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Donald Trump, l’ancien président des Etats Unis d'Amérique, muselé et privé d'espace pour s'exprimer pour les géants du secteur des réseaux sociaux depuis l’attaque du Capitole le 6 janvier dernier, a décidé de créer son propre réseau social. 


Puisque les géants de la technologie ne veulent pas de lui, Donald Trump veut entrer en concurrence avec eux. Son groupe Trump Media and Technology Group va fusionner avec Digital World Acquisition, une entreprise cotée au Nasdaq, la bourse des valeurs technologiques.

Le but claironné est de créer un rival au consortium des médias libéraux et riposter aux grandes compagnies technologiques. Donald Trump annonce que cette entreprise va lancer un nouveau réseau social, Truth Social, « la vérité sociale ». Il sera disponible en version bêta en novembre puis pour tous au premier trimestre 2022.





Des incursions sans surprise dans le monde de la technologie

Truth Social est annoncé déjà disponible en précommande dans la boutique d’applications d’Apple. Étrange quand on veut s’attaquer de front aux géants de la technologie et quand on connait les conditions très strictes posées par la firme à la pomme pour distribuer des applications, notamment en ce qui concerne les contenus violents.

Le lancement de ce réseau social est annoncé depuis longtemps, mais depuis qu’il a été banni des plateformes, les incursions de Donald Trump dans le monde de la technologie n’ont pas vraiment impressionné. Son nouveau site internet lancé en mai dernier a été un flop et il y a quelques jours, il a même été brièvement piraté pour afficher du contenu favorable au président turc Recep Tayyip Erdogan. 


Source: RFI




A 19 ans, Austin Harrouff est accusé du meurtre d’un couple avant d’avoir mangé l’une de ses victimes. Surnommé “Le cannibale de Floride”, le jeune homme a fait quelques déclarations troublantes: “Tuez-moi, je mérite de mourir”, répètait-il quelques heures après son arrestation. 


Quand il a été interpellé par la police en août dernier, Austin Harrouff était en train de manger l’estomac et le visage d’une de ses victimes. Il venait de tuer deux personnes et prétendait avoir ingurgité des produits toxiques dans la foulée.

Emmené aux urgences, il a expliqué ses gestes macabres aux enquêteurs. “Tuez-moi maintenant, je mérite de mourir”, a-t-il déclaré d’après le Palm Beach Post. “Aidez-moi, j’ai mangé quelque chose de mauvais.” Quand on lui a demandé ce qu’il avait mangé, le jeune homme a répondu très froidement “Des humains”.

Les analyses toxicologiques doivent encore déterminer s’il avait ingurgité des drogues, mais elles ont déjà pu établir que ni héroïne, ni cocaïne, ni marijuana ne se trouvait dans son sang. On le soupçonne d’avoir consommé des “bath salts”, des drogues de synthèse.

Sur sa chaîne YouTube, Austin Harrouff montrait déjà un comportement inquiétant. “J’ai une partie de moi qui est psychopathe, et une partie normale. Je perds la tête, aidez-moi à la retrouver”, disait-il.





Le FBI a obtenu un mandat l'autorisant à examiner des courriels reliés au serveur privé de l'ancienne secrétaire d'Etat Hillary Clinton, rapportent ce dimanche soir plusieurs médias américains.

 

Ce mandat va permettre au FBI d'étudier ces courriels afin de déterminer si leur teneur ne contredit pas le résultat de l'enquête qu'il avait déjà menée sur le serveur privé de courriels utilisé par Hillary Clinton lorsqu'elle dirigeait la diplomatie américaine, de 2009 à 2013.

Aucun représentant du FBI n'était immédiatement disponible pour évoquer les informations.

La candidate démocrate pensait être débarrassée de cette affaire qu'elle porte comme une croix depuis les primaires et qui a contribué à accentuer la désaffection de l'opinion publique à son égard.

« Vous avez violé la loi »

John Podesta et Robby Mook, respectivement président et manager de la campagne démocrate, ont vivement critiqué le directeur du FBI James Comey pour avoir informé dans un courrier les parlementaires américains que l'agence allait examiner de nouveaux courriels rédigés par Hillary Clinton à partir d'une messagerie personnelle lorsqu'elle était secrétaire d'Etat.

Dimanche, le chef de file des démocrates au Sénat, Harry Reid a adressé dimanche un courrier à James Comey, laissant entendre qu'il avait violé le « Hatch Act » qui interdit d'utiliser une fonction publique gouvernementale pour influencer une élection.
« Avec vos mesures partisanes, vous avez violé la loi », a écrit le sénateur du Nevada.

« Des informations explosives »

Dans ce communiqué, Harry Reid accuse le patron du bureau fédéral d'investigation de faire « deux poids deux mesures » et d'avoir une approche partiale dans la divulgation de certaines informations.

Le sénateur va plus loin et soutient qu'« il est devenu clair » que le FBI possède « des informations explosives » sur les étroites relations que Donald Trump et ses principaux entretiennent avec le gouvernement russe.

La lettre de James Comey, envoyée en dépit des objections de responsables du département de la Justice, va plonger les derniers jours de la campagne dans un tourbillon médiatique. Donald Trump qui est en retard dans les sondages y voit la démonstration qu'Hillary Clinton est, comme il l'affirme, corrompue et indigne de confiance.

Des messages illicites

Selon des sources proches du département de la Justice, ce dernier n'aurait pas empêché le FBI d'obtenir le mandat recherché afin d'accélérer le processus.
De source proche de l'enquête, on expliquait vendredi que ces courriels ont été découverts dans le cadre d'une enquête séparée visant Anthony Weiner, mari séparé de la conseillère Huma Abedin travaillant pour Hillary Clinton.

