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11:03:00 , , ,

L'Euro 2016 n'aura pas sauvé les hôteliers. D'après le bilan estival du Comité régional du tourisme de Paris Ile-de-France, la région accuse depuis début 2016 "une baisse sans précédent de la fréquentation touristique".

Il y a bien un effet "attentats" sur la destination Paris. Ce mardi, le Comité régional du tourisme (CRT) de Paris Ile-de-France publie le bilan officiel de l'activité touristique sur le 1er semestre 2016. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que les professionnels du secteur accusent le coup d'après l'enquête du CRT consultée par L'Express.  

Sur la saison estivale 2016, la région enregistre ainsi "une baisse sans précédent de la fréquentation touristique depuis 2010", -6,4% par rapport à la même période un an plus tôt (-9,9% pour la clientèle internationale, -3,5% pour les Français). "Au total, les hôteliers franciliens ont ainsi accueilli 1 million de touristes en moins par rapport au 1er semestre 2015", indique le CRT.  

1,5 milliard d'euros de manque à gagner fin 2016

Dans le détail, ce sont surtout les Japonais (-46,2% soit 126 000 personnes en moins), les Italiens (-27,7%, 115 000 personnes) et les Chinois (-19,6%, 100 000 personnes) qui constituent les plus gros bataillons manquants. Conséquences, depuis le début de l'année, les professionnels du tourisme parisiens et franciliens accusent une perte de chiffre d'affaires de 750 millions d'euros selon les calculs du CRT (arrêtés à fin juin) qui s'appuie sur un "dispositif permanent d'enquêtes dans les aéroports, dans les trains et sur la route pour chiffrer l'impact économique".  

Et les projections ne sont pas bonnes. Le secteur pourrait ainsi perdre "1 milliard d'euros à fin août et si les tendances se poursuivent, on sera à 1,5 milliard d'euros à la fin de l'année", explique à L'Express le CRT. Seule éclaircie au tableau, où l'effet Euro 2016 aura donc été limité, le tourisme d'affaires est en progression par rapport à l'année dernière (+14,4% soit 3,1 millions de nuitées).  

L'Express


Après deux ans avec le titre de plus grosse économie du continent, le Nigéria perd son statut au profit de l’Afrique du Sud. L'explication ne réside pas dans la récession que traverse le pays, mais elle pourrait en être une conséquence indirecte. 


Au moment où l’actualité sud-africaine est marquée par le recul historique de l’ANC lors des élections municipales, voilà une nouvelle qui changera l’humeur de Jacob Zuma. En effet, l’Afrique du Sud a retrouvé sa place grâce à un simple calcul du PIB, après la chute du Naira.Le PIB de chaque pays est calculé d’abord dans la monnaie locale avant d’être exprimé en dollar afin de facilité la comparaison entre les différentes économies.

Dépréciation du naira

Alors que le rand s’est apprécié par rapport au dollar, le naira a chuté de plus de 30% au cours des derniers mois, nous explique l’émission BBC Africa Business Report que diffuse la chaîne éponyme. Selon Matthew Davies, expert consultant de BBC, qui s’appuie sur les dernières données du FMI disponibles, le PIB 2015 du Nigeria exprimé en dollars de 2016 est donc 296 milliards. Au même moment, l’Afrique du Sud dispose d’un produit intérieur brut de 301 milliards de dollars, soit 5 petits milliards de plus. Techniquement, ce changement redonne à l’Afrique du Sud son statut perdu en 2014.

Changement de méthode de calcul en 2014

Il faut rappeler qu’en 2014, c’est un simple changement dans les méthodes de calcul du PIB qui avait permis au Nigéria de ravir à l’Afrique cette première place. Car, les pays effectuent un réajustement de leurs méthodes statistiques tous les trois ans. Mais le Nigéria est resté 24 ans, de 1990 à 2014, sans jamais toucher aux siennes. Du coup, les secteurs comme les télécommunications, les services, le cinéma, l’industrie culturelle ont vu leur valeur ajoutée réelle s’accroître sensiblement en 2014, sans que les précédents calcul ne l'aient intégré. C’est ce qui avait permis au Nigeria d’afficher un PIB de près de 500 milliards de dollars, alors qu'il tournait à moins de 300 milliards.

Deux pays en difficultés

Il convient néanmoins de rappeler que les deux économies connaissent de sérieuses difficultés, même si la monnaie sud-africaine ne s’est pas dépréciée. La Banque centrale sud-africaine prévoit une stagnation de la production du pays, alors que le FMI estime que le Nigéria connaitra un recul de 1,8% de son PIB en 2016. Le Nigéria souffre surtout d’une forte baisse de sa production d’hydrocarbures du fait de sabotages opérés par un groupe de rebelles dans le Delta du Niger sur les installations pétrolières. De plus, en tant que premier pays exportateur de pétrole du continent, la chute des cours ne l'a pas beaucoup aidé. 


