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Donald Trump, l’ancien président des Etats Unis d'Amérique, muselé et privé d'espace pour s'exprimer pour les géants du secteur des réseaux sociaux depuis l’attaque du Capitole le 6 janvier dernier, a décidé de créer son propre réseau social. 


Puisque les géants de la technologie ne veulent pas de lui, Donald Trump veut entrer en concurrence avec eux. Son groupe Trump Media and Technology Group va fusionner avec Digital World Acquisition, une entreprise cotée au Nasdaq, la bourse des valeurs technologiques.

Le but claironné est de créer un rival au consortium des médias libéraux et riposter aux grandes compagnies technologiques. Donald Trump annonce que cette entreprise va lancer un nouveau réseau social, Truth Social, « la vérité sociale ». Il sera disponible en version bêta en novembre puis pour tous au premier trimestre 2022.





Des incursions sans surprise dans le monde de la technologie

Truth Social est annoncé déjà disponible en précommande dans la boutique d’applications d’Apple. Étrange quand on veut s’attaquer de front aux géants de la technologie et quand on connait les conditions très strictes posées par la firme à la pomme pour distribuer des applications, notamment en ce qui concerne les contenus violents.

Le lancement de ce réseau social est annoncé depuis longtemps, mais depuis qu’il a été banni des plateformes, les incursions de Donald Trump dans le monde de la technologie n’ont pas vraiment impressionné. Son nouveau site internet lancé en mai dernier a été un flop et il y a quelques jours, il a même été brièvement piraté pour afficher du contenu favorable au président turc Recep Tayyip Erdogan. 


Source: RFI



Kenda online, la nouvelle plateforme du e-commerce au Cameroun. Née de la volonté d'offrir aux  consommateurs une nouvelle expérience d'achat en ligne unique  et d'améliorer la qualité des produits issu du panier de la ménagère, Kenda Online se fait le pari de se tailler une place de choix dans le secteur de la vente en ligne au Cameroun, d'où son ambition d'offrir son expérience et son savoir faire dans ce secteur   malgré les difficultés d'expansion que connaissent cette activité au Cameroun. 


Kenda online c'est 4 jeunes avec une ambition folle celle d'être le amazone camerounais, pour plus de clarté nous sommes une entreprise camerounaise de E-commerce, nous vendons des produits et services en ligne. 
Avec l'effervescence que connait le monde du digital aujourd'hui et au regard de ce qui ce fait ailleurs en terme de digitalisation de services, nous nous sommes dire que nous avons notre contribution à apporter dans ce secteur qui à de la peine à prendre ses marques chez nous au Cameroun. 

Par ailleurs il y a aussi eu le besoin d'entreprendre et surtout de vouloir apporter notre part des solutions à certains problèmes auxquels sont confronter le consommateurs surtout en ce temps de crise sanitaire, et pouvoir permettre au gens d'acheter facilement en ligne et de se fait livrer chez eux contribuent à réduire les risques de propagation du covid19. 

Notre challenge est aussi d'inculquer la culture d'achat en ligne à nos compatriotes raison pour laquelle à travers notre plateforme, nous offrons une expériences d'achat en ligne unique. 


AU NOM DE TOUTE L'EQUIPE NOUS VOUS SOUHAITONS BON ET HEUREUX ACHAT 2021 SUR Kenda Online (https://kendaonline.com/)


10:43:00 ,


Outre les mises à jour mineures et la correction de quelques bugs, la nouvelle version du navigateur Web de Mozilla ajoute à son arsenal des options qui améliorent la lisibilité des pages.


Vous êtes de ceux qui utilisent le mode Zoom dans FireFox, pour lire plus facilement les pages qui ont de petites polices de caractères ? Réjouissez-vous, avec la version 73 du navigateur, vous allez pouvoir régler le niveau de grossissement de façon uniforme, pour toutes les pages que vous ouvrez. Une bonne fois pour toutes.



Jusqu'alors, à chaque nouveau site visité, régler le niveau de la loupe pouvait être nécessaire. Des extensions permettaient de mémoriser un pourcentage de zoom précis et de l'appliquer tout le temps. Mozilla a bien compris qu'il y avait un besoin et a donc incorporé cette fonction dans FF 73. Le réglage différencié, par page, reste toutefois d'actualité, pas de panique.

​​​​​​Lisibilité encore avec l'autre nouveauté que FireFox 73 apporte. Elle fonctionne de pair avec le mode de Contraste Elevé de Windows qui aide les malvoyants à mieux discerner certains éléments ou textes affichés à l'écran.

Mozilla améliore la façon dont FireFox s'affiche lorsque ce mode est détecté comme actif. Plus question de désactiver les images de fond pouvant nuire à la lisibilité des textes. Dorénavant, un filtre de couleur vient s'intercaler entre l'image et le texte de sorte que l'élément graphique et les polices restent, respectivement, visibles et lisibles.


Source: 01Net




Les autorités européennes, réunies sous la bannière du G29, demande à WhatsApp de mettre fin au partage de données avec Facebook, le temps pour elle de vérifier la légalité de ce partage. Yahoo aussi est sommé de s'expliquer sur sa fuite de données et la surveillance des emails.


Plusieurs autorités européennes de protection des données personnelles ont ouvert une enquête après l'annonce par WhatsApp d'une modification de sa politique de confidentialité. Dans ce cadre, l'application mobile prévoit de partager des données avec sa maison-mère, Facebook.
Comme par le passé avec Google, les régulateurs ont décidé d'agir de manière concertée par l'entremise du groupe Article 29 réunissant les différentes autorités. Dans un communiqué relayé par la Cnil, le G29 "exprime sa vive préoccupation" au sujet de ce partage d'information.