Anthony Weiner, ancien parlementaire démocrate de l'Etat de New York, est la cible d'investigations pour des messages illicites adressés à une adolescente de 15 ans en Caroline du Nord.

Son avance dans les sondages diminue

Les agents fédéraux auraient découvert dans l'ordinateur portable de d'Anthony Weiner des éléments qui les ont conduits à penser qu'une enquête complémentaire était nécessaire dans l'affaire des courriels d'Hillary Clinton.

Avant la publication de la lettre de James Comey, Hillary Clinton comptait une solide avance sur Trump dans les sondages. Cette avance s'est, depuis, réduite.

 Avec Ouest France


Pour Thomas Bach, président du CIO, "les Brésiliens ont transformé cette grande compétition en une fête pour tout le monde." Si ces Jeux ont effectivement été une réussite dans l’ensemble, les gradins parsemés, le dopage russe et les problèmes de corruptions ont entaché la quinzaine. 


En 2009, quand Rio est choisie pour accueillir les JO face à Chicago, Madrid et Tokyo, l'économie du pays est florissante. Mais sept ans après, force est de constater que la donne a changé. Le brésil traverse une crise économique jamais vue depuis les années 1930, sans parler de la situation politique du pays, très instable avec la destitution en cours de la présidente Dilma Roussef. Résultat, les préparatifs prennent du retard, les malfaçons s'enchaînent au Village olympique et pourtant les Jeux s'ouvrent comme prévu, le 5 août dernier.

Quelques heures après la cérémonie de clôture, l'heure est au bilan. La ville de Rio a-t-elle réussi son pari? En partie seulement, si l'on en croit les différents incidents qui ont agité les deux semaines de compétition.

Les débuts chaotiques du Village olympique

Inauguré officiellement le 31 juillet, les 31 immeubles qui constituent le Village olympique ont été la cible de nombreuses critiques, dès l'arrivée des premiers athlètes. La délégation australienne a été la première à dénoncer des malfaçons, refusant même de s'y installer. La raison? De nombreux problèmes de plomberie, qui selon eux, rendaient le bâtiment "inhabitable". Dans les détails, ils ont dû faire face à des "toilettes bloquées, de l'eau qui coule du plafond et fait des flaques près de câbles et de fils...". Mais les Australiens ne sont pas les seuls à subir ces déconvenues. C'est également le cas pour l'équipe chinoise. Les Brésiliens ont eux aussi été dérangés par une fuite d'eau, et la délégation italienne a même engagé une équipe personnelle pour faire les finitions. Le directeur de la communication de Rio 2016, Mario Andrada avait alors déclaré via un compte Twitter gouvernemental que "630 personnes travaillent pour réparer les problèmes du village olympique. Ils doivent rendre le village impeccable d'ici à la fin de semaine, probablement jeudi [soit la veille de la cérémonie d'ouverture, Ndlr]".

En plus de ces problèmes, plusieurs délégations se sont plaintes de vols à répétition. Les athlètes danois se seraient fait dérober des téléphones, des vêtements et des tablettes électroniques, laissés dans les 36 chambres qu'occupe la délégation. 150 plaintes ont été déposées depuis le 18 juillet.

Les transports, le parcours du combattant

A Rio, ville dix fois plus étendue que Paris, quatre sites différents ont accueilli les épreuves des Jeux olympiques. Et tous sont distants d'une trentaine de kilomètres, un vrai casse-tête pour les organisateurs. Une ligne de métro a donc été spécialement créée, uniquement réservée aux détenteurs de billets, aux volontaires et à toute personne accréditée. Une fois arrivé au terminus, il fallait encore parcourir 15 km pour atteindre le parc olympique, desservi par des bus. Au total, une heure et demie de transport étaient nécessaires pour rallier le centre de Rio au parc. Et il fallait compter au moins le double pour ceux qui résidaient en dehors du centre-ville.

Mais ce sont les journalistes qui ont eu le plus de péripéties, avec un service de navettes peu efficace. "Le premier jour, il y a eu des retards pour les médias qui sont allés à la cérémonie d’ouverture au Maracana, à cause des rues qui étaient fermées et les chauffeurs n’étaient pas au courant", a expliqué Mario Andrada à un journaliste du Monde. Ces chauffeurs, bénévoles, ont aussi été critiqués pour leur manque de flexibilité. "Ils  ne voulaient pas s’arrêter, alors que des journalistes leur demandaient de descendre", poursuit le directeur de la communication." Pour pallier à ces problèmes, le CIO a finalement dû faire appel à 190 chauffeurs travaillant pour la mairie de Rio.
L'incertitude russe

Jusqu'au dernier moment, impossible de savoir combien d'athlètes russes seraient présents à Rio. Un rapport de l'Agence mondiale antidopage (AMA), avait entraîné l'exclusion quasi-totale de l'athlétisme russe et nombreux autres sportifs du pays, convaincus de dopage ou soupçonnés de l'être. Darya Klishina, seule athlète russe autorisée à participer aux Jeux dans l'épreuve du saut en longueur avait finalement été écartée par la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF) avant de voir cette décision retoquée par le Tribunal arbitral du sport. L'institution a estimé qu'elle restait "éligible pour concourir aux Jeux olympiques de Rio." 

Durant la quinzaine, douze cas de dopage ont été recensés, parmi lesquels deux médaillés : un haltérophile kirghize et un céiste moldave.