Le360

Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian,  a signé mardi 9 août à Koweït City le contrat d'achat par le Koweit de 30 hélicoptères français Caracal, pour plus d'un milliard d'euros, annoncé en 2015, a indiqué le ministère de la Défense.


L'achat de ces trente appareils (24 destinés à l'armée koweitienne, 6 à la garde nationale) fait partie d'accords commerciaux signés entre les deux pays en octobre 2015, pour un montant total de 2,5 milliards d'euros. En attendant peut-être des Rafale dans les prochains mois...

"Par cette décision, le Koweït renforce encore le partenariat stratégique qui lie nos deux pays depuis plusieurs décennies alors que nous sommes aujourd'hui engagés côte à côte dans la lutte contre Daech (acronyme du groupe Etat islamique, ndlr) en Irak et en Syrie", a déclaré Jean-Yves Le Drian, cité dans un communiqué. Le partenariat en question a été noué après la guerre du Golfe au début des années 90.

Selon La Tribune, la signature formelle de ce contrat est une bouffée d'oxygène pour les usines d'Airbus Helicopters (ex-Eurocopter). "Ce contrat est primordial pour assurer les charges de travail de 2016 et des deux années suivantes du constructeur de Marignane", écrivait en avril le site spécialisé en économie qui évoquait alors la levée du dernier obstacle administratif au contrat.

Ces appareils sont conçus spécialement pour les missions de sauvetage au combat et de transport de troupes sur longue distance. Ils sont dotés d’un système de blindage et d’autoprotection comprenant la détection radar des missiles. Dans son armement, également discuté avec les autorités koweïtiennes, figurent des missiles air-sol et air-mer.

L’armée française possède dix-neuf appareils de ce type, utilisés notamment par les forces spéciales. Des discussions (difficiles) sont toujours avec la Pologne pour un contrat qui porte sur 50 hélicoptères Caracal. Mais le gouvernement conservateur en place depuis fin 2015 n'est plus aussi sûr du choix fait par son prédécesseur libéral et il pourrait finalement se porter sur les concurrents Lockheed Martin (Etats-Unis) et Agusta-Westland (Italie/Grande-Bretagne).



Un investissement de 4 milliards FCFA pour des ordinateurs «made in Côte d’Ivoire». C’est le fruit de la joint-venture entre le VITIB, le village des technologies de l’information et de la biotechnologie – entité qui gère la zone franche du même nom dédiée aux NTIC à Grand Bassam – et le groupe Cerco pour la construction d’une unité de montage d’appareils informatiques.


Sous la marque OPEN, des ordinateurs, des smartphones, des tablettes seront produits dans la nouvelle installation qui sera bâtie au sein du VITIB. Selon les termes de la convention de partenariat signée ce 29 juillet, le groupe Cerco s’engage à construire le bâtiment devant abriter les équipements en vue de l’exploitation de l’unité de montage et partager les profits de l’exploitation avec le VITIB. Aussi, ce sont 1,4 milliard de francs pour le VITIB et 2,6 milliards pour le groupe Cerco, qui ont été mobilisés.

Financial Afrik



Selon l’édition 2014-2015 du rapport mondial sur la compétitivité, le gouvernement rwandais se classe au 7ème rang en ce qui concerne l’efficacité dans la gestion publique. 



Ce pays se retrouve ainsi devant des nations comme la Suisse (9ème) ou le Luxembourg (10ème). Selon le World Economic Forum (WEF) qui a publié ce rapport, le classement du Rwanda s’explique en grande partie par le niveau de gaspillage très bas en ce qui concerne les dépenses gouvernementales.
 
«Nous ne sommes pas supris par ce classement parce qu’il ne fait qu’exprimer la réalité ce qui se passe chez nous. Au Rwanda, il y a un processus compréhensible en ce qui concerne la gestion et la reddition de compte, en particulier dans l’usage des ressources publiques»  a déclaré Anastase Shyaka qui dirige le conseil rwandais de la gouvernance (RGB). Les Rwandais ont accès à des informations cruciales en ce qui concerne l’action gouvernementale, les décisions de l’exécutif et la façon dont celui-ci établit ses priorités et fait ses choix a-t-il confié à Xinhua.

En Afrique le Rwanda est suivi par l’île Maurice qui se classe (26ème) et l’Afrique du Sud (32ème). Dans l’est du continent, il se classe très loin devant le Kenya qui vient en 51ème position ou l’Ouganda (79ème).

Le rapport, qui évalue le niveau d’efficacité de la gouvernance de 144 pays du monde sur la base de critère comme le gaspillage des ressources, les obstacles à la régulation et la transparence dans l’élaboration des politiques nationales. 

Au niveau international, le WEF a étonnament classé le Qatar en premier, devant Singapour et la Finlande. 