Arrêt du partage des données des utilisateurs WhatsApp

Un partage qui selon lui relève de "finalités qui n’étaient pas incluses dans les conditions d’utilisation et la politique de confidentialité au moment où les actuels utilisateurs ont souscrit au service WhatsApp."
Le G29 s'interroge (et même "s'inquiète") à plusieurs titres : la validité du consentement, l'efficacité des mécanismes mis à disposition des utilisateurs pour exercer leurs droits, et les droits des non-utilisateurs dont les données sont partagées au travers des carnets de contacts WhatsApp.
Pour trancher sur la légalité de cette modification en termes de confidentialité, le G29 "requiert" de l'éditeur qu'il lui communique au plus tôt "toute information pertinente". Il lui est en outre demandé "instamment", et "jusqu’à ce que les garanties juridiques appropriées puissent être apportées", de mettre fin au partage des données.
L'autorité de protection de Hambourg a elle déjà ordonné, au travers d'une décision administrative, à WhatsApp de cesser collecte et partage de données, ainsi que de supprimer les données déjà collectées.
L'Article 29 n'a toutefois pas de pouvoir de contrainte au niveau européen. En 2012, cet organe avait ainsi demandé, en vain, à Google de suspendre la mise à œuvre de sa nouvelle politique de confidentialité - ce que la firme avait refusé.
A noter que le G29 se préoccupe également de l'actualité de Yahoo. Celui-ci a adressé un courrier à l'entreprise concernant sa faille de sécurité critique et la surveillance des emails de ses utilisateurs pour le compte des services de renseignement US.

Les actions répressives ont désormais leurs experts européens 

"Le G29 demande en conséquence à l’entreprise de lui expliquer et lui communiquer tous les aspects de cette faille de sécurité, de notifier aux utilisateurs concernés les conséquences indésirables et de coopérer avec toute enquête ou demande à venir de la part des autorités nationales de protection des données sur le sujet" précise le communiqué.
Yahoo est par ailleurs invité à s'expliquer sur la surveillance des emails et démontrer le "fondement juridique de ce type d’activité" ainsi que "sa compatibilité avec la législation européenne." Les cas Yahoo et WhatsApp seront abordés en novembre lors de la première réunion du groupe de travail dédié aux actions répressives.
La concertation dans les actions répressives des autorités européennes s'institutionnalise en effet. La création d'un groupe de travail spécifique a été actée en septembre. "Ce vivier d’experts nationaux facilitera le partage de point de vue entre autorités sur les stratégies et actions répressives relatives aux cas transfrontaliers" est-il indiqué.
Le G29 justifie sa création par le "nombre croissant d’événements ayant des incidences transfrontalières et impactant les citoyens européens." Et dans la conduite de leurs actions répressives, les régulateurs disposeront bientôt (2018) de nouveaux pouvoirs de sanction (jusqu'à 4% du CA annuel mondial).

 
Avec zdnet

Facebook vient de lancer Lifestage, une application pour iOS qui ressemble en grande partie à Snapchat. Elle se concentre cependant sur la vidéo et se destine avant tout à un public jeune, de moins de 21 ans.


Facebook a décidément à cœur de prouver qu’elle peut produire des applications tournées vers les jeunes. La dernière mise à jour majeure d’Instagram – qui appartient pour rappel à la société de Mark Zuckerberg – était justement destinée à implanter une fonctionnalité de photos éphémères, façon Snapchat. La réalisation ne manque pas d’intérêt et est déjà copieusement utilisée par les aficionados du réseau.

Mais là où Instagram permet la publication de photos et de vidéos, Lifestage ne s’occupe que des vidéos. La nouvelle application de Facebook, qui n’est pas encore disponible en France, se destine à un public jeune, la fiche descriptive sur l’App Store indiquant clairement une limite d’âge de 21 ans. Dans la pratique, n’importe qui peut s'en servir, mais l’utilisateur risque alors de se retrouver un peu seul.

Pour les moins de 21 ans

Au premier lancement, Lifestage invite le nouveau venu à réaliser un petit ensemble de courtes vidéos dans des situations variées, l’ensemble étant alors mixé pour créer un clip de présentation plus long. Lifestage demande ensuite dans quelle école se trouve l’utilisateur. Le flux de lecture affichera alors les vidéos réalisées par les autres élèves. On est donc loin d’un Snapchat ou même d’un Instagram qui fonctionnent tous deux sur la base de comptes ajoutés manuellement.

Lifestage existe essentiellement pour mettre en relation les élèves d’un même lieu scolaire, et il ne faudra donc pas chercher beaucoup plus loin. L’application n’intègre d’ailleurs aucune fonction de messagerie instantanée. Cependant, la fiche de chaque utilisateur peut être complétée avec une section « Me contacter », dans laquelle il pourra renseigner ses comptes Instagram, Snapchat, Twitter et ainsi de suite. Point important : la création d’un compte sur Lifestage ne réclame pas d’inscription à Facebook.

Des écoles déverrouillées au fur et à mesure 

Lifestage n’est pas non plus disponible partout sur le territoire américain. Ses débuts sont en effet calqués sur ceux de Facebook. Quand les utilisateurs s’inscrivent, ils doivent déclarer un établissement scolaire. Pour qu’une école soit « déverrouillée », il faut au moins 20 profils présents . À partir de ce moment, la zone géographique agit comme relai et le flux peut démarrer chez les inscrits.

Pour autant, les utilisateurs sont prévenus que tout ce qu’ils publient est public. Dans le descriptif de l’application sur l’App Store, Facebook prévient : « Tout ce que vous publiez est toujours public et visible par tout le monde, à l’intérieur et à l’extérieur de votre école. Il n’y a aucun moyen de limiter l’audience de vos vidéos. Nous ne pouvons pas confirmer que les personnes déclarant faire partie d’une école y vont réellement ».
En France, la question ne se pose pas encore. Lifestage ne commence doucement sa vie qu’aux États-Unis, sous une forme qui ressemble finalement davantage à une expérience qu’à un vrai lancement.




Next Inpact

 

 L’année dernière et suite à la vague des attaques terroristes que le monde a connu, Twitter a été vivement critiqué pour ne pas avoir entrepris assez d’efforts pour éradiquer le discours extrémiste, le réseau social a été même poursuivi en justice aux États-Unis.

