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Donald Trump, l’ancien président des Etats Unis d'Amérique, muselé et privé d'espace pour s'exprimer pour les géants du secteur des réseaux sociaux depuis l’attaque du Capitole le 6 janvier dernier, a décidé de créer son propre réseau social. 


Puisque les géants de la technologie ne veulent pas de lui, Donald Trump veut entrer en concurrence avec eux. Son groupe Trump Media and Technology Group va fusionner avec Digital World Acquisition, une entreprise cotée au Nasdaq, la bourse des valeurs technologiques.

Le but claironné est de créer un rival au consortium des médias libéraux et riposter aux grandes compagnies technologiques. Donald Trump annonce que cette entreprise va lancer un nouveau réseau social, Truth Social, « la vérité sociale ». Il sera disponible en version bêta en novembre puis pour tous au premier trimestre 2022.





Des incursions sans surprise dans le monde de la technologie

Truth Social est annoncé déjà disponible en précommande dans la boutique d’applications d’Apple. Étrange quand on veut s’attaquer de front aux géants de la technologie et quand on connait les conditions très strictes posées par la firme à la pomme pour distribuer des applications, notamment en ce qui concerne les contenus violents.

Le lancement de ce réseau social est annoncé depuis longtemps, mais depuis qu’il a été banni des plateformes, les incursions de Donald Trump dans le monde de la technologie n’ont pas vraiment impressionné. Son nouveau site internet lancé en mai dernier a été un flop et il y a quelques jours, il a même été brièvement piraté pour afficher du contenu favorable au président turc Recep Tayyip Erdogan. 


Source: RFI




A 19 ans, Austin Harrouff est accusé du meurtre d’un couple avant d’avoir mangé l’une de ses victimes. Surnommé “Le cannibale de Floride”, le jeune homme a fait quelques déclarations troublantes: “Tuez-moi, je mérite de mourir”, répètait-il quelques heures après son arrestation. 


Quand il a été interpellé par la police en août dernier, Austin Harrouff était en train de manger l’estomac et le visage d’une de ses victimes. Il venait de tuer deux personnes et prétendait avoir ingurgité des produits toxiques dans la foulée.

Emmené aux urgences, il a expliqué ses gestes macabres aux enquêteurs. “Tuez-moi maintenant, je mérite de mourir”, a-t-il déclaré d’après le Palm Beach Post. “Aidez-moi, j’ai mangé quelque chose de mauvais.” Quand on lui a demandé ce qu’il avait mangé, le jeune homme a répondu très froidement “Des humains”.

Les analyses toxicologiques doivent encore déterminer s’il avait ingurgité des drogues, mais elles ont déjà pu établir que ni héroïne, ni cocaïne, ni marijuana ne se trouvait dans son sang. On le soupçonne d’avoir consommé des “bath salts”, des drogues de synthèse.

Sur sa chaîne YouTube, Austin Harrouff montrait déjà un comportement inquiétant. “J’ai une partie de moi qui est psychopathe, et une partie normale. Je perds la tête, aidez-moi à la retrouver”, disait-il.





Le FBI a obtenu un mandat l'autorisant à examiner des courriels reliés au serveur privé de l'ancienne secrétaire d'Etat Hillary Clinton, rapportent ce dimanche soir plusieurs médias américains.

 

Ce mandat va permettre au FBI d'étudier ces courriels afin de déterminer si leur teneur ne contredit pas le résultat de l'enquête qu'il avait déjà menée sur le serveur privé de courriels utilisé par Hillary Clinton lorsqu'elle dirigeait la diplomatie américaine, de 2009 à 2013.

Aucun représentant du FBI n'était immédiatement disponible pour évoquer les informations.

La candidate démocrate pensait être débarrassée de cette affaire qu'elle porte comme une croix depuis les primaires et qui a contribué à accentuer la désaffection de l'opinion publique à son égard.