Agence Ecofin



Le milliardaire nigérian Aliko Dangote a vu sa fortune fondre de 3,7 milliards de dollars durant la seule journée du lundi 20 juin, en raison de la chute brutale du naira provoquée par l'abandon de la politique du taux de changes fixe de la monnaie nationale nigériane vis-à-vis du dollar américain.



L'homme le plus riche d'Afrique a ainsi perdu 25 places dans le classement mondial des milliardaires établi par Bloomberg, passant du 46è rang vendredi au 71è rang lundi.

La fortune de M. Dangote, qui est estimée actuellement à 12,7 milliards de dollars, provient à hauteur de 91% de sa participation dans Dangote Cement. Le naira a plongé lundi de près de 30% face au dollar, après la décision du gouvernement de laisser flotter la devise après des mois de taux fixe.

Le Nigeria subit de plein fouet la chute des prix du pétrole sur le marché international. Le PIB de ce pays, qui tire 70% de ses revenus et environ 90% de ses recettes en devises des exportations de l'or noir, s'est en effet contracté de 0,36% au premier trimestre 2016, ce qui représente la pire performance de l'économie nigériane depuis le milieu des années 1990.

Pour soutenir la monnaie nationale, les autorités nigérianes avaient décidé en mars 2015 de maintenir le taux de change officiel à 197-199 nairas pour un dollar, le président Muhammadu Buhari considérant jusque-là qu'une dévaluation «tuerait» le naira.

All Africa


Le milliardaire américain Bill Gates a annoncé le lancement d'un programme à grande échelle pour le développement de l'aviculture en Afrique subsaharienne.


Dans le cadre de ce programme, il fournira 100.000 poulets aux pays de la région, rapporte la BBC.

L'objectif du projet est d'apporter une aide aux 30% de ménages ruraux en Afrique subsaharienne pour commencer à élever des poulets vaccinés et en bonne santé.

Cela peut sembler drôle, mais j'aime vraiment cette idée d'élevage des poulets", a déclaré M.Gates.

Selon les calculs du milliardaire, le propriétaire de cinq poulets peut faire passer leur nombre à 40 en trois mois. Dans ce cas, le revenu annuel d'un agriculteur dépasserait 1.000 dollars, alors que le seuil de pauvreté s'élève à 700 dollars par an.

En cas de succès, le projet permettrait de résoudre, au moins en partie, les problèmes de la faim et de la pauvreté.

Selon un rapport publié par l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) en 2015, l'Afrique subsaharienne est la région avec la plus forte proportion de personnes sous-alimentées dans le monde. Un quart de la population souffre d'une faim chronique. 24 pays africains sont actuellement confrontés à des crises alimentaires. A titre de comparaison, il y avait deux fois moins de pays dans ce cas en 1990.


Sputnik

Le chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba, a inauguré jeudi l’usine de production de ciments (CIMAF Gabon) dans la commune d’Owendo.

La cérémonie a eu lieu en présence du Premier ministre, des membres de son gouvernement, de la mairesse d’Owendo et du président directeur général du groupe Ciments de l’Afrique (CIMAF), le Chef de l’Etat a lancé officiellement les activités de ce centre de broyage et d’ensachage de ciment.




« Ceci est un autre témoignage des réalisations que nous voyons s’accomplir au fur et à mesure dans le cadre du Gabon industriel. Et nous sommes heureux que l’inauguration de ce jour soit en compagnie de nos frères marocains qui ont pris sur eux de venir investir dans notre pays.» a déclaré le Chef de l’Etat.


Construite grâce à un investissement de 35 millions d’euros du groupe marocain CIMAF, l’usine d’Owendo, dont la première pierre avait été posée par le Chef de l’Etat en juin 2013, a une capacité de production de 500 mille tonnes de ciments par an extensible à 1 million destinée à couvrir les besoins en ciment au niveau local avec comme objectif la couverture des besoins en ciment de tout le marché gabonais y compris à l’intérieur du pays.


« Nous sommes un pays en développement où la construction prend une part importante aussi bien dans les gros projets industriels que dans les projets d’infrastructures tels que les ponts, routes, barrages et ça concerne aussi le citoyen et c’est donc la réponse à tous ces besoins. » a conclu le Président de la République.


Par ailleurs, l’implantation de l’usine CIMAF au Gabon a permis la création de 200 postes dont 196 sont occupés par des Gabonais qui ont également bénéficié « d’un ambitieux programme de formation et de transfert de technologie dans les usines du groupe au Maroc » avant de revenir et de démarrer les activités de CIMAF Gabon.

Le Chef de l’Etat s’est aussi félicité de l’excellence des relations entre le Gabon et le Maroc et plaidé pour un renforcement de la coopération sud-sud.

GabonActu 

18:58:00 , ,

« Nous avons la possibilité de frapper notre monnaie comme nous voulons. Le Franc CFA aujourd’hui c’est du papier. En deux ans, ça devient du chiffon, on peut même pas l’utiliser », estime le chef de l’Etat tchadien, Idriss Déby.