 

 Twitter a affirmé que les menaces violentes et la promotion du terrorisme n’ont aucune place sur sa plateforme. Au milieu de l’année 2015, le réseau social a annoncé avoir suspendu plus de 125 000 comptes pour violation des conditions d’utilisation qui impliquent la prohibition de toute apologie de la violence et du terrorisme.
 

La firme basée à San Francisco a annoncé cette semaine que le travail n’est pas encore fini et qu’elle a suspendu 235 000 comptes additionnels depuis février 2016. Ce qui amène le nombre total de comptes suspendus à 360 000 depuis la moitié de 2015. Twitter dit que ses efforts continuent d’afficher de bons résultats et affectent l’activité sur le réseau social. « Les suspensions quotidiennes sont en hausse de 80 % depuis l’année dernière, avec une montée des suspensions immédiatement après les attaques terroristes. Notre temps de réponse aux comptes signalés, la période de temps que ces comptes sont sur Twitter et le nombre d’abonnés qu’ils accumulent, toutes ces variables ont été réduites de manière drastique. Nous avons aussi fait du progrès dans l’élimination de la possibilité du retour de ceux suspendus à la plateforme », a indiqué Twitter dans un billet de blog.

Twitter a mentionné qu’il n’a pas en sa disposition un « algorithme magique » capable d’identifier le contenu terroriste sur internet. Néanmoins, la firme a confirmé qu’elle s’appuie sur d’autres technologies, comme des outils propriétaires de lutte contre le spam. Ces outils combinés avec l’aide des utilisateurs permettent d’identifier les comptes qui abusent les règles de la plateforme. « En réalité, ces outils nous ont aidés à identifier automatiquement plus d’un tiers des comptes suspendus pour promotion du terrorisme, et ce durant les six derniers mois ».

Twitter, en opposition à Facebook, permet aux utilisateurs de créer des comptes anonymes, ce qui en fait la plateforme de prédilection pour la communication et le recrutement de terroristes potentiels. Les chiffres avancés par Twitter cette semaine surviennent dans un contexte tendu, avec les gouvernements qui demandent aux firmes d’internet de faire plus de concessions afin de contrecarrer la menace terroriste.
 

 Developpez - Twitter

Adblock se vante d'avoir réussi en deux jours seulement à contourner les mesures de Facebook pour limiter le blocage des publicités sur son réseau social.


Alors que Facebook annonçait, il y a quelques jours seulement, mettre en place des mesures pour contourner les systèmes de blocage de pub en ligne. AdBlock dit être parvenu, en deux jours seulement à passer outre ces mesures. Cela a été rendu possible avec l'aide de la communauté des utilisateurs. 

Facebook n'a pas tardé à répliquer. Selon TechCrunch qui a reçu un message du réseau social, la nouvelle version AdBlock Plus ne bloque pas seulement les publicités, elle masque aussi certains contenus publiés par des amis ou publiés sur des pages.



Pierre-Desthin Soghe, un informaticien gabonais qui vit au Québec, vient de créer une application qui permettra aux Gabonais partout dans le monde de suivre les résultats de l'élection présidentielle du 27 août prochain via leur smartphone.

Près de 2 500 internautes s'engagent à mettre en ligne les résultats qui seront en leur possession. Jeudi 4 août, une démonstration gratuite du fonctionnement de l'application a été effectuée à Libreville. Reportage. 

L'application a un nom très célèbre : Regab, pour « Regardez les élections au Gabon ». Ce nom est aussi la bière préférée au Gabon, ce qui explique en partie qu'elle suscite la curiosité des Gabonais qui, cependant, ne savent pas encore comment cela va fonctionner. 

« Il faut encore tenir compte de la fiabilité des données qui seront sur cette plateforme », réagit un homme sceptique au micro de RFI, tandis qu'un autre se réjouit de peut-être faire partie des premiers électeurs de la sous-région à bénéficier d'un tel outil.
Pour l'utiliser, il suffit de disposer d'un smartphone et de télécharger gratuitement l'application. Jean Pierre Rougou est blogueur et opposant gabonais. Il espère que l'application est une contribution à la transparence électorale au Gabon. Une transparence « que nous recherchons depuis de très longues années », dit-il, saluant cette initiative.

Au Gabon, le dépouillement des résultats est public. Sauf que la loi interdit la publication des résultats partiels non officiels. Contacté par RFI, le ministère de l'Intérieur n'a pas souhaité s'exprimer sur l'initiative des promoteurs de Regab qui souhaitent mettre en ligne tous les résultats dès la fin du dépouillement.

RFI

12:16:00 ,

L’application de messagerie privée de Facebook est désormais utilisée mensuellement par plus d’un milliard de personnes. 

C’est en effet ce qu’a annoncé aujourd’hui l’entreprise, qui a bien entendu également profité de l’occasion pour remercier ses utilisateurs.

«Aujourd’hui, nous annonçons que plus d’un milliard de personnes utilisent Facebook Messenger chaque mois, propulsant Messenger au rang des rares applications dans le monde à toucher autant de vies», a déclaré Facebook. 

«Nous sommes reconnaissants pour tous les gens qui envoient des milliards de messages chaque jour, et nous souhaitons envoyer un milliard de mercis sous la forme d’un nouveau ballon flottant que tout le monde peut utiliser pour célébrer la nouvelle. Il vous suffit d’envoyer l’emoji d’un ballon à vos amis pour ajouter une touche de fantaisie et de plaisir à toute conversation.»

Il faut croire que la stratégie adoptée par Facebook, qui oblige les utilisateurs de son application mobile à installer Messenger pour poursuivre leurs conversations lors de leurs déplacements, a porté fruit. 

L’entreprise dirigée par Mark Zuckerberg compte ainsi trois produits dont le bassin d’utilisateurs actifs a franchi le cap du milliard de personnes par mois, lorsque l’on compile l’utilisation de l’autre application de messagerie privée détenue par Facebook, WhatsApp, et le réseau social en lui-même (qui attire ce nombre de personnes au quotidien).