« Vous avez violé la loi »

John Podesta et Robby Mook, respectivement président et manager de la campagne démocrate, ont vivement critiqué le directeur du FBI James Comey pour avoir informé dans un courrier les parlementaires américains que l'agence allait examiner de nouveaux courriels rédigés par Hillary Clinton à partir d'une messagerie personnelle lorsqu'elle était secrétaire d'Etat.

Dimanche, le chef de file des démocrates au Sénat, Harry Reid a adressé dimanche un courrier à James Comey, laissant entendre qu'il avait violé le « Hatch Act » qui interdit d'utiliser une fonction publique gouvernementale pour influencer une élection.
« Avec vos mesures partisanes, vous avez violé la loi », a écrit le sénateur du Nevada.

« Des informations explosives »

Dans ce communiqué, Harry Reid accuse le patron du bureau fédéral d'investigation de faire « deux poids deux mesures » et d'avoir une approche partiale dans la divulgation de certaines informations.

Le sénateur va plus loin et soutient qu'« il est devenu clair » que le FBI possède « des informations explosives » sur les étroites relations que Donald Trump et ses principaux entretiennent avec le gouvernement russe.

La lettre de James Comey, envoyée en dépit des objections de responsables du département de la Justice, va plonger les derniers jours de la campagne dans un tourbillon médiatique. Donald Trump qui est en retard dans les sondages y voit la démonstration qu'Hillary Clinton est, comme il l'affirme, corrompue et indigne de confiance.

Des messages illicites

Selon des sources proches du département de la Justice, ce dernier n'aurait pas empêché le FBI d'obtenir le mandat recherché afin d'accélérer le processus.
De source proche de l'enquête, on expliquait vendredi que ces courriels ont été découverts dans le cadre d'une enquête séparée visant Anthony Weiner, mari séparé de la conseillère Huma Abedin travaillant pour Hillary Clinton.

Anthony Weiner, ancien parlementaire démocrate de l'Etat de New York, est la cible d'investigations pour des messages illicites adressés à une adolescente de 15 ans en Caroline du Nord.

Son avance dans les sondages diminue

Les agents fédéraux auraient découvert dans l'ordinateur portable de d'Anthony Weiner des éléments qui les ont conduits à penser qu'une enquête complémentaire était nécessaire dans l'affaire des courriels d'Hillary Clinton.

Avant la publication de la lettre de James Comey, Hillary Clinton comptait une solide avance sur Trump dans les sondages. Cette avance s'est, depuis, réduite.

 Avec Ouest France


Donald Trump sait faire sensation partout ou il passe. Même lorsqu'il ne s'agit que d'une statue de lui. Sauf que cette fois-ci, le milliardaire se serait peut-être passé de la publicité qui lui a été faite.


L'espace de quelques heures, les passants de l'Union Square à New York ont pu admirer l'anatomie de leur candidat républicain à la Maison Blanche : Donald Trump. Seul problème, la statue était, disons, peu
flatteuse pour l'homme d'affaires. Montré les mains croisées sur un ventre clairement beaucoup trop gros, Trump n'est pas à son avantage. Mais malheureusement pour le magnat de l'immobilier, la caricature de n'arrête pas là. Outre sa chevelure presque irréelle et bien trop jaune pour être vraie, c'est un "petit" détail anatomique qui a provoqué l'hilarité des passants new-yorkais. 


On y voit en effet Trump avec un tout petit pénis, et sous la statue, une plaque commente : "The emperor has no balls", comprenez "l'empereur n'a pas de co***les". L'oeuvre est signée du collectif anarchiste Indecline qui ne s'est pas arrêté là et a fabriqué quatre autres statues, toutes exposées dans d'autres villes du pays. Ils ont d'ailleurs fait une petite vidéo pour montrer la fabrication de ces statues caricaturales du candidat à la Maison Blanche.

La statue a été retirée

Malheureusement (ou heureusement selon certains), la statue a rapidement été enlevée de son socle par les services de la ville. En attendant, plusieurs passants ont eu le temps de prendre un selfie avec Trump et de l'admirer sous toutes les coutures. Sam Biederman, porte-parole du service des parcs de la ville a déclaré avec humour que son service était "fermement opposé à toute érection dans ses parcs, aussi petite soit elle".