L’Afrique ne peut pas évoluer avec la monnaie Franc CFA. Le Président tchadien Idriss Déby est formel et l’a clairement fait savoir ce mardi, lors d’une conférence de presse à Abéché, deuxième plus grande ville duTchad où était célébré le 55ème anniversaire de l’Indépendance.« Les relations entre le Tchad et la France sont des relations historiques et anciennes. Le premier Président François Tombalbaye, le 11 août à 00h, a déclaré haut et fort : Le Tchad est indépendant et souverain. Cela a été applaudit. On ne peut pas négativer totalement les relations que nous avons avec la France, mais nous ne pourrons pas continuer le système France-Afrique ou le système paternaliste qui est dépassé, que les français eux-mêmes n’aiment pas. Les africains, c’est nous qui courrons derrière, à qui vous voulez donner la faute ? », a souligné le dirigeant tchadien.

« C’est une décision courageuse que nos amis français doivent prendre »

Le Franc CFA est une monnaie garantie par le trésor français qui n’est pas convertible avec les autres devises internationales.

Pour Idriss Déby, « il y a aujourd’hui le FCFA qui est garantit par le trésor français. Mais cette monnaie là, elle est africaine. C’est notre monnaie à nous. Il faut maintenant que réellement dans les faits, que cette monnaie soit la nôtre pour que nous puissions, le moment venu, faire de cette monnaie une monnaie convertible et une monnaie qui permet à tous ces pays qui utilisent encore le FCFA de se développer. Je crois que c’est une décision courageuse que nos amis français doivent prendre ».
Déby appelle à revoir avec la France « les clauses » qui tirent l’économie de l’Afrique

« L’Afrique, la sous-région, les pays africains francophones aussi, ce que j’appelle aujourd’hui la coopération monétaire avec la France, il y des clauses qui sont dépassés, ces clauses là, il faudra revoir, dans l’intérêt de l’Afrique, et dans l’intérêt aussi de la France. Ces clauses tirent l’économie de l’Afrique, ces clauses ne permettront pas à l’Afrique avec cette monnaie là de se développer. On a pas besoin de chercher de midi à 14 heures. Nous allons continuer à coeur l’amitié sincère avec la France. Mais il faudra avoir le courage de dire que le moment est venu de couper un cordon qui empêche à l’Afrique de décoller », a expliqué Déby. Et d’ajouter que « ce n’est pas une question cadeau. Aucun chef d’Etat, aucun ministre, aucun africain ne doit faire de cette question là une question cadeau. On se pose la question, si c’est notre monnaie. Pourquoi cette monnaie n’est pas convertible. Pourquoi tous les échanges passent par la Banque centrale de la France. Qu’est ce que nous gagnons en mettant nos ressources dans des comptes d’opérations ? Quel est le taux d’intérêt que nous gagnons ? »
L’Afrique doit « frapper sa propre monnaie »

« Nous avons la possibilité de frapper notre monnaie comme nous voulons. Le Franc CFA aujourd’hui c’est du papier. En deux ans, ça devient du chiffon, on peut même pas l’utiliser. Ça coûte cher pour frapper une monnaie, l’Afrique, les pays qui sont concernés doivent avoir la possibilité de faire un appel d’offre au meilleur offrant à qui l’on doit s’adresser pour frapper notre monnaie et cette monnaie doit être large sur toutes ses formes. Cette question n’est pas un tabou. Celui qui veut faire de cette question un tabou va tuer l’Afrique et demain on va être condamné par les générations futures », a conclut à ce sujet le Président de la République.

Alwihda Info

 
Le diamant baptisé "The Constellation" est désormais le plus cher du monde après avoir été vendu aux enchères pour 63 millions de dollars (55 millions d'euros).

Un prix pharaonique et un record... provisoire. Le diamant brut "Constellation", pierre de 813 carats mise en vente par la société minière Lucara Diamond, a été cédée pour pas moins de 63 millions de dollars (l'équivalent de 55 millions d'euros), à un négociant de diamants bruts basé à Dubaï. Découverte en 2015 dans une mine de diamants au Botswana, le Constellation devient ainsi le plus cher du monde. Mais pour combien de temps ?

Record à nouveau battu en juin ?

Car ce même gisement avait peu après révélé la présence d'un autre diamant brut hors nome, le deuxième plus gros de tous les temps. D'un poids de 1 109 carats, la pierre nommée "Lesedi la Rona", qui approche la taille d'une balle de tennis, sera à son tour mise aux enchères le 29 juin. En se basant sur le prix moyen au carat atteint par "Constellation", "Lesedi la Rona" pourrait pulvériser le record battu ce lundi. Le gros caillou pourrait ainsi trouver preneur aux alentours de 86 millions de dollars (75,5 millions d'euros).