Zuckerberg a d’ailleurs déjà affirmé en octobre 2014 que le potentiel d’affaires de Messenger ne deviendrait pas «intéressant» avant d’atteindre ce chiffre. Reste à voir maintenant comment Facebook comptera y rentabiliser ses activités. 

Parallèlement à cette nouvelle, soulignons que la plateforme de bots de Facebook est passé de 11 000 à 18 000 robots virtuels seulement dans les 20 derniers jours selon The Verge.

Branchez-Vous


Pokémon GO propose à ses joueurs d'attraper ces petites créatures (virtuellement) dans la vraie vie. En quelques jours, le jeu a pris une ampleur démesurée. 

Un jeu de pistes virtuel à ciel ouvert. Dans la lignée des jeux vidéo jusqu'alors proposés sur console, Pokémon GO propose d'attraper des Roucool, Pikachu ou Bulbizarre… Cette fois-ci dans le monde réel, et grâce à son mobile. Bureaux, autoroutes, jardins, rivières, salles de bains, pas un lieu n'échappe à l'invasion de ces créatures. Et le principe séduit. Lancé le 7 juillet aux États-Unis, en Australie et en Nouvelle-Zélande, le jeu de réalité augmentée a conquis en un jour plus d'utilisateurs aux États-Unis que Tinder sur Android, selon des chiffres SimilarWeb. Il serait en passe de détrôner Twitter.

La force du mobile

Nintendo ne s'est pas contenté de transposer les jeux Pokémon sur mobile. L'entreprise a profité des outils de géolocalisation et de l'appareil photo présents sur smartphone pour renouveler l'expérience de ses joueurs. À l'approche d'un Pokémon, leur téléphone reçoit une notification et la caméra s'enclenche, faisant apparaître le monstre dans le cadre. Il est donc possible de prendre une photo de sa prise là où on l'a trouvée. D'où de multiples captures d'écran pour le moins insolites.





Longtemps réticent à sortir des jeux sur mobile, Nintendo a cette fois-ci sauté le pas, en misant sur la simplicité. Se déplacer, appuyer sur son écran, «swiper»… Les commandes sont réduites au minimum. Résultat: un jeu accessible à tous, même aux résidents de pays dans lesquels le jeu n'a pas encore été lancé. De nombreux internautes, notamment français, se sont ainsi rués sur apkmirror.com, qui permet de télécharger des applications pour Android, dont Pokémon Go où que l'on soit dans le monde. Le site a vu son trafic augmenter de presque 600% pour atteindre plus de 4 millions de visiteurs le 6 juillet, jour de la sortie de l'application.

Un champ infini de possibles

Pokémon GO regorge de Pokéspots, des endroits prédéterminés qui servent d'habitat aux créatures, bien souvent en fonction de leurs milieux naturels. Des Pokémons eau auront par exemple tendance à se retrouver près de lacs, rivières ou mers.
Le succès du jeu est pour beaucoup lié à cette imbrication du réel et du virtuel. D'autant plus qu'aucun endroit n'est hors limite. Cette spécificité de l'application aura conduit à quelques dérives, qui contribuent d'ores et déjà à alimenter sa réputation. Surpris par un attroupement de personnes devant son église, un propriétaire du Massachussetts s'est rendu compte qu'elle servait d'arène, un endroit propice aux combats entre Pokémon, aux dresseurs. «Vivre dans une vieille église signifie beaucoup de choses», note-t-il. «Aujourd'hui cela veut dire que ma maison est une arène Pokémon. Cela promet d'être fascinant.»
 



En Australie, et après avoir été visité par plusieurs joueurs, un commissariat a été forcé de publier un message sur sa page Facebook afin de rappeler ses conditions d'accès. «Vous n'avez pas besoin de rentrer dans le commissariat pour récupérer des Pokéballs», rappelle le message. «Pensez à lever les yeux de votre portable lorsque vous traversez la rue!»
Annulée depuis, une «chasse Pokémon GO géante» aurait dû avoir lieu jeudi 14 juillet dans les jardins du Luxembourg. Des ruses existent en effet pour utiliser l'application en France.

Le Figaro 


Une nouvelle quelque peu étonnante vient d’être révélée : Apple va se lancer dans une émission de télé-réalité autour de créateurs d’applications.

Apple a franchi une nouvelle étape dans le développement de sa société. Après les iPhones, les iPod, les iPad ou encore la Apple TV, elle se lance désormais dans la télé-réalité ! Oui oui, vous ne rêvez pas…

Une émission de télé-réalité pour développeurs

L’information a été annoncée dans l’année mais cette fois-ci c’est bien officiel. L’émission a même un nom : Planet of the Apps. Un nom qui n’est pas sans rappeler un film mythique, « La Planète des singes » qui se dit « Planet of the Apes » en anglais.
Les consignes ? Différentes équipes vont s’affronter dans le développement d’applications innovantes. Les caméras pourront suivre la création des applications mais aussi le quotidien des développeurs. Ben Silverman de la boîte de production Propagate explique que « Nous pourrons vraiment raconter leurs histoires pendant que nous explorons la façon dont les applications sont développées et créées et mises en incubation« .

100 développeurs seront retenus et seront en compétition afin de disposer des expertises de la communauté tech. Mais ce n’est pas tout. L’équipe gagnante se fera remettre un financement de 10 millions de dollars ainsi qu’une place privilégiée dans l’AppStore d’Apple.

D’ailleurs, les candidatures sont déjà ouvertes depuis cette semaine. Il suffit de se rendre sur le site officiel de Planet of the Apps. Quelques conditions sont de rigueurs pour intégrer l’émission : être âgé de plus de 18 ans, être résidant aux Etats-Unis, avoir un pitch d’application iOS, macOS, watchOS ou tvOS à proposer avant le 26 août. De plus, un autre point est important : ils doivent avoir une nouvelle vision pour « façonner l’avenir, résoudre des problèmes pratiques et inspirer le changement dans notre vie quotidienne« .