Des tribunes parsemées

Si certaines disciplines, peu exposées médiatiquement ont l'habitude de ne pas rassembler les foules, il est plus surprenant de voir des places vides en athlétisme par exemple. Pour ses débuts, on comptait pas moins de 60.000 sièges inoccupés. Certains ont évoqué le manque d'athlètes locaux pour justifier le peu d’intérêt du public brésilien, qui représenterait environ 75% des spectateurs. Les touristes étrangers étaient eux aussi moins nombreux, la faute aux craintes liées au virus Zika et aux problèmes de sécurité.

Soupçon de corruption au CIO

En plein milieu des Jeux olympiques, Patrick Hickey, membre éminent du CIO a été arrêté à Rio, dans le cadre d'une enquête sur un réseau de revente illégale de billets pour les Jeux. La police avait saisi 781 billets revendus à des prix très élevés. Ceux pour la cérémonie d'ouverture étaient par exemple vendus 8.000 dollars (7.200 euros), alors que le prix officiel le plus élevé était de 1.300 dollars (1.200 euros). Ce trafic a généré une recette "d'au moins 10 millions de réais (2,8 millions d'euros)", selon l'unité anti-fraudes de la police de Rio. Agé de 71 ans, ce haut dirigeant se trouve à présent dans une prison de haute sécurité, le Complexe pénitencier de Bangu, situé dans la banlieue nord de Rio. La commission d'éthique du CIO "a pris note" de la démission temporaire de l'Irlandais de tous ses mandats au sein du mouvement olympique.

Malgré les difficultés rencontrées durant la quinzaine, Thomas Bach conclut ses premiers Jeux d'été sur une note positive. La cérémonie de clôture a mis à l'honneur la culture brésilienne, offrant un spectacle salué unanimement. Chargé de mettre un point final à ces JO, le président du CIO a notamment déclaré : "L'histoire retiendra qu'il y avait un Rio avant et un Rio bien meilleur après les Jeux". Avant de passer le flambeau au président Japonais Shinzo Abe, présent pour célébrer la prochaine organisation des Jeux en 2020, à Tokyo.

 Le JDD


Donald Trump sait faire sensation partout ou il passe. Même lorsqu'il ne s'agit que d'une statue de lui. Sauf que cette fois-ci, le milliardaire se serait peut-être passé de la publicité qui lui a été faite.


L'espace de quelques heures, les passants de l'Union Square à New York ont pu admirer l'anatomie de leur candidat républicain à la Maison Blanche : Donald Trump. Seul problème, la statue était, disons, peu
flatteuse pour l'homme d'affaires. Montré les mains croisées sur un ventre clairement beaucoup trop gros, Trump n'est pas à son avantage. Mais malheureusement pour le magnat de l'immobilier, la caricature de n'arrête pas là. Outre sa chevelure presque irréelle et bien trop jaune pour être vraie, c'est un "petit" détail anatomique qui a provoqué l'hilarité des passants new-yorkais. 


On y voit en effet Trump avec un tout petit pénis, et sous la statue, une plaque commente : "The emperor has no balls", comprenez "l'empereur n'a pas de co***les". L'oeuvre est signée du collectif anarchiste Indecline qui ne s'est pas arrêté là et a fabriqué quatre autres statues, toutes exposées dans d'autres villes du pays. Ils ont d'ailleurs fait une petite vidéo pour montrer la fabrication de ces statues caricaturales du candidat à la Maison Blanche.

La statue a été retirée

Malheureusement (ou heureusement selon certains), la statue a rapidement été enlevée de son socle par les services de la ville. En attendant, plusieurs passants ont eu le temps de prendre un selfie avec Trump et de l'admirer sous toutes les coutures. Sam Biederman, porte-parole du service des parcs de la ville a déclaré avec humour que son service était "fermement opposé à toute érection dans ses parcs, aussi petite soit elle".


 La Dépêche


Des inondations spectaculaires et "sans précédent" frappent la Louisiane et le Mississippi, dans le sud des Etats-Unis où les secours sont à pied d'oeuvre. Au moins trois personnes ont perdu la vie.


Le gouverneur démocrate de Louisiane John Bel Edwards a qualifié samedi de "sans précédent" les torrents d'eau qui dévalent le sud de son Etat. Il avait déclaré l'état d'urgence dès vendredi en raison des fortes pluies attendues encore pendant plusieurs jours. "Nous avons des niveaux records d'inondation le long des rivières et des ruisseaux", a-t-il affirmé en conférence de presse, demandant aux personnes qui ont été avisées d'évacuer la zone de quitter leurs maisons. Les riverains des zones concernées sont évacués dans des véhicules spéciaux, par bateaux ou par les airs, a poursuivi le gouverneur. En tout, plus d'un millier de résidents ont été déplacés.

Ils viennent à sa rescousse 

 Les principales routes autour de Baton Rouge se trouvent sous les eaux et des habitants, pris au piège et réfugiés sur leur toit ou dans un arbre, ou encore embourbés dans leurs véhicules, ont été secourus. C'est le cas d'une dame qui a échappé de peu à la noyade. Elle était bloquée à l'intérieur d'une décapotable quasiment sous eaux. Trois hommes ont entendu ses appels à l'aide et sont venus à sa rescousse. Ils ont tenté de briser la vitre de la voiture… sans succès. Le véhicule s’enfonçait de plus en plus dans l’eau. L’un d’eux est enfin arrivé à couper la bâche et à sortir cette dame de son véhicule complètement immergé. Mais son chien était toujours à l’intérieur… Après quelques moments d’hésitation, son sauveur a tout de même réussi à le sortir de l’eau.