 

14:08:00 ,
 

Très bel hôtel première main entièrement meublé situé à la sablière à vendre. 47 chambres, 8 duplex,grande cour avec piscine. Titre foncier.
Prix: 3.500.000.000 FCFA (Trois milliards cinq cent millions FCFA ) à débattre.

  Détaildu Bien


  • Prix: 3,500,000,000 FCFA /à débattre
  • Ville: Libreville
  • Zone géographique: Sablière
  • Pays: Gabon

 Caractéristiques du Bien 


yesSplit                                             yesPlacard
yesParking                                        yesTitre Foncier
yesCour derrière                               yesCour avant
yesBarrière                                       yesBalcon
yesconcierge                                    yesGardien
yesChauffe eau                                 yesSalle de fête
yesLoge Gardien
  


Immobilier Du Gabon


‘’Le sous-sol camerounais est un scandale géologique’’ c’est ce qu’affirmait le ministre camerounais de l’Industrie, des Mines et du Développement Technologique. Avec plus de 60% de son sous-sol inexploré, le Cameroun découvre de jours en jours son potentiel réel en termes de ressources énergétiques et minières.

540 millions de m3, c’est le potentiel du calcaire découvert à Mintom dans le sud du Cameroun potentiellement exploitable pendant près de 50 ans.

En Septembre 2010, selon le quotidien Le jour une équipe d’une vingtaine de chercheurs camerounais, conduite par le directeur de l’Institut de recherches géologiques et minières (Irgm), le Dr Joseph Victor Hell et le Dr Bassahak Jean, chef de projet, après deux ans de recherche va révéler au public l’existence d’un important gisement de calcaire à Mintom dans la région du Sud.

L’équipe du Dr Hell va poursuivre les travaux pour «permettre de connaître la fluctuation de la nappe phréatique autour de la retenue et de la boucle du Dja, le débit du Dja entre les localités de Nkoldja et Bi et le comportement des eaux d’infiltration. L’exécution d’au moins deux sondages carottés dans la zone pour déterminer avec précision la quantité de calcaire disponible. Les travaux de topographie à grande échelle dans la zone de retenue et des essais d’abattage et de fabrication de ciment» disait-il.

Les réserves découvertes sur ce site s’étendent sur 250 km2, avec un espace disponible pour l’exploitation de cette matière première à ciel ouvert de 9km2.

L’information définitive sera rendue publique devant les chefs d’entreprises  du Gicam, c’était Mercredi dernier. D’âpres le quotidien de l’économie présent dans la salle citant le Dr Hell,grâce aux réserves de calcaires découvertes dans la localité de Mintom, dans la partie sud-est du pays (région du Sud), non loin du site abritant les gisements de fer de Mbalam, l’on pourrait vendre le sac de ciment de 50 kg à 2600 FCFA au Cameroun, contre 4800 FCFA actuellement.

Le Calcaire est la matière première principale qui entre dans la fabrication du ciment et la sculpture.

Cameroon Liberty


Photo: Une vue de Kasumbalesa

Les autorités zambiennes ont donné, vendredi 3 juin, un ultimatum de douze jours aux 4500 petits commerçants congolais, qui œuvrent en Zambie, de régulariser leurs dossiers. Ces commerçants exercent à la frontière avec Kasumbalesa, étalant leurs marchandises le long de la grand-route reliant le poste douanier zambien et la ville de Chililabombwe (Zambie).

Ces petits commerçants ne payent aucune taxe à l’Etat zambien  et détruisent l’environnement, se plaignent les responsables zambiens.


Mme  Solange Tshiloz, présidente de la société civile de Kasumbalesa, interpelle les autorités congolaises : « S’ils veulent vendre en Zambie, qu’ils soient en ordre avec les papiers zambiens. Il y a le permis d’exploitation, il y a le visa. Ces commerçants utilisent le francs congolais comme monnaie, ça ne plait pas au gouvernement zambien. Sur le plan sanitaire il n’y a pas des toilettes. Nous lançons un cri d’alarme au Gouvernement, pour qu’il puisse accompagner cette activité ; parce que sensibiliser 4.500 personnes en 12 jours, ce n’est pas une mince affaire.»

Huit cent commerçants ont été  identifiés vendredi 3 juin par la société civile de Kasumbalesa et l’association des commerçants transfrontaliers. Ces deux  structures, appuyées par les délégués zambiens, sensibilisent ces Congolais à se mettre en règle.

Le poste frontalier de Kasumbalesa se trouve dans le territoire de Sakania. L’administrateur assistant de ce territoire plaide pour qu’on «évite à ces compatriotes le refoulement.»
Radio Okapi

Un foyer de grippe aviaire H5N1 a été identifié dans le plus grand complexe avicole de Yaoundé.