 La Dépêche


Des inondations spectaculaires et "sans précédent" frappent la Louisiane et le Mississippi, dans le sud des Etats-Unis où les secours sont à pied d'oeuvre. Au moins trois personnes ont perdu la vie.


Le gouverneur démocrate de Louisiane John Bel Edwards a qualifié samedi de "sans précédent" les torrents d'eau qui dévalent le sud de son Etat. Il avait déclaré l'état d'urgence dès vendredi en raison des fortes pluies attendues encore pendant plusieurs jours. "Nous avons des niveaux records d'inondation le long des rivières et des ruisseaux", a-t-il affirmé en conférence de presse, demandant aux personnes qui ont été avisées d'évacuer la zone de quitter leurs maisons. Les riverains des zones concernées sont évacués dans des véhicules spéciaux, par bateaux ou par les airs, a poursuivi le gouverneur. En tout, plus d'un millier de résidents ont été déplacés.

Ils viennent à sa rescousse 

 Les principales routes autour de Baton Rouge se trouvent sous les eaux et des habitants, pris au piège et réfugiés sur leur toit ou dans un arbre, ou encore embourbés dans leurs véhicules, ont été secourus. C'est le cas d'une dame qui a échappé de peu à la noyade. Elle était bloquée à l'intérieur d'une décapotable quasiment sous eaux. Trois hommes ont entendu ses appels à l'aide et sont venus à sa rescousse. Ils ont tenté de briser la vitre de la voiture… sans succès. Le véhicule s’enfonçait de plus en plus dans l’eau. L’un d’eux est enfin arrivé à couper la bâche et à sortir cette dame de son véhicule complètement immergé. Mais son chien était toujours à l’intérieur… Après quelques moments d’hésitation, son sauveur a tout de même réussi à le sortir de l’eau.

Trois hommes perdent la vie 

 Un homme de 68 ans s'est par contre noyé à près de 25 km de Baton Rouge et un autre est mort en tombant dans un fossé, emporté par les eaux, selon CNN qui cite la directrice des services d'urgences locaux, Joanne Moreau. Un troisième homme est décédé, vendredi, également en Louisiane, a confirmé à CNN un responsable des pompiers de l'Etat.

"Nous connaissons l'une des pires tempêtes que nous n'avons jamais eue, avec des crues soudaines", a raconté Layton Ricks, président de la paroisse de Livingston dans les environs de Baton Rouge, au côté du gouverneur en conférence de presse.

Quelque 7.500 personnes étaient privées d'électricité vendredi soir, selon les autorités locales.



Avec RTL

12:40:00 , , ,

Un imam et son assistant ont été tués par balles samedi à proximité d'une mosquée de New York, a indiqué la police, qui n'a pas avancé de mobile.

Maulama Akonjee, 55 ans, et son assistant Thara Uddin, 64 ans, ont été touchés à la tête peu avant 14h00 dans le quartier populaire d'Ozone Park, dans l'arrondissement du Queens.
Ils ont été transportés à l'hôpital Jamaica, où le décès de l'imam Akonjee a été constaté et où l'autre homme, Thara Uddin, a succombé à ses blessures, a indiqué un porte-parole de la police à l'AFP.

La police a fait savoir qu'elle ignorait à ce stade les motivations du tireur.
«Rien n'indique dans l'enquête préliminaire qu'ils (les victimes) aient été ciblés en raison de leur foi», a dit la police à des journalistes.

Sarah Sayeed, du bureau du maire de New York, a cependant souligné que la police examinait ce double meurtre «sous tous les angles», y compris celui d'un crime motivé par la haine religieuse.

Un homme soupçonné d'être l'auteur des coups de feu, et actuellement en fuite, s'est approché des deux victimes par derrière. Des témoins ont vu le suspect s'éloigner du lieu avec une arme de poing après les tirs, d'après la police.

Selon des médias américains, les deux hommes ont été tués alors qu'ils sortaient de la mosquée Al-Furqan Jame Masjid après la prière, en tenue religieuse.