Trois hommes perdent la vie 

 Un homme de 68 ans s'est par contre noyé à près de 25 km de Baton Rouge et un autre est mort en tombant dans un fossé, emporté par les eaux, selon CNN qui cite la directrice des services d'urgences locaux, Joanne Moreau. Un troisième homme est décédé, vendredi, également en Louisiane, a confirmé à CNN un responsable des pompiers de l'Etat.

"Nous connaissons l'une des pires tempêtes que nous n'avons jamais eue, avec des crues soudaines", a raconté Layton Ricks, président de la paroisse de Livingston dans les environs de Baton Rouge, au côté du gouverneur en conférence de presse.

Quelque 7.500 personnes étaient privées d'électricité vendredi soir, selon les autorités locales.



Avec RTL

12:40:00 , , ,

Un imam et son assistant ont été tués par balles samedi à proximité d'une mosquée de New York, a indiqué la police, qui n'a pas avancé de mobile.

Maulama Akonjee, 55 ans, et son assistant Thara Uddin, 64 ans, ont été touchés à la tête peu avant 14h00 dans le quartier populaire d'Ozone Park, dans l'arrondissement du Queens.
Ils ont été transportés à l'hôpital Jamaica, où le décès de l'imam Akonjee a été constaté et où l'autre homme, Thara Uddin, a succombé à ses blessures, a indiqué un porte-parole de la police à l'AFP.

La police a fait savoir qu'elle ignorait à ce stade les motivations du tireur.
«Rien n'indique dans l'enquête préliminaire qu'ils (les victimes) aient été ciblés en raison de leur foi», a dit la police à des journalistes.

Sarah Sayeed, du bureau du maire de New York, a cependant souligné que la police examinait ce double meurtre «sous tous les angles», y compris celui d'un crime motivé par la haine religieuse.

Un homme soupçonné d'être l'auteur des coups de feu, et actuellement en fuite, s'est approché des deux victimes par derrière. Des témoins ont vu le suspect s'éloigner du lieu avec une arme de poing après les tirs, d'après la police.

Selon des médias américains, les deux hommes ont été tués alors qu'ils sortaient de la mosquée Al-Furqan Jame Masjid après la prière, en tenue religieuse.

«Quand un responsable religieux est tué en plein jour dans les rues du Queens, nous devons rester une communauté unie et demander justice!», a tweeté le représentant du quartier au sein du conseil municipal de la ville, Eric Ulrich.

Selon des images diffusées sur Twitter, quelques centaines de personnes se sont rassemblées samedi soir près de la scène du crime, criant «Nous voulons que justice soit faite».

Une importante communauté musulmane, principalement originaire du Bangladesh, vit à Ozone Park.

Bien que la police ait déclaré ne pas disposer pour le moment d'indices liant le double meurtre à la religion et ne pas avoir d'indications sur l'identité du tueur, des musulmans ont estimé que l'imam et son assistant avaient été victimes de l'islamophobie.
«C'est un crime motivé par la haine, de quelque manière qu'on le considère», a déclaré Kobir Chowdhury, qui dirige la mosquée Masjid Al-Aman à Brooklyn, proche du lieu du double meurtre.

«C'est de la haine envers l'humanité, c'est de la haine envers les musulmans, ce sont des islamophobes qui causent ce genre de problèmes», a affirmé ce religieux.
«Quand on garde le silence, on permet à ces crimes de continuer», a déclaré Afaf Nasher, directrice de la principale association américaine de défense des musulmans CAIR (Council on American-Islamic Relations) pour la région de New York.

La question de la position des musulmans aux États-Unis et de l'islamophobie suscite de nombreuses polémiques depuis une série d'attentats sur le sol américain, dont certains ont été revendiqués par l'organisation djihadiste État islamique (EI), et depuis la proposition consécutive du candidat républicain à la Maison-Blanche Donald Trump d'interdire temporairement l'entrée des étrangers musulmans aux États-Unis.

 L'imam Maulama Akonjee.
Avec AFP

En hommage à Fidel Castro, qui fête ses 90 ans samedi, un Cubain a créé un cigare de 90 mètres. Ironie de l'histoire, Fidel Castro ne fume plus depuis 30 ans.

Ça, c'est un sacré cadeau ! Le Cubain José Castelar, alias Cueto, déjà détenteur de cinq records Guinness en la matière, a présenté vendredi un cigare long de 90 mètres réalisé à l'occasion des 90 ans de Fidel Castro, samedi, et qui pourrait lui valoir un sixième titre.

Fidel ne fume plus

  "Le cigare mesure 90 mètres, c'est pour commémorer les 90 ans de notre commandant", a déclaré Cueto en présentant son Havane. Cueto a expliqué qu'il ne connaissait pas personnellement le leader cubain, retiré du pouvoir il y a dix ans et qui ne fume plus le cigare depuis trente ans. "Je crois qu'il n'est pas au courant (de l'initiative). Il ne fume plus depuis de nombreuses années, mais ce que nous lui offrons c'est notre effort pour commémorer son anniversaire", a ajouté le rouleur de cigares, qui a débuté à l'âge de 14 ans.

Un record au Guinness Book

  Depuis le 2 août, appuyé par un groupe de collaborateurs, Cueto a consacré une douzaine d'heures par jour à son cigare géant. Une représentante de l'ambassade de Grande-Bretagne à La Havane, Lesley Sunderson, était présente durant la cérémonie en vue de la future homologation du record. José Castelar a obtenu son premier Guinness en avril 2001 avec un cigare de 11,04 mètres de long. Il a ensuite battu son propre record avec des cigares de 14,86 mètres (mai 2003), 20,41 mètres (avril 2005), 45,38 mètres (mai 2008) et 81,80 m (mai 2011).

