat de cette célèbre émission de télé-crochet abattu par balle en un peu plus d'une semaine. Christina Grimmie, devenue célèbre grâce à ses prestations dans la version américaine de "The Voice", a été tuée le 10 juin à un concert à Orlando (Floride, sud-est). Son assassin s'est suicidé juste après l'avoir tuée.

Victime d'un "car-jacking"

Alejandro Fuentes, 45 ans, a participé à la déclinaison mexicaine de "The Voice" en 2011. Il a été tué samedi après avoir célébré son anniversaire, selon le journal Chicago Tribune.
Il semble avoir été victime d'un "car-jacking", un vol de voiture violent, qui a mal tourné: un homme lui a demandé de sortir de sa voiture mais Alejandro Fuentes a refusé. L'assaillant lui a alors tiré dessus à plusieurs reprises.
Il est mort "de plusieurs blessures par balles", a indiqué le bureau du médecin légiste au Cook County Medical Examiner.

Le tireur n'a pas encore été arrêté.

SudOuest

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