«Quand un responsable religieux est tué en plein jour dans les rues du Queens, nous devons rester une communauté unie et demander justice!», a tweeté le représentant du quartier au sein du conseil municipal de la ville, Eric Ulrich.

Selon des images diffusées sur Twitter, quelques centaines de personnes se sont rassemblées samedi soir près de la scène du crime, criant «Nous voulons que justice soit faite».

Une importante communauté musulmane, principalement originaire du Bangladesh, vit à Ozone Park.

Bien que la police ait déclaré ne pas disposer pour le moment d'indices liant le double meurtre à la religion et ne pas avoir d'indications sur l'identité du tueur, des musulmans ont estimé que l'imam et son assistant avaient été victimes de l'islamophobie.
«C'est un crime motivé par la haine, de quelque manière qu'on le considère», a déclaré Kobir Chowdhury, qui dirige la mosquée Masjid Al-Aman à Brooklyn, proche du lieu du double meurtre.

«C'est de la haine envers l'humanité, c'est de la haine envers les musulmans, ce sont des islamophobes qui causent ce genre de problèmes», a affirmé ce religieux.
«Quand on garde le silence, on permet à ces crimes de continuer», a déclaré Afaf Nasher, directrice de la principale association américaine de défense des musulmans CAIR (Council on American-Islamic Relations) pour la région de New York.

La question de la position des musulmans aux États-Unis et de l'islamophobie suscite de nombreuses polémiques depuis une série d'attentats sur le sol américain, dont certains ont été revendiqués par l'organisation djihadiste État islamique (EI), et depuis la proposition consécutive du candidat républicain à la Maison-Blanche Donald Trump d'interdire temporairement l'entrée des étrangers musulmans aux États-Unis.

 L'imam Maulama Akonjee.
Avec AFP



Le ministère américain de la Justice a rendu public un rapport très sévère envers la police de Baltimore, seize mois après la mort de Freddie Gray peu après son arrestation.


En avril 2015, la mort de Freddie Gray, un Africain-Américain de 25 ans, après son arrestation brutale par la police, déclenche des manifestations et des violences à Baltimore. Peu après, à la demande de la maire de la ville, la ministre américaine de la Justice Loretta Lynch annonce une enquête sur la police de Baltimore. Quatorze mois plus tard, les conclusions sont sans appel. Le rapport rendu public le 10 août “documente de façon exhaustive des pratiques clairement inconstitutionnelles et discriminatoires”, résume le quotidien local The Baltimore Sun.  

Les conclusions du rapport sont relayées par toute la presse américaine en des termes forts. The New York Times pointe dans son éditorial “une culture policière fondée sur le racisme”. The Atlantic titre sur l’“horreur” des pratiques de la police de Baltimore.

Politiques intentionnelles

Dans son édito, The Baltimore Sun insiste sur le caractère systémique des abus identifiés par le rapport. “Les pratiques décrites par le ministère, dont potentiellement des centaines de milliers d’interpellations et de fouilles inconstitutionnelles, un usage excessif et non nécessaire de la force, des consignes discriminatoires, des violations des droits garantis par le premier amendement de la Constitution et des plaintes d’agression sexuelle ignorées sur une base sexiste, ne sont pas l’oeuvre de quelques ‘brebis galeuses’”, souligne le journal, reprenant une expression employée par la maire de la ville, Stephanie Rawlings-Blake. “Elles sont le produit de politiques intentionnelles et d’une incroyable impunité et elles continuent jusqu’à aujourd’hui.”
Les statistiques mentionnées dans le rapport disent l’ampleur des discriminations ethniques dans les pratiques policières. Les Noirs ont presque trois fois plus de chances d’être interpelés à Baltimore ; sur 410 personnes interpelées plus de dix fois entre 2010 et 2015, 95 % étaient noires.