Apple pourra donc bénéficier de plusieurs applications et de prometteurs développeurs à sa disposition. Enfin, le tournage devrait début à la fin de l’année 2016. La date ainsi que le canal ne diffusion n’ont pas encore été rapporté.

ERenumerique

14:51:00 , , ,

Un Américain revendique l'invention de l'iPhone quinze ans avant Apple. Il demande une somme folle en compensation, mais ses exigences ont peu de chance d'aboutir...

Quinze ans avant sa sortie, il aurait inventé l'iPhone. Preuve à l'appui – un simple schéma dessiné à la main sur une feuille – l'américain Thomas S. Ross a décidé de poursuivre Apple et lui réclamer un dédommagement de 10 milliards de dollars (8,9 milliards d'euros).

En 1992, l'habitant de Floride aurait déposé un brevet pour un appareil baptisé Electronic Reading Device (ERD), rectangulaire, muni d'un écran et capable de tenir dans une main. Son concepteur revendique avoir été "le premier à déposer le brevet pour un appareil qui a créé une nouvelle combinaison de média et d'outil de communication… dont l'identité a depuis été détournée et exploitée par Apple pour ses iPhone, iPod et iPad".


Un brevet jamais payé et donc jamais déposé


Thomas S. Ross estime que les 10 milliards de dollars demandés constituent des royalties raisonnables de 1,5 % par appareil qu'Apple vendrait dans le futur. D'après The Telegraph, cela représenterait 3,5 milliards de dollars sur les 235 milliards de chiffre d'affaires réalisé par Apple en 2015. Il cite également une phrase prononcée par Steve Jobs qui expliquait "ne jamais avoir eu honte de voler de grandes idées".


Reste qu'à part le look (et encore), l'engin n'a pas grand chose à voir avec le mobile d'Apple. Sa machine, qui n'a jamais été conçue, est surtout une collection délirante de technologies de l'époque. Dans l'appareil, Ross comptait par exemple intégrer des panneaux solaires et un lecteur de disquettes !    


Seul problème pour l'Américain, son brevet n'a jamais été approuvé. Thomas S. Ross n'avait en effet jamais payé les frais nécessaires à son enregistrement. La demande avait donc finalement été rejetée en 1995. Ce sera désormais à une cour du Southern Disctrict de l'Etat de Floride de juger de la recevabilité de sa plainte.

BFM

19:09:00 , , ,

Photo: iPhone 6, Baili 100C... saurez-vous les distinguer ? - Crédit : MacRumors
Apple est accusé en Chine d'avoir violé des brevets du fabricant local de smartphones Baili,et d'en avoir fait profiter ses iPhone 6 et 6 Plus. Ils pourraient être interdits à la vente à Pekin.

Ne parlez plus de copie chinoise. Apple est accusé par le bureau de la propriété intellectuelle de Pékin d'avoir enfreint des brevets pour la conception de ses iPhone 6 et 6 Plus - dont l'énorme succès commercial en Chine a contribué à la bonne santé de la marque en 2015, et fait de l'ombre aux acteurs locaux. Plus précisément, Apple est accusé de s'être trop inspiré du Baili 100C, un smartphone chinois inconnu au bataillon en Occident.

 

Le plus grave pour Apple, est qu'il pourrait se voir interdire de commercialiser ces deux modèles dans la capitale chinoise, rapporte le Wall Street Journal. Même s'il s'agit de l'ancienne génération, et que la prochaine arrivera cet automne, cette attaque des autorités chinoises illustre à nouveau les difficultés croissantes de l'américain à garder sa place sur ce marché juteux qu'est la Chine. Ce n'est pas la première anicroche d'Apple dans le pays...


Protectionnisme chinois ?

En mai, la société y a perdu les droits exclusifs de la marque « iPhone », également déposée en 2007 - la même année que la sortie du smartphone - par la société chinoise Xintong Tiandi. Plus tôt dans l'année, les services iTunes Movie et iBooks étaient bloqués en Chine, à la demande de l'État, qui voulait censurer certains titres.


Dans ce contexte, l'investissement de 1 milliard de dollars dans Didi Chuxing (le Uber chinois), annoncé par Apple en mai, est interprété par les observateurs comme une main tendue du groupe américain envers Pékin.

De son côté, l'État chinois est vu comme protecteur de ses champions locaux, menacés par Apple sur le haut de gamme. Selon IC Insights, sept des dix premiers constructeurs de smartphones dans le monde sont chinois.


Concernant les iPhone 6 et 6 Plus, plusieurs revendeurs chinois auraient déjà stoppé leur commercialisation, rapporte le journal américain, mais sans savoir si leur décision est liée à l'injonction (prononcée le 19 mai, mais notifiée seulement maintenant), ou s'il s'agissait simplement de faire place à la génération 6s du smartphone.


Bien qu'Apple s'apprête à stopper la production de l'iPhone 6, ajoute le WSJ, il ne compte pas se laisser faire.



ClubIC


Photo: Kelvin Doe, jeune inventeur sierra-léonais, dans l'entrée du centre Mulungushi de Lusaka (Zambie) lors des Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement, le 26 mai 2016.

Kelvin Doe, 19 ans, est un jeune inventeur sierra-leonais autodidacte. Il est connu pour avoir construit sa propre station de radio ainsi que des batteries et un générateur pour éclairer les maisons de sa communauté. Ce petit génie était invité aux Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (BAB) qui ont eu lieu fin mai à Lusaka, en Zambie. 

« Kelvin, une photo s’il vous plait ! » Un selfie par ici, un autre par là, Kelvin était incontestablement LA star des Assemblées annuelles de la Banque Africaine de Développement qui viennent de s'achever à Lusaka, en Zambie. « Ravie de vous rencontrer, vous êtes un modèle pour nos jeunes », lui lance une femme en lui serrant la main. « Kelvin, puis-je avoir votre contact ? », lui demande, à son tour un jeune homme habillé en costume. Il ne sait plus où donner de la tête mais Kelvin reste cordial et prend un moment pour chaque personne.