Le virus a déjà causé la mort de 15.000 volailles sur les 33.000 que comptait le complexe avicole de Mvog Betsi, d’après la radio du service public. Selon les résultats du laboratoire national vétérinaire, cette forte mortalité des volailles a été enregistrée entre le 20 et le 23 mai dernier. 

Pour éviter une propagation du virus H5N1, les volailles mortes ont été incinérées et le reste du cheptel a été abattu. L’accès à cette zone infectée est à présent interdit.
En prévention d’une éventuelle contamination humaine, les autorités assurent que le traitement des personnes contaminées sera gratuit. Pour l’heure, un seul foyer a été décélé et des dispositions sont en cours pour éviter une propagation du virus, rassurent les autorités. Le virus H5N1 était déjà apparu en 2006 dans deux régions septentrionales du Cameroun.

AfricaNews.

13:22:00 ,

Selon un rapport publié par l'Organisation des Nations-Unies pour l’Habitat (UN Habitat), les villes africaines du Caire, Lagos et Kinshasa, figurent dans la liste des 29 villes qualifiées aujourd'hui de méga-cités. Par ces dernières, il faut entendre des agglomérations urbaines qui concentrent plus de 10 millions d'habitants. 

De ce point de vue, la capitale égyptienne (Le Caire) est la ville la plus peuplée d'Afrique avec 18,8 millions d'habitants. Elle occupe le neuvième rang mondial, juste devant New-York, la capitale américaine des affaires.

Avec ses 13,1 millions d'habitants, la plus grande ville du Nigéria, première économie d'Afrique par le Produit Intérieur Brut (Lagos), est la deuxième ville la plus peuplée d'Afrique et elle occupe la 17ème place mondiale, devant des villes comme Sao Polo au Brésil et Manille au Philippines, qui sont des pays aux niveaux de développement plus ou moins similaires.
Kinshasa, la capitale de la République Démocratique du Congo occupe la troisième place africaine, et la 23ème mondiale, avec ses 11,6 millions d'habitants. 

Johannesburg, la capitale économique sud-africaine devrait rentrer dans ce groupe très bientôt avec une population projetée à 11 millions d'habitants d'ici 2020.

Plus globalement, le nombre de méga-cités a fortement progressé ces dernières années, passant de 14 en 1995 à 29 en 2015. 79% d'entre elles se retrouvent dans les pays en développement. Si cette situation constitue une opportunité en termes de potentiels de marché, pour les villes africaines, particulièrement, la forte croissance urbaine est la conséquence de l'exode rural ou de la fuite des conflits, qui vident les zones rurales de populations parfois peu formées, et qui aspirent à trouver un emploi dans les grandes villes.

La conséquence en est que la demande en services sociaux (eau, énergie et services de santé) et logements abordables explose dans ces villes, qui ne sont pas toujours préparées à accueillir un tel nombre d’habitants. Par ailleurs face à la modicité des moyens, les bidonvilles continuent de progresser affichant au grand jour de profondes inégalités. Le rapport estime qu'il y a aujourd'hui plus de personnes vivant dans les bidonvilles qu'au cours des 20 dernières années.

Agence Ecofin


L'Egypte a dépassé l'Afrique du Sud et est devenue la seconde plus grande économie d'Afrique, a annoncé le Fonds monétaire international (FMI) dans son dernier rapport sur les Perspectives de l'économie mondiale. 

L'Egypte a dépassé l'Afrique du Sud et est devenue la seconde plus grande économie d'Afrique, a annoncé le Fonds monétaire international (FMI) dans son dernier rapport sur les Perspectives de l'économie mondiale.
 
Le FMI a indiqué que l'Afrique du Sud a été dépassée par l'Egypte à cause de la dépréciation de sa monnaie, le rand.
 
Le FMI a également prévu que la croissance de l'économie sud-africaine n'atteindrait que 0,6% cette année, soit un taux encore plus bas que les 0,9% prévus par le gouvernement sud-africain. 

L'organisation mondiale a ainsi fait savoir que l'Afrique du Sud est maintenant la troisième plus grande économie d'Afrique derrière le Nigéria et l'Egypte.
 
Selon le FMI, la valeur nominale en dollar du PIB égyptien a elle augmenté en moyenne de 7,5% sur la période 2012-2015. La dépréciation de la livre égyptienne sur cette période a été beaucoup plus lente que celle du rand sud-africain.
 
Depuis 2011, la Banque centrale égyptienne (BCE) a étroitement géré la livre égyptienne, résultant en une dépréciation plus modérée que celle de la monnaie sud-africaine, qui flotte librement sur les marchés. Cela a ainsi permis au PIB égyptien d'éclipser celui de l'Afrique du Sud en 2015. 

allafrica

Placée sous le haut patronage du président Paul Biya, la  Conférence économique internationale de deux jours qui s’ouvre le mardi 17 mai 2016 à Yaoundé  est un rendez-vous inédit entre investisseurs et  acteurs  opérationnels et  une importante opportunité  d’affaires et d’investissements à multiplier.

