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Intégrer la troupe de danseuses de Koffi Olomidé a longtemps fait rêver les jeunes filles des quartiers populaires de Kinshasa. Et cela relevait du privilège que d’être choisie par le « patron ». Qu’importe si une taquinerie en vogue dans cette mégapole de plus de dix millions d’habitants voulait qu’une dame vêtue de façon sexy soit « habillée comme une danseuse de Koffi ». Car le roi de la rumba congolaise fait partie de ces légendes contemporaines africaines qui a vendu des millions d’albums, adulé par son public et courtisé par des chefs d’Etat de la région. Son visage rond et rieur, ses costumes élégants ou extravagants, ses chansons romantiques ou vulgaires et ses pas de danse ont fait de lui une icône du continent.

 

Interdit de séjour en France

Mais au-delà de sa voix douce, ses fans ont redécouvert une violence brute. Vendredi 22 juillet, Koffi Olomidé vient d’arriver à l’aéroport de Nairobi avec sa troupe lorsqu’il porte un coup de pied à l’une de ses danseuses. « Quelques secondes d’égarement », s’est justifié l’artiste dans un message d’excuse.

Mais la scène, filmée, a irrigué les réseaux sociaux. Arrêtée par les autorités kényanes, la vedette congolaise est expulsée et voit son concert prévu à Lusaka annulé. De retour à Kinshasa, il est hué à son arrivée, est placé en détention le 26 juillet puis libéré sous caution quatre jours plus tard. « J’ai subi, j’ai compris », écrit-il sur sa page Facebook dans la foulée. Depuis, il poste des « selfies », entourés de sa famille et de Fally Ipupa, autre grand nom de la musique congolaise qui a fait ses classes dans le groupe de Koffi Olomidé, Quartier Latin.

Pourtant, Koffi Olomidé n’en est pas à sa première frasque. Celui qui a été le premier chanteur africain à faire salle comble à Bercy en 2000 est désormais interdit de séjour en France.

Antoine Christophe Agbepa Mumba, de son vrai nom, reste visé par un mandat d’arrêt international émis par la justice française en 2009 et renouvelé en 2012. « L’instruction est encore ouverte, la procédure n’a pas été clôturée et l’enquête se poursuit », indique-t-on au tribunal de grande instance de Nanterre.

La star franco congolaise, née il y a soixante ans à Kisangani, la grande ville du nord du pays, est poursuivie en France pour « viol sur mineure de quinze ans », « séquestration », « aide à l’entrée et au séjour d’une étrangère en France », « conditions de travail ou d’hébergement contraires à la dignité humaine ».

Les faits se sont déroulés entre 2002 et 2006 sur des danseuses parfois mineures et aux parcours de vie perturbés par la perte de leurs parents dans la première guerre du Congo (1996-1997), la misère et la violence familiale. Après avoir été contrôlées sans papier à Lyon où elles se trouvaient pour un concert, trois d’entre elles se sont décidées à témoigner devant les juges, avec le soutien du Comité contre l’esclavage moderne.

« Viols » réguliers

Leurs récits parfois décousus décrivent un envers du décor sordide, dont le théâtre principal est une maison louée par l’artiste en banlieue parisienne, à Asnières (Hauts-de-Seine). Durant les tournées françaises, c’est là que sont hébergées les danseuses dont la plupart sont venues illégalement en France, munies de passeports d’autres individus fournis, disent-elles, par Koffi Olomidé. Un détail frappe les enquêteurs : « les portes et surtout les fenêtres étaient munies de verrous de nature à les empêcher de quitter les lieux », lit-on dans le dossier judiciaire que Le Monde Afrique a pu consulter.
Une danseuse y relate son quotidien lors des tournées françaises de Koffi Olomidé :

« Dès que le concert était terminé, on devait rentrer à la maison, à Asnières. On était gardées par trois vigiles. On était quatre dans la même chambre, on n’avait pas le droit de sortir sans autorisation. Je ne pouvais pas téléphoner, même à ma mère. On était payé 100 euros pour un concert de minuit à six heures de matin. On était forcées de coucher avec lui : il appelait un vigile pour qu’il amène une danseuse à l’Etap Hôtel ».

Puis elle décrit la brutalité sexuelle de l’un des pères de la rumba congolaise également redouté pour ses pratiques mystiques : « il fait de la magie, des trucs bizarres, il nous soufflait sur le corps ».

Lorsque ce n’était pas à l’hôtel, les « viols » se déroulaient parfois dans le studio d’enregistrement ou dans les toilettes d’un supermarché d’Asnières, se souvient une autre danseuse âgée de quatorze ans à l’époque des faits.

« Il m’a demandé de l’accompagner faire des courses. (…) Il m’a demandé de déposer le caddie, que j’aille aux toilettes et que je ne ferme pas la porte. Après, il est venu. (…) Il m’a dit que je me tourne et a fait rentrer son truc. (…) J’avais mal. Il m’a dit “ne crie pas” parce qu’il y avait des gens à côté ».

Celles qui se refusaient à lui étaient renvoyées. Souriantes et avenantes sur scène, les danseuses étaient en fait « humiliées », « salies », régulièrement « violées » par celui qui n’a pas hésité à se présenter comme un défenseur du droit des femmes. Lorsqu’elles tombaient enceintes, Koffi Olomidé les contraignait à avaler des « cachets blancs », raconte l’une d’entre elles. Ce qui provoquait des fausses couches. Parfois, la situation médicale empirait. Et il était contraint de les emmener à l’hôpital où elles étaient admises sous l’identité d’Aliane Olomidé, son épouse.