Durant l'épidémie Ebola dans mon pays, toutes les écoles étaient fermées. Alors j’ai utilisé ma radio pour donner des cours à certains enfants


Entre deux conversations, le jeune inventeur trouve enfin quelques minutes pour une interview. Et lorsqu’on lui demande s’il aime toute cette agitation autour de lui, il avoue « être un peu fatigué », mais il se prête au jeu. « Je ne suis pas une star, assure-t-il. Les gens veulent simplement prendre des photos avec moi ».




16:13:00 ,
 Pour accélérer l’adoption de son application de messagerie Messenger, Facebook force les utilisateurs à installer l’application mobile sur leurs appareils.

Soucieux d’obtenir autant d’utilisateurs que possible sur son application Messenger, Facebook a commencé à avertir les utilisateurs de la version mobile de son site en ligne que la fonction de messagerie sera bientôt retirée. On ne sait pas combien de personnes utilisent la messagerie via le site mobile de Facebook plutôt que l’application Messenger, mais pour certaines personnes, par exemple celles avec des appareils plus anciens qui rencontrent des difficultés avec l’application, le site web est une meilleure option.

Lors de l’ouverture de la fonction Messenger sur le site mobile, de nombreux utilisateurs voient maintenant un message qui dit: «vos conversations se déplacent vers Messenger. Bientôt vous pourrez uniquement consulter vos messages à partir de Messenger ». D’autres utilisateurs auraient reçu directement une invitation à télécharger l’application Messenger depuis l’App store s’ils ne l’avaient pas déjà.
À l’heure actuelle, il est possible d’ignorer le message en appuyant sur le symbole « x », bien que selon TechCrunch, le réseau social est susceptible de supprimer la fonction de son site mobile d’ici la fin de l’été.

Forcer la main aux utilisateurs pour qu’ils migrent vers son application de messagerie rappelle la stratégie de l’entreprise adoptée il y a deux ans quand elle a fait savoir aux membres du site qu’elle avait l’intention de supprimer la possibilité de lancer des discussions via la principale application Facebook. Cela avait pour but de pousser les utilisateurs à télécharger l’application Messenger. Cette méthode a porté ses fruits, car l’application a maintenant plus de 900 millions d’utilisateurs actifs.

La société de Menlo Park a réitéré l’opération en début d’année quand elle a supprimé la possibilité de synchroniser les photos avec l’application principale, ce qui signifie les utilisateurs qui voulaient utiliser la fonction devaient alors télécharger l’app Moments de l’entreprise.

Quant à savoir pourquoi Facebook a choisi de retirer le service de messagerie sur son site mobile, Facebook a donné une réponse quelque peu prévisible à TechCrunch, en expliquant vouloir donner aux utilisateurs la « meilleure expérience » de messagerie possible. Mais comme nous le savons tous, la compagnie cherche sérieusement à monétiser son service de messagerie. En obtenant plus d’utilisateurs sur son application autonome, cela va renforcer la marque et lui permettre d’augmenter ses tarifs lors de la formation de partenariats avec des entreprises désireuses de se connecter à sa base d’utilisateurs.

18:59:00 , ,

Un étrange prototype de bus sera testé à l'été 2016 en Chine : c'est une sorte de tunnel mobile, qui passe au-dessus des voitures.

 Géant de 60 mètres de long, 8 de large et près de 5 mètres de hauteur ! Ce bus géant qui pourrait bientôt glisser au-dessus des autoroutes chinoises est plutôt impressionnant. Sans compter sa particularité : roulant sur des rails, il surplombera les voitures qui passeront dessous comme si c’était un tunnel... 

Question : ce monstre verra-t-il vraiment le jour ? Un projet similaire, présenté en 2010 avait capoté. Mais la nouvelle version paraît être davantage sur les rails - c'est le cas de le dire - puisqu’un prototype (à taille réduite) a été présenté lors de l’Exposition internationale de la haute technologie de Pékin. La simulation numérique présentée ci-dessous donne une idée de l'aspect démentiel du projet.

Selon son inventeur, Song Youzhou, le bus pourrait convoyer jusqu’à 1400 passagers et serait équipé d’une motorisation électrique lui permettant de pousser des pointes à 65 km/h. Une fois en fonction, il aurait la capacité de remplacer l’équivalent de 40 bus et permettrait d’économiser environ 800 tonnes d’essence par an, tout en améliorant de 20 à 30% la fluidité du trafic. L’équivalent de 2500 tonnes de carbone non rejetées annonce Song Youzhou. Un tronçon d’autoroute devrait être aménagé dès cet été pour effectuer des tests grandeur nature et la construction d’un prototype en taille réelle aurait déjà débuté, selon l’agence chinoise Xinhua.

 Cliquez ici pour voir la vidéo


Sciences et Avenir

C’est en ce jour, fête de l’unité nationale du Cameroun que le jeune réalisateur camerounais NAPSTER KALLASH a choisit pour lancer officiellement son application mobile vibe radio hits.

 

Une application radio dédiée à la promotion de la musique Camerounaise  à grande échelle, qui vient accompagner les efforts de son promoteur qui a lancé il y'a déjà quelques années la version télé,  suivit de la version  FM il y'a seulement mois.

Déterminé à être un acteur majeur dans la promotion de la musique, cette application permettra selon son promoteur d'accroître la visibilité et de soigner quelques maux dont souffrent la musique camerounaise.

Disponible depuis ce matin en téléchargement libre sur appstore et googleplay, cette application sans doute permettra de découvrir la diversité et les richesses du pays de MANU DIBANGO et de  RICHARD BONA en matière de musique.




16:36:00 , ,

Créée en 2013, elle compte déjà près de 10 000 utilisatrices sur l’étendue du territoire national.

 C’est la journée de sensibilisation à l’hôpital Saint-Martin-de-Porrès, situé à quelques kilomètres du centre-ville de Yaoundé. Sur le chemin de terre qui grimpe au centre de santé, le goudron a disparu depuis belle lurette. Toutes les deux minutes devant l’hôpital, un moto-taxi déboule pour déposer un proche venu rendre visite à un parent, un ami, une voisine.