Les cigares constituent l'un des principaux produits d'exportation cubains, après le nickel, les médicaments et le sucre. Les ventes ont atteint 428 millions de dollars en 2015, selon l'entreprise cubano-britannique Habanos.S.A., qui détient 70% du marché mondial.

Europe1  



Le ministère américain de la Justice a rendu public un rapport très sévère envers la police de Baltimore, seize mois après la mort de Freddie Gray peu après son arrestation.


En avril 2015, la mort de Freddie Gray, un Africain-Américain de 25 ans, après son arrestation brutale par la police, déclenche des manifestations et des violences à Baltimore. Peu après, à la demande de la maire de la ville, la ministre américaine de la Justice Loretta Lynch annonce une enquête sur la police de Baltimore. Quatorze mois plus tard, les conclusions sont sans appel. Le rapport rendu public le 10 août “documente de façon exhaustive des pratiques clairement inconstitutionnelles et discriminatoires”, résume le quotidien local The Baltimore Sun.  

Les conclusions du rapport sont relayées par toute la presse américaine en des termes forts. The New York Times pointe dans son éditorial “une culture policière fondée sur le racisme”. The Atlantic titre sur l’“horreur” des pratiques de la police de Baltimore.

Politiques intentionnelles

Dans son édito, The Baltimore Sun insiste sur le caractère systémique des abus identifiés par le rapport. “Les pratiques décrites par le ministère, dont potentiellement des centaines de milliers d’interpellations et de fouilles inconstitutionnelles, un usage excessif et non nécessaire de la force, des consignes discriminatoires, des violations des droits garantis par le premier amendement de la Constitution et des plaintes d’agression sexuelle ignorées sur une base sexiste, ne sont pas l’oeuvre de quelques ‘brebis galeuses’”, souligne le journal, reprenant une expression employée par la maire de la ville, Stephanie Rawlings-Blake. “Elles sont le produit de politiques intentionnelles et d’une incroyable impunité et elles continuent jusqu’à aujourd’hui.”
Les statistiques mentionnées dans le rapport disent l’ampleur des discriminations ethniques dans les pratiques policières. Les Noirs ont presque trois fois plus de chances d’être interpelés à Baltimore ; sur 410 personnes interpelées plus de dix fois entre 2010 et 2015, 95 % étaient noires.

La “tolérance zéro” épinglée

Le rapport critique aussi la politique de “tolérance zéro” promue notamment par l’ancien maire Martin O’Malley au début des années 2000. Les interpellations et fouilles massives ont conduit, selon l’enquête, à “des violations répétées des droits civiques et des droits garantis par la Constitution, ce qui a érodé un peu plus la confiance de la population à l’endroit de la police”.
Pour changer les choses, le Baltimore Sun appelle à un “remaniement complet” du département de police de Baltimore. The New York Times note pour sa part que “des enquêtes similaires à celle de Baltimore ont commencé dans près d’une douzaine de villes, dont Chicago, Cleveland et Ferguson, dans le Missouri”, où a été tué le jeune Michael Brown en 2014. “Le ministère de la Justice de la prochaine administration maintiendra-t-il cette pression en faveur de réformes ? Cela dépend beaucoup du résultat de l’élection présidentielle”, conclut le journal.

Courrier International


On peut être la fille du président des Etats-Unis et s’adonner à des activités illégales. Enfin, tout de même pas de quoi fouetter un chat pour Malia Obama qui a été surprise en train de fumer un joint.

Malia, la fille aînée de Barack et Michelle Obama, effectuera bientôt sa rentrée universitaire à Harvard. Pour l’instant, elle profite encore des mois d’été pour se détendre avant que les choses sérieuses ne commencent. En juillet, elle a notamment assisté au festival de musique Lollapalooza à Chicago. Une vidéo de la jeune femme en train de twerker dans la boue pendant le festival était déjà parue sur internet.

Mais c’est maintenant pour une activité un peu plus illégale que Malia est mise en avant. Le site RadarOnline a obtenu une vidéo sur laquelle on peut voir la fille du président des Etats-Unis en train de partager un joint avec un ami. De nombreux internautes ont volé au secours de la jeune femme et ont pris sa défense, arguant qu’il était normal pour une adolescente de faire ce genre d’expérience et que si elle n’avait pas été la fille de Barack Obama, personne n’en aurait rien eu à faire, et ce n’est pas faux.




RTL


Aaron Driver, alias Harun Abdurahman, est considéré comme un extrémiste sympathisant du groupe armé État islamique par le Service canadien du renseignement de sécurité Photo : Facebook

 
Aaron Driver, un Canadien sympathisant avoué du groupe armé État islamique (EI) qui a été abattu par la police dans le sud de l'Ontario mercredi, voulait commettre un attentat à la gare Union de Toronto, utilisée par 200 000 personnes chaque jour, selon des sources de CBC.

L'agence provinciale Metrolinx et la Commission des transports de Toronto disent avoir été informés d'une menace non spécifique et s'en sont remis à la Gendarmerie royale du Canada dans le dossier.

L'opération policière contre Driver a commencé mercredi après-midi dans un quartier de Strathroy, une petite localité de 20 000 habitants à l'ouest de London, en Ontario. 
Selon sa famille, il aurait d'abord été blessé après avoir déclenché un engin explosif, puis les policiers l'auraient abattu avant qu'il n'en actionne un deuxième. Une autre personne aurait été blessée par l'explosion, ajoute CBC.

Un policier, sous le couvert de l'anonymat, a indiqué à l'Associated Press qu'Aaron Driver prévoyait commettre un attentat dans un lieu public. 


Y avait-t-il une personne de sa famille, un ami qui a communiqué avec la GRC, y avait-il de la surveillance électronique et on savait qu'il était prêt à passer à l'action?