Sous le thème «  Investir au Cameroun, terre d’attractivités», la  Conférence économique internationale qui va se dérouler du mardi 17 mai 2016 au mercredi 18 mai 2016 à Yaoundé  est un rendez-vous inédit et exceptionnel. Ce cadre de réflexions, d’échanges et de partages d’expériences  entre universitaires, industriels,  décideurs et financiers  rassemblera  au Palais des Congrès de Yaoundé et à l’hôtel Hilton de Yaoundé des participants de renom venus du monde politique, des milieux diplomatiques , des milieux d’affaires et de la haute finance internationale.  Des investisseurs et  des acteurs opérationnels devront  aussi débattre des projets prioritaires au cours  de cette importante opportunité  d’affaires et d’investissements à multiplier.

Une plaque tournante de diplomatie  économique

Les enjeux de ce cette économique internationale de Yaoundé  sont au moins de trois ordres. Ils sont  diplomatiques, financiers, économiques et commerciaux. Sur le plan diplomatique, la  Conférence économique internationale veut faire de Yaoundé une plaque tournante de diplomatie  économique. Parmi les plus de 500 participants annoncés à cette conférence économique internationale figurent  des intellectuels camerounais, africains  et étrangers ;  d’actuels et d’anciens représentants des institutions de développement en Afrique  et dans le monde.  Ainsi que des investisseurs, des grands chefs d’entreprises nationales et internationales et des financiers. L’ancien président de la banque africaine de développement (Bad) Donald Kaberuka sera par exemple de la partie.

Divers  responsables de la Communauté économique et monétaire  de l’Afrique centrale (Cemac), du Fonds monétaire international  (Fmi),  de la Banque mondiale (Bm), de l’Organisation mondiale du commerce (Omc), de la Banque des Etats  de l’Afrique centrale (Beac) seront aussi présents à cette rencontre où les échanges et le partage d’expérience, à travers  des tables rondes et des ateliers, seront forts utiles pour prendre  des mesures décisives pour le développement du Cameroun.  Sur le plan financier, la  Conférence économique internationale veut faire de Yaoundé un carrefour des affaires. Un rendez-vous qui peut avoir une périodicité bien déterminée.


Susciter l’attractivité  financière du pays

Le  poumon économique et grenier de l’Afrique centrale  a,  là, l’occasion d’évaluer et d’améliorer son climat des affaires et  les conditions d’investissement au Cameroun. Pays le plus peuplé  de la zone Cemac, le Cameroun   peut susciter l’attractivité  financière du pays en présentant des acquis à consolider dans le secteur des  activités liées à la banque, à la monnaie et aux finances.

Cette grande conférence est aussi une occasion de procéder à des échanges en vue de mobiliser des fonds pour des grands projets  de développement. Il s’agit par ailleurs de passer aux cribles les piliers de la vision du Cameroun qui aspire qui aspire à devenir  un pays émergent à l’horizon 2035.   Des experts des pays émergents font partie  des  invités  de  cette conférence économique.

Sur les plans économiques et commerciaux, la  Conférence économique internationale  veut faire de Yaoundé une  destination et un bon risque pour les investisseurs étrangers. C’est un  cadre approprié  pour réfléchir sur les moyens rendre l’économie du pays compétitive et envisager sérieusement la diversification de l’économie du Cameroun. Il s’agit aussi de créer un environnement propice à la conclusion d’accords et de partenariats entre des entreprises nationales et étrangères.

Le Cameroun a renforcé sa coopération économique et commerciale  avec le Nigeria  en signant récemment  à Abuja un accord sur le commerce lors de la visite d’Etat effectuée par  Paul Biya à Abuja les 3 et 4 mai 2016. Le Cameroun peut booster son économie et son commerce avec dans son voisinage un vaste marché  potentiel  de 300 millions de consommateurs lorsqu’ on prend en considération  la République démocratique du Congo et le soudan.

Camer.be

«Mugabe veut nous faire souffrir» ont écrit des Zimbabwéens à côté de dollars locaux. ALEXANDER JOE / AFP

Des billets qui n'ont aucune valeur monétaire.  

Le passage de l'ancien dollar zimbabwéen au dollar américain, officiellement adopté comme nouvelle monnaie du pays, a été bien plus brutale question calcul mental que le passage de l'ancien au nouveau franc en France en 1958. Après des années d'hyper-inflation, la valeur du dollar zimbabwéen avait atteint un sommet de ridicule en septembre 2015, date à laquelle il fallait 500 milliards zimbabwéens pour un centime de dollar américain, comme nous le racontions sur Slate Afrique.
Après des années d'une crise économique provoquée en grande partie à cause de la désastreuse politique du dictateur octogénaire Robert Mugabe, les prix étaient actualisés plusieurs fois par jour dans les commerces zimbabwéens à cause de l'inflation. Et les habitants devaient se déplacer avec des brouettes remplies de billets pour acheter du riz, de l'eau, des cigarettes... Depuis plusieurs mois, les achats se faisaient officieusement en rand, la monnaie sud-africaine, en dollars américains et en yuan chinois dans tous les compartiments de l'économie locale.