Les malades sont pour la plupart amenés dans l’un de ces vieux taxis jaunes que l’on croise partout dans la capitale du Cameroun. A l’étage, dans une grande salle d’attente bien ventilée, une quarantaine de jeunes mamans attendent leur tour, leur nouveau-né dans les bras. C’est le rendez-vous des premiers vaccins. Certaines, qui laissent voir un visage fatigué, semblent à peine sortir de l’adolescence.

Au mur, un écran muet diffuse des clips musicaux. Scotchés çà et là, quelques flyers tous neufs appellent les mamans à envoyer des SMS au 8566. C’est le numéro à composer pour bénéficier gratuitement des conseils médicaux de Gifted Mom. Cette start-up sociale camerounaise répond par SMS aux questions posées par les femmes enceintes. Gifted Mom les accompagne aussi en leur donnant leur date de rendez-vous pour les visites prénatales dans les hôpitaux.

Après la naissance de l’enfant, le suivi se poursuit : Gifted Mom rappelle plusieurs fois par semaine les dates de vaccination du nouveau-né, calculé de manière automatique à partir de la date et de l’heure exacte de la naissance. De l’information, et des rappels en continu, au minimum trois SMS par semaine.

10 000 utilisatrices au Cameroun
 
Cette application, créée en 2013, compte déjà près de 10 000 utilisatrices au Cameroun. Elle est considérée comme un allié technologique précieux par l’hôpital Saint-Martin-de-Porrès, l’un des premiers centres de Yaoundé à avoir noué un partenariat médical renforcé avec Gifted Mom. Et pour cause : si chaque jour, dans le monde, un peu plus de 800 femmes meurent pendant leur grossesse ou en accouchant, l’Afrique subsaharienne reste de loin la zone la plus touchée.

Mais tout ne se passe pas par SMS. Deux fois par semaine, Mekness Ijang, l’une des agents de terrain de Gifted Mom, vient rencontrer femmes enceintes et nouvelles mamans, distribue des flyers et recueille un maximum d’informations à commencer par le précieux numéro de téléphone.

00 h 30, le chef de service prend enfin place dans la grande salle d’attente. A ses côtés, sage et discrète, Mekness se tient droite comme un i. Le docteur démarre la séance de sensibilisation. Il énumère les vaccins que les nouveau-nés doivent recevoir dans l’année qui vient : « Vaccin contre l’hépatite B à la naissance, contre la poliomyélite à un mois et demi, etc. »

Absence des pères
 
Ici, le cynisme dont certains membres du corps médical avaient été accusés dans l’affaire tragique de Monique Koumaté n’est pas de mise. Le 13 mars, le Cameroun tout entier fut traumatisé par l’histoire de cette jeune maman morte au neuvième mois de sa grossesse puis éventrée par sa propre sœur qui croyait pouvoir sauver les deux bébés qu’elle portait. Une scène d’horreur aux portes de l’hôpital Laquintinie, à Douala.

Soudain le docteur décide de mettre un peu d’ambiance. Il lance un débat sur l’absence aveuglante de papas dans la salle, tout en félicitant bruyamment l’unique homme présent, venu accompagner sa petite amie enceinte de quelques mois : « Pourquoi êtes-vous venu seules ? Le père est aussi responsable de la santé de votre bébé ! ». Plusieurs femmes sourient tandis que d’autres, l’air dépité, maugréent bruyamment en reprochant à leur conjoint absent de les avoir abandonné.

Puis le docteur s’écarte et donne la parole à Mekness, venue présenter Gifted Mom. Les premières minutes sont laborieuses mais le bruit de la salle s’évapore lorsque Mekness revient sur l’histoire de Monique Koumaté.

C’est la journée de sensibilisation à l’hôpital Saint-Martin-de-Porrès, situé à quelques kilomètres du centre-ville de Yaoundé. Sur le chemin de terre qui grimpe au centre de santé, le goudron a disparu depuis belle lurette. Toutes les deux minutes devant l’hôpital, un moto-taxi déboule pour déposer un proche venu rendre visite à un parent, un ami, une voisine.

Les malades sont pour la plupart amenés dans l’un de ces vieux taxis jaunes que l’on croise partout dans la capitale du Cameroun. A l’étage, dans une grande salle d’attente bien ventilée, une quarantaine de jeunes mamans attendent leur tour, leur nouveau-né dans les bras. C’est le rendez-vous des premiers vaccins. Certaines, qui laissent voir un visage fatigué, semblent à peine sortir de l’adolescence.

Au mur, un écran muet diffuse des clips musicaux. Scotchés çà et là, quelques flyers tous neufs appellent les mamans à envoyer des SMS au 8566. C’est le numéro à composer pour bénéficier gratuitement des conseils médicaux de Gifted Mom. Cette start-up sociale camerounaise répond par SMS aux questions posées par les femmes enceintes. Gifted Mom les accompagne aussi en leur donnant leur date de rendez-vous pour les visites prénatales dans les hôpitaux.

Après la naissance de l’enfant, le suivi se poursuit : Gifted Mom rappelle plusieurs fois par semaine les dates de vaccination du nouveau-né, calculé de manière automatique à partir de la date et de l’heure exacte de la naissance. De l’information, et des rappels en continu, au minimum trois SMS par semaine.

10 000 utilisatrices au Cameroun
 
Cette application, créée en 2013, compte déjà près de 10 000 utilisatrices au Cameroun. Elle est considérée comme un allié technologique précieux par l’hôpital Saint-Martin-de-Porrès, l’un des premiers centres de Yaoundé à avoir noué un partenariat médical renforcé avec Gifted Mom. Et pour cause : si chaque jour, dans le monde, un peu plus de 800 femmes meurent pendant leur grossesse ou en accouchant, l’Afrique subsaharienne reste de loin la zone la plus touchée.

Mais tout ne se passe pas par SMS. Deux fois par semaine, Mekness Ijang, l’une des agents de terrain de Gifted Mom, vient rencontrer femmes enceintes et nouvelles mamans, distribue des flyers et recueille un maximum d’informations à commencer par le précieux numéro de téléphone.