Michel Juneau-Katsuya, ex-membre du SCRS


Pour M. Juneau-Katsuya, consultant en sécurité et ex-membre du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), les policiers n'ont peut-être pas eu le choix d'abattre Driver, parce qu'il « allait mettre en péril » la vie des agents qui étaient venus pour l'arrêter.
 

 Opération policière à Strathroy, en Ontario   Photo : Radio-Canada

Dans un communiqué laconique publié en début de soirée mercredi, la GRC a seulement mentionné que « les mesures appropriées ont été prises afin de s'assurer qu'il n'y ait aucun danger pour la sécurité publique ». Une conférence de presse doit avoir lieu jeudi.


Un Canadien radicalisé et surveillé

Le jeune homme radicalisé de 24 ans figure sur la liste de surveillance du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) depuis octobre 2014 pour avoir prêté allégeance à l'EI sur les médias sociaux.

Aaron Driver a capté l'attention du SCRS après avoir écrit sur Twitter des messages en soutien à l'EI sous le pseudonyme Harum Abdurahman. Il avait aussi déclaré publiquement que les attaques au parlement en octobre 2014 étaient justifiées.

« Si un pays part en guerre contre un autre pays, un peuple ou une autre communauté, les gens doivent être préparés pour des évènements comme l'attentat au parlement. Lorsque ça arrivera, ils ne devraient pas être surpris. Ils le méritaient », avait déclaré Aaron Driver lors d'une longue entrevue téléphonique avec CBC en juin 2015.

Le jeune homme avait été arrêté en 2015, puis libéré sous caution l'an dernier à Winnipeg. Aaron Driver devait se conformer à plusieurs conditions strictes, dont celle de ne pas quitter Strathroy. De plus, il devait obtenir la permission des autorités afin d'utiliser un téléphone cellulaire ou un ordinateur et ne devait pas utiliser les réseaux sociaux.
Il devait aussi respecter un couvre-feu et assister à des séances avec un conseiller religieux approuvé par le SCRS.

Après son arrestation, son père, un militaire canadien, a raconté que son fils a été élevé selon la foi chrétienne, mais qu'il a connu une enfance difficile en raison du décès de sa mère d'un cancer du cerveau lorsqu'il avait sept ans. Son fils s'est alors isolé et l'enfant troublé s'est transformé en adolescent rebelle.
 
Aaron Driver s'est converti à l'islam à l'adolescence   Photo : Facebook
 
Aaron Driver a été pris en charge par les services sociaux et a passé la plupart de son temps dans des maisons de transition. En 2008, alors qu'il vivait avec son père en Ontario, il s'est converti à l'islam.

Son père a dit que son fils pratiquait les tenants de l'islam, mais ne semblait pas radicalisé. Il était toutefois solitaire et reclus; leur relation était difficile et la communication était quasi-inexistante. « Je ne peux plus l'aider », a dit le père.

Au printemps 2015, le SCRS avait communiqué avec le père pour l'informer que son fils se trouvait sur sa liste de surveillance et qu'il s'était radicalisé. « Certaines choses qu'il a dit ou partagé sur les réseaux sociaux m'ont dégoûté. Il riait de personnes décapitées, comme si c'était une grosse farce », dit son père.

Rumeurs d'attentat à Ottawa

Une note gouvernementale interne, dont CBC a obtenu copie, avait suscité nombre de rumeurs pendant la journée à Ottawa relativement à une possible « menace terroriste ». Celle-ci était accompagnée d'une photo d'un homme portant une cagoule, mais sans indication qu'il pourrait s'agir d'Aaron Driver.

Le ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile, Ralph Goodale, a indiqué avoir discuté mercredi d'une « menace » avec le premier ministre Justin Trudeau. 
« Le gouvernement surveille avec vigilance toutes les menaces potentielles et des mesures solides sont en place pour y répondre », indique-t-il dans un communiqué, précisant également que le niveau national de menace terroriste pour le Canada demeure « moyen » depuis l'automne 2014.

« Les Canadiens peuvent être assurés que lorsque des renseignements crédibles sur une menace terroriste possible sont obtenus, la GRC, le SCRS et les autres organismes policiers et de sécurité prennent les mesures qui s'imposent pour garantir la sécurité de notre pays et de ses citoyens », ajoute le ministre Goodale.

Ici Radio Canada


Selon un confrère américain, R. Kelly serait fou amoureux de Halle, sa petite amie âgée de 19 ans. Ils se sont rencontrés lors de l’un de ses concerts. Le chanteur envisagerait même de l’épouser.



Que du bonheur pour R. Kelly. A 49 ans, le célèbre chanteur de R&B a trouvé l’élue de son coeur. Quatre ans après son divorce avec Andrea, avec qui il a vécu marié pendant douze ans, il est prêt à se remettre en couple avec la jeune Halle rencontrée lors d’un concert.

Identifiée par une source comme étant Halle, une jeune métisse afro-japonaise, la copine du Pied Piper était avec sa mère quand elle a tapé dans l’oeil du chanteur, durant un show en Caroline du Nord. Et depuis ce jour, l’amour règne. N’a-t-on pas coutume de dire qu’en amour, il n’y a pas d’âge?


L'équipe brésilienne féminine de Rugby à sept, loin d'être favorite, a terminé neuvième de cette compétition historique, la première de ce sport aux Jeux olympiques. Mais pour une joueuse brésilienne, ce tournoi qui restera mémorable pour une autre raison.