Le gouverneur de la Banque centrale du Zimbabwe a officialisé jeudi 5 mai dans un discours, l'impression de billets de 2, 5, 10 et 20 dollars, qui auront la même valeur que leurs cousins américains. Comme le rapporte le site d'informations Quartz, des billets seront imprimés lors des deux prochains mois pour une valeur totale de 200 millions de dollars.

Reste à savoir si cela sera suffisant pour sauver le pays de la banqueroute. Le Zimbabwe n'a pas consulté les Etats-Unis concernant cette décision, et il n'y a que la Réserve fédérale américaine qui a le droit d'imprimer les billets verts. Un dollars imprimé ailleurs qu'aux Etats-Unis n'a donc aucune valeur monétaire.
«C'est une monnaie zombie, fabriquée à partir de rien», confie un épicier qui vend des canettes et du maïs à Harare, la capitale du pays, au média sud-africain Mail&Guardian. «Si mes clients me payent avec cette monnaie stupide, comme je vais pouvoir payer mes fournisseurs de l'autre côté de la frontière?».
Pour certains experts économiques, l'avenir de ce dollar local semble bouché.
«De bons connaisseurs du pays disent que les nouveaux billets ne seront probablement pas bien reçus par les habitants. Le Zimbabwe a introduit des pièces de 1 à 50 centimes en dollars américains en 2014, pour lutter contre le manque de petite monnaie. Mais peu de Zimbabwéens les ont utilisé, de peur que le gouvernement ne retire sa monnaie sans valeur qui a ruiné pour beaucoup les économies de toute une vie», rapporte Quartz.
Le principal parti d'opposition zimbabwéen a lui déclaré que cette nouvelle monnaie allait «plonger de nouveau le pays dans une ère d'hyperinflation».

Slate Afrique



Les principaux dirigeants régionaux et mondiaux des affaires, les gouvernements et les représentants de la société civile, se sont donnés rendez-vous à KIGALI pour la 26ième édition du Forum Économique Mondial (WEF), du 11 au 13 mai prochain. Lors de cette rencontre, il sera essentiellement question des catalyseurs de l'économie numérique capable de conduire la transformation structurelle, ainsi que des actions stratégiques sous le thème « Connecter les ressources de l'Afrique grâce à la transformation numérique ».

Le Forum mettra l'accent en particulier sur le rôle des TIC dans les changements structurels de l'Afrique, dans l'optique d'un seul et unique marché.

« Un grand contingent de personnalités publiques, de chefs d'entreprises, d'entrepreneurs, de jeunes dirigeants et militants apporteront des idées et de l'énergie pour des solutions qui façonneront l'avenir de l'Afrique », a déclaré Elsie S. KANZA, Directrice pour l'Afrique du « World Economic Forum ».

Les experts estiment qu'il est nécessaire de développer considérablement le secteur du numérique sur le continent Africain, où la pénétration de l'Internet est encore limitée.

Seront également à l'ordre du jour, les partenariats innovants susceptibles d'accélérer la réalisation des objectifs de développement durable et d'accès à l'énergie du continent. Les experts se pencheront aussi sur le développement des infrastructures économiques et sociales en identifiant de nouvelles formes de financement ou des solutions pour optimiser les procédures existantes.

Le choix de Kigali pour accueillir ce Forum Economique Mondial, n'est évidemment pas anodin puisque le Rwanda a radicalement transformé son économie, émergeant comme un hub high-tech régional qui possède l'un des plus rapides taux de croissance du PIB d'l'Afrique. Son économie est devenue l'une des plus compétitives du continent dans un environnement des affaires qui a été primé par la Banque Mondiale dans son rapport « Doing Business - 2015».

Le Rwanda possède également d'autres atouts considérables qui facilitent l'organisation de tels évènements internationaux. Ce sont notamment la totale sécurité pour les biens et les personnes, la qualité des infrastructures, sans oublier le secteur hôtelier qui peut offrir des établissements de classe internationale. Au cours des deux dernières années, KIGALI a accueilli plusieurs réunions et conférences de prestige telles que la réunion panafricaine de la Banque Africaine de Développement (BAD), le « Tranform Africa Summit » ainsi que l'Assemblée Générale d'Interpol. La liste ne s'arrête pas là, puisque L'agenda international prévoit à Kigali le prochain « Forum sur l'Investissement en Afrique pour le secteur hôtelier » et- surtout, comme une consécration naturelle la tenue du « Sommet de l'Union Africaine ».


Source: KT Press

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