00 h 30, le chef de service prend enfin place dans la grande salle d’attente. A ses côtés, sage et discrète, Mekness se tient droite comme un i. Le docteur démarre la séance de sensibilisation. Il énumère les vaccins que les nouveau-nés doivent recevoir dans l’année qui vient : « Vaccin contre l’hépatite B à la naissance, contre la poliomyélite à un mois et demi, etc. »

Absence des pères
 
Ici, le cynisme dont certains membres du corps médical avaient été accusés dans l’affaire tragique de Monique Koumaté n’est pas de mise. Le 13 mars, le Cameroun tout entier fut traumatisé par l’histoire de cette jeune maman morte au neuvième mois de sa grossesse puis éventrée par sa propre sœur qui croyait pouvoir sauver les deux bébés qu’elle portait. Une scène d’horreur aux portes de l’hôpital Laquintinie, à Douala.

Soudain le docteur décide de mettre un peu d’ambiance. Il lance un débat sur l’absence aveuglante de papas dans la salle, tout en félicitant bruyamment l’unique homme présent, venu accompagner sa petite amie enceinte de quelques mois : « Pourquoi êtes-vous venu seules ? Le père est aussi responsable de la santé de votre bébé ! ». Plusieurs femmes sourient tandis que d’autres, l’air dépité, maugréent bruyamment en reprochant à leur conjoint absent de les avoir abandonné.

Puis le docteur s’écarte et donne la parole à Mekness, venue présenter Gifted Mom. Les premières minutes sont laborieuses mais le bruit de la salle s’évapore lorsque Mekness revient sur l’histoire de Monique Koumaté.
Les infrastructures de santé manquent de tout
« Vous savez pourquoi elle est morte ? Elle a trop attendu avant d’aller à l’hôpital parce qu’elle n’avait pas d’informations. Alors pensez à votre bébé. Lorsque pendant la grossesse vous avez de la fièvre ou commencez à saigner, n’attendez pas et envoyez un SMS à Gifted Mom et nous vous diront rapidement ce qu’il faut faire ! »

A la fin de la séance, une quarantaine de femmes enceintes et de jeunes mamans laisseront à Mekness leurs numéros pour rejoindre la plate-forme. Une fois enregistrées, elles recevront leurs premiers SMS dans la soirée. Un mini filet de sécurité sanitaire dans un pays où les infrastructures de santé manquent de tout.

Les bureaux de Gifted Mom sont abrités au sein de l’incubateur d’entreprises de Polytech Yaoundé, à deux pas du CHU. Alain Nteff, le jeune entrepreneur à l’origine de la start-up sociale, dépose un nouveau prix sur l’étagère à trophées, en haut d’une armoire : « Nous rentrons de Douala où nous avons gagné le premier prix du jeune start-upper de Total » dit-il, humble et déterminé. Alain Nteff prend les concoursde start-up très au sérieux : « Un précédent prix, Anzisha, nous a rapporté 25 000 dollars, ce qui nous a permis de recruter nos développeurs. » L’année suivante, en 2015, Gifted Mom remporte 50 000 euros au New York Africa Forum de Libreville et multiplie les recrutements, près de dix personnes dont deux développeurs et un médecin à plein temps.

Un service gratuit
 
Pour le moment, les récompenses gagnées dans les compétitions africaines représentent la source principale de financement de Gifted Mom, « à hauteur de 60 % ». La start-up est en mode « bootstrapping » comme on dit dans le jargon , c’est-à-dire miser sur ses propres forces pour innover plutôt que de perdre des mois à tenter de convaincre des banques qui refuseront sans doute de risquer le moindre franc CFA.

Comment l’entreprise peut-elle tourner si le service reste gratuit pour les utilisatrices ? « Nous voulons d’abord attirer un maximum d’utilisatrices. Une fois que nous aurons atteint une masse critique, nous pourrons faire sponsoriser les SMS par des ONG et des grandes entreprises au titre de leurs politiques sociales et environnementales. Et nous rémunérer en retour, tout en maintenant le service gratuit. »
Alain anticipe déjà les prochaines grandes étapes : « 2016 doit être l’année du passage à l’échelle nationale, avec 60 000 utilisatrices enregistrées d’ici la fin de l’année. 100 000 en 2017, dont 20 000 basée dans le nord du Cameroun, où la situation est encore plus grave. On y trouve moins de centres de santé et la situation avec Boko Haram n’arrange rien. » Et après le Cameroun, le reste de l’Afrique en 2018, à commencer par le Nigeria. Avec un objectif à terme de 5 millions de femmes enceintes africaines accompagnées grâce à la technologie Gifted Mom.

L’intérêt du numérique pour améliorer la situation
 
Gifted Mom vient de signer un partenariat stratégique avec les autorités de la région du sud-ouest du Cameroun (1,2 million d’habitants), afin de travailler étroitement avec les centres de santé locaux. Plusieurs semaines après le drame de Monique, les autorités camerounaises donnent l’impression de comprendre l’intérêt du numérique pour améliorer la situation. Des partenariats similaires seront bientôt signés avec les autorités de la région du littoral, dont Douala est le chef-lieu.

Une discussion passionnée s’engage avec Alain Nteff et son équipe : est-ce le rôle des entrepreneurs de prendre le relais de gouvernements qui ignorent la santé de leurs populations en laissant dépérir les infrastructures ? N’est-ce pas une façon de les exonérer de leurs responsabilités ?
« Les mamans meurent en silence dans ce pays. Oui, les Etats africains doivent agir et les dirigeants doivent rendre des comptes. Mais, en même temps, il est aussi très important que nous, les entrepreneurs, fassions notre maximum pour contribuer à changer les choses. » Un combat qu’Alain Nteff et son équipe mènent au quotidien : « Je ne sais pas si les entrepreneurs doivent tout faire, mais ce que je sais, c’est que nous devons faire partie de la solution. »
 
 
Journal du Cameroun

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