Après la finale, où l'Australie a battu la Nouvelle-Zélande lundi 8 août au soir, Isadora Cerullo s'est vue demandée en mariage par sa petite amie Marjorie Enya, qui travaille au stade. Selon la BBC, cette demande a eu lieu après le match. "Dès que j'ai su qu'elle était choisie pour être dans l'équipe je me suis dit que je devais rendre ce moment spécial" a déclaré Marjorie Enya à la BBC.

N'ayant pas de bague, elle a utilisé le tour de cou de son badge, qu'elle a noué autour du doigt de sa fiancée.

Isadora Cerullo, 25 ans, et Marjorie Enya, 28 ans, vivent ensemble à Sao Paulo. Cerullo, qui a la double nationalité brésilienne et américaine, s'y est installée pour se préparer aux Jeux. 




"Les Jeux Olympiques peuvent être la fin d'un cycle mais pour moi c'est le début d'une nouvelle vie avec quelqu'un" a ajouté Marjorie Enya, qui vit avec la joueuse depuis 2 ans, avant de conclure: "Je voulais montrer aux gens que l'amour gagne".

Au Brésil, le mariage gay est légal dans tout le pays depuis mai 2013.








Avec

Est-ce le nouveau dérapage du candidat républicain à la Maison-Blanche, Donald Trump ?

Lors d’un meeting jeudi à Portland au nord-est des États-Unis, le milliardaire New-yorkais s’en est pris une nouvelle fois aux immigrés, qui selon lui, représentent un danger sur le plan sécuritaire pour son pays.

Citant plusieurs pays musulmans et faisant référence à l'affaire d'un étudiant marocain arrêté aux États-Unis pour un projet d'attentat, puis le cas d'un réfugié ouzbek poursuivi pour avoir cherché à former des recrues à la fabrication de bombes. 


Trump a lâché : "Nous avons affaire à des animaux", et de poursuivre "Vous avez le choix entre être intelligent, rusé et dur ou être très, très bête et aveugle. Hillary Clinton veut en accueillir par centaines de milliers", a déclaré Trump à ses partisans.

Visiblement, le candidat républicain mise sur la stratégie de la peur, pour faire son entrée au Bureau Ovale. Wait and see… 


Le Chaba

Loin de la Maison-Blanche, l'adolescente a troqué son costume de « fille de président » pour l’uniforme de serveuse... Le temps d'un job d'été.



Pendant que Malia Obama profite de ses vacances d’été pour s’amuser avec ses amis et twerker à des festivals de musique, la seconde fille du président des États-Unis a trouvé un petit job d’été… Légèrement moins fun.

En effet, Sasha Obama a été embauchée au Nancy’s, un restaurant de fruits de mer situé sur l'île de Martha’s Vineyard, au sud de Cape Cod (Massachusetts), et très prisé par la jet set américaine et les présidents des États-Unis, nombreux à y établir leurs résidences secondaires.

Une employée comme tout le monde, ou presque

Selon les informations du Boston Herald, la jeune fille de 15 ans y apprendrait toutes les ficelles du métier, du travail à la caisse à la préparation des tables. Et si la fille de Michelle Obama se présente sur son lieu de travail sous son vrai nom, Natasha, l'adolescente n'a pas réussi à passer inaperçue très longtemps : « On se demandait pourquoi il y avait six personnes qui aidaient cette fille, puis on a découvert qui elle était » raconte un employé dans les colonnes du Boston Herald.

Ainsi, Sasha Obama serait une employée presque comme les autres, si l’on fait abstraction des six agents mobilisés pour assurer la sécurité de la fille de président aux alentours du restaurant.



 




Le Figaro



Une nouvelle polémique enfle autour de Melania Trump, l’épouse du candidat républicain à la Maison Blanche. 

Après le plagiat d’un discours de Michelle Obama, elle aurait menti sur son parcours. À tel point que le site internet de Melania Trump a été supprimé. Une suppression que cette dernière a justifié sur Twitter en expliquant que les informations contenues sur ce site «ne reflètent pas de manière adéquate ses affaires et intérêts professionnels actuels».

Pour autant, la vraie raison est probablement à aller chercher ailleurs. De fait, la suppression de ce site s’inscrit en pleine polémique autour d’un diplôme renseigné par la femme du candidat républicain sur la biographie présente sur ce site. 

Un diplôme fantôme


Une biographie qui prétendait que Melania Trump avait obtenu un diplôme de design et architecture à l’université de Slovénie, avant de privilégier sa carrière de mannequin.
Pourtant, cette biographie est la seule à faire mention de ce diplôme. Dans aucune interview, discours ou apparition publique, la femme de Donald Trump n’en a parlé. Elle avait mentionné sur la chaîne MSNBC avoir étudié le design et l’architecture, mais mettait surtout en avant sa carrière de mannequin. 
Selon le New-York Times, elle a en réalité rapidement abandonné son école d’architecture pour se consacrer au mannequinat et n’a donc jamais obtenu le diplôme. Il s’agirait donc d’un nouveau mensonge, qui défraie une fois de plus la chronique outre-Atlantique. En l’état, le site de Melania Trump renvoie pour sa part sur celui de la «Trump Organization».

Avec Direct Matin


Considéré par beaucoup comme le meilleur basketteur de tous les temps, Michael Jordan, seul propriétaire NBA Afro-Américain, a décidé de prendre la parole dans une déclaration officielle face au nombre grandissant de noirs tués dans l’incompréhension aux US.