Le roi de la rumba reste populaire

Ces danseuses ont aussi vécu enfermées dans la maison à Kinshasa de la mère du chanteur, dans le quartier résidentiel de Ma Campagne. Là encore, elles vivaient sous la surveillance permanente de vigiles, terrorisées et à la merci du « boss ». À côté de cette maison-prison, il y a un hôtel au nom de crustacé où les vigiles amenaient des danseuses contraintes d’assouvir les pulsions de la star qui les y attendait, entièrement nue. Les viols étaient réguliers et brutaux, selon les témoignages consultés par Le Monde Afrique.
La plupart d’entre elles adulaient pourtant Koffi Olomidé. Pouvoir danser dans sa troupe, l’accompagner dans ses tournées à l’étranger, était un conte de fée pour des Kinoises belles, talentueuses et désargentées.

Lire aussi : A Abidjan, l’arrestation de Koffi Olomidé ravive un mauvais souvenir
L’artiste franco congolais a été mis en examen et ne peut plus fouler le sol français où il serait immédiatement incarcéré. Sa défense met en avant des failles de l’enquête. « Le dossier judiciaire est très bizarre, avec l’une des plaignantes qui a menti sur son âge, s’étant présentée comme mineure, ce qui s’est révélé faux, pointe Me Emmanuel Marsigny, l’avocat parisien de Koffi Olomidé. Le dossier ne repose que sur des accusations qui ont permis aux accusatrices de rester sur le territoire français où elles étaient entrées illégalement ».

Or cet épisode judiciaire n’a pas égratigné la popularité de Koffi Olomidé, même s’il a également été condamné à trois mois de prison avec sursis à Kinshasa pour avoir violemment frappé son producteur en 2012. Pour le coup de pied de Nairobi, il est poursuivi par la justice congolaise. Mais la danseuse violentée n’a pas souhaité porter plainte. Il reste dangereux de s’attaquer au roi de la rumba moderne, porté au pinacle par la rue comme par le gouvernement congolais qui l’a décoré en décembre 2015 de la médaille du mérite des arts, des sciences et des lettres.

 Avec LeMonde


Photo: A droite casquette à la tête: le chanteur Koffi Olomide et ses avocats avant le verdict de son procès le 16/08/2012 au tribunal de paix de la Gombe à Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

Après son audition, mardi 26 juillet au Parquet de grande instance de Gombe, le chanteur congolais Koffi Olomide est placé sous mandat d’arrêt provisoire à la prison centrale de Makala.


Le Parquet le poursuit pour coups et blessures volontaires administrés en public à l’une de ses danseuses. Les faits ont eu lieu vendredi dernier à Nairobi, au Kenya, d’où l’artiste musicien congolais a été expulsé suite à cet acte.

Au sortir de l’audition, Me Tony Mwaba Kazadi, l’un des avocats de Koffi Olomide indique que l’instruction se poursuit.

« L’instruction va continuer mais avec Koffi en privation de liberté. On l’achemine [à la prison centrale de Makala]. Pour la loi, c’est 5 jours et après on verra », a expliqué Me Tony Mwaba Kazadi.
Selon l’avocat de Koffi Olomide, le fait reproché à Koffi Olomide a déjà été classé sans suite.

« Ici on le poursuit alors qu’il n’y a ni plaignant ni dénonciation d’une autorité judiciaire de Nairobi », a déploré Me Tony mwaba Kazadi.

Des sources judiciaires renseignent qu’il y a plusieurs plaignants notamment le ministère kenyan du Genre et l’Etat congolais à travers les ministères provincial et central du Genre.
Me Tony Mwaba se veut prudent et ne confirme pas ces faits.

« On a entendu qu’elle est [Mme Mabunda, conseillère du chef de l’Etat en matière des violences faites à la femme] derrière le dossier mais nous on ne l’a pas vu. Je suis avocat je dois éviter des affirmations », a-t-il indiqué.

Radio Okapi


Koffi Olomidé, l’international artiste musicien congolais, après une pléthores de scandales en Europe et en Afrique, a été arrêté ce matin à son domicile par la police de son pays, sur ordre du Procureur. Jusque là, Mopao échappait aux mailles de la police et de la justice internationales.

 

Koffi Olomidé en route pour la prison?

Koffi Olomidé traverse une période de déséquilibre en ce moment. De scandale en scandale, il a rempli sa coupe de colère amenant les autorités judiciaires de son pays à ordonner son arrestation immédiate ce mardi 26 juillet 2016, à son domicile, en RDC.
On pourrait titrer « fin de cavale » pour ce brillant artiste musicien et chanteur congolais, qui animé les soirées chaudes et bien remontées des mélomanes du monde entier. Mais, quand le succès vous monte à la tête et que la maîtrise de soi fout le camp dans votre constitution biologique et psychologique, ce n’est plus que l’animalité qui s’installe avec son corollaire d’instincts grégaires qui ont fait faire à Mopao ce qu’il a fait récemment à l’aéroport de Nairobi au Kenya.

Après le scandale de Nairobi, où l’on voit dans une vidéo, la star congolaise de la rumba, donner un violent coup de pied à l’une de ses danseuses devant les caméras de télévision, la police congolaise a procédé ce matin, à l’arrestation de Koffi Olomidé, sur ordre du procureur de la République. La violence du geste de Koffi avait entrainé les condamnations dans le monde entier. La star avait vu ses concerts annulés au Kenya et en Zambie. De retour dans son pays, Koffi avait présenté ses excuses à tous ses fans et à toutes les femmes. Visiblement, la longue et lente descente aux enfers de Koffi n’est qu’au début.
Espérons que cette fin de cavale faite de scandales ne sera pas aussi une fin de carrière…

Afrique sur 7

 


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