 
Un message très fort :

En tant qu’Américain fier, en tant que père qui a perdu son propre père (James Jordan a été assassiné par 2 hommes en 1993 durant un vol en bordure de route en Caroline du Nord, l’un des deux est admissible à la liberté conditionnelle cette année, ndlr) dans un acte insensé de violence, et en tant qu’homme noir, je suis profondément troublé par la mort d’Afro-Américains aux mains des forces de l’ordre et en colère face aux lâches et haineux officiers de police qui les
prennent pour cibles. Je pleure avec les familles qui ont perdu leurs êtres chers, je ne connais que trop bien leur douleur.
Dans sa lettre, Jordan annonce qu’il fait don d’1 million de dollars chacune à 2 organisations qui œuvrent pour construire une relation de confiance entre les représentants de la loi et les communautés dans lesquelles ils travaillent : l’Institute for Community-Police Relations et le NAACP Legal Defense Fund.

Même si je sais que ces contributions ne suffiront pas à elles seules à résoudre le problème, j’espère que les ressources aideront ces deux organisations à produire une différence positive. Ces trois dernières décennies, j’ai pu constater le dévouement des représentants de la loi qui me protègent moi et ma famille. J’ai le plus grand des respects pour leur sacrifice et leur service. Je reconnais également que pour beaucoup de personnes de couleur, leurs expériences avec les forces de police ont été différentes de la mienne. J’ai décidé de parler dans l’espoir que nous pouvons nous rassembler, en tant qu’Américains, et à travers un dialogue de paix et l’éducation, pour atteindre un changement constructif.
J’ai été élevé par deux parents qui m’ont appris l’amour et le respect des gens quels que soient leur race ou leur passé, je suis donc attristé et frustré par les divisions et les tensions raciales qui semblent empirer dernièrement. Je sais que ce pays vaut mieux que ça, et je ne peux plus me taire. Nous devons trouver des solutions pour assurer aux personnes de couleurs un traitement juste et égal ET que les officiers de police – qui mettent leur vie en jeu tous les gens pour nous protéger tous – soient respectés et soutenus.
Nous avons la chance de vivre dans le meilleur pays du monde – un pays qui a fourni à ma famille les plus grandes opportunités. Les problèmes auxquels nous faisons face ne sont pas apparus du jour au lendemain et ne seront pas résolus demain, mais si nous travaillons tous ensemble, nous pouvons favoriser une meilleure compréhension, un changement positif et créer un monde plus en paix pour nous, nos enfants, nos familles et nos communautés.

basket-infos


L'actuel patron des Nations unies, le Sud-Coréen Ban Ki-moon, quittera son poste de secrétaire général à la fin de l'année après deux mandats de cinq ans. Une femme pourrait le remplacer. 

Le Conseil de sécurité de l'ONU se réunira jeudi pour entamer le processus de sélection du nouveau secrétaire général de l'organisation. L'actuel patron des Nations unies, le Sud-Coréen Ban Ki-moon quittera son poste à la fin de l'année après deux mandats de cinq ans. Jusqu'à présent, les cinq membres permanents procédaient à cet exercice en coulisses, à l'abri des regards des médias et des opinions publiques, Américains et Russes tentant de se neutraliser pour éviter de nommer un secrétaire général trop "pro-américain", ou "pro-russe". Résultat, l'heureux élu finissait par être un homme de consensus minimal (Boutros Boutros Ghali), généralement habile sur le plan diplomatique (Kofi Annan), pas forcément doté d'un grand charisme (Ban Ki-moon) mais d'une bonne volonté à toute épreuve pour résister aux batailles que se livrent les grandes puissances dès lors que leurs intérêts stratégiques sont en cause.
 
Cette fois-ci les règles ont évolué : les postulants à la succession ont pu se faire connaître dans la transparence, ont été auditionnés et le Conseil de sécurité procédera jeudi à un premier tour de vote au cours duquel chaque membre indiquera s'il encourage, décourage ou ne se prononce pas sur chacune des candidatures. L'idée qu'il est temps de nommer une femme à la tête de l'ONU est aussi largement partagée. Sauf qu'aucune des candidates en provenance des pays de l'Est (zone géographique qui n'a jamais été représentée au sommet de l'institution) ne fait encore l'unanimité.

L'arrivée d'une femme, la meilleure chose qui puisse arriver à l'ONU?

La grande favorite, la directrice générale bulgare de l'Unesco, Irina Bokova, suscite de la méfiance de la part des États-Unis et du Royaume-Uni tandis que ses concurrentes de Géorgie, de Moldavie ou de Croatie risquent le veto russe d'entrée. Ce qui n'est pas le cas de la Néo-Zélandaise Helen Clark, l'actuelle directrice du Pnud (Parti travailliste néo-zélandais), ou de la ministre des Affaires étrangères argentine Susana Malcorra, cheville ouvrière de la COP21. Pour Ban Ki-moon, l'arrivée d'une femme pour lui succéder serait la meilleure chose qui puisse arriver à l'ONU.

"Avec le changement climatique et la poursuite des efforts pour le développement des pays pauvres, la cause des femmes fait partie des trois combats qui font partie de mon bilan, confiait-il récemment au JDD. Depuis le premier jour, j'ai fait en sorte de promouvoir les femmes à tous les postes de responsabilité de l'Organisation, pour donner l'exemple." Au cas où il faudrait pourtant se replier sur un candidat masculin, l'ancien patron du Haut-Commissariat pour les réfugiés, le Portugais António Guterres, pourrait réconcilier tout le monde. De source diplomatique à Paris, il aurait l'appui sans réserve de la France. Une fois que le Conseil de sécurité aura trouvé une forme de consensus sur un nom, il sera soumis à l'Assemblée générale de l'ONU qui se réunit en septembre en présence des chefs d'État du monde entier.

A noter qu'aucun africain n'est dans la liste des potentiels postulants pour ce poste.

Le JDD

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