La “tolérance zéro” épinglée

Le rapport critique aussi la politique de “tolérance zéro” promue notamment par l’ancien maire Martin O’Malley au début des années 2000. Les interpellations et fouilles massives ont conduit, selon l’enquête, à “des violations répétées des droits civiques et des droits garantis par la Constitution, ce qui a érodé un peu plus la confiance de la population à l’endroit de la police”.
Pour changer les choses, le Baltimore Sun appelle à un “remaniement complet” du département de police de Baltimore. The New York Times note pour sa part que “des enquêtes similaires à celle de Baltimore ont commencé dans près d’une douzaine de villes, dont Chicago, Cleveland et Ferguson, dans le Missouri”, où a été tué le jeune Michael Brown en 2014. “Le ministère de la Justice de la prochaine administration maintiendra-t-il cette pression en faveur de réformes ? Cela dépend beaucoup du résultat de l’élection présidentielle”, conclut le journal.

Courrier International

04:17:00 , ,



50 Cent de son vrai nom Curtis James Jackson III, a un projet humanitaire pour l’alimentation d’un milliard d’enfants démunis d’Afrique d’ici fin 2016.



 C’est la première étape de son grand projet “Responsabilité sociale individuelle”. Notons que le rappeur a commencé le projet africain avec le lancement de « Street King » (SK) boisson énergétique en collaboration avec les Pure Growth Partners. Maintenant connue sous le nom de « Plan SK Energy », la boisson a été classée numéro 1 des boissons énergétiques des années 2013 et 2014. 

 La société a déjà fourni des millions de repas aux enfants vivant en Afrique. De nombreuses autres entreprises se joignent à ce projet social incroyable.


On peut être la fille du président des Etats-Unis et s’adonner à des activités illégales. Enfin, tout de même pas de quoi fouetter un chat pour Malia Obama qui a été surprise en train de fumer un joint.

Malia, la fille aînée de Barack et Michelle Obama, effectuera bientôt sa rentrée universitaire à Harvard. Pour l’instant, elle profite encore des mois d’été pour se détendre avant que les choses sérieuses ne commencent. En juillet, elle a notamment assisté au festival de musique Lollapalooza à Chicago. Une vidéo de la jeune femme en train de twerker dans la boue pendant le festival était déjà parue sur internet.

Mais c’est maintenant pour une activité un peu plus illégale que Malia est mise en avant. Le site RadarOnline a obtenu une vidéo sur laquelle on peut voir la fille du président des Etats-Unis en train de partager un joint avec un ami. De nombreux internautes ont volé au secours de la jeune femme et ont pris sa défense, arguant qu’il était normal pour une adolescente de faire ce genre d’expérience et que si elle n’avait pas été la fille de Barack Obama, personne n’en aurait rien eu à faire, et ce n’est pas faux.




RTL

13:28:00 , ,

Rick Ross est fier de son nouveau corps ! Sa perte de poids express lui a valu le titre de « weight-loss-boss 2016″ du magazine Men’s Health. Jolie performance !


Rick Ross a réalisé l’exploit de perdre soixante-quinze kilogrammes en deux ans ! Vous vous souvenez du big Rick Ross? En 2013, il avait de quoi faire bugger les balances :



Depuis 2014, le rappeur a décidé de maigrir,et il n’a pas fait les choses à moitié ! Son régime intensif l’a totalement fait changer d’apparence. L’année dernière, il enregistrait déjà une perte de poids record, ce qui lui a valu un article dédié dans le magazine XXL :


Cette année, le rappeur vient d’être à nouveau récompensé pour son effort hors du commun. Il a été élu « boss des pertes de poids » de l’année 2016 par le magazine « Men’s Health » qui lui a consacré un dossier :

« Merci à Mens Health Mag. -Renzel »



« Le plus grand des boss. Le plus grand. » 



Entre temps, le rappeur a posté une vidéo de ses entraînements sur Snapchat, et on peut voir qu’il n’a pas chômé :

Trace TV

Est-ce le nouveau dérapage du candidat républicain à la Maison-Blanche, Donald Trump ?

Lors d’un meeting jeudi à Portland au nord-est des États-Unis, le milliardaire New-yorkais s’en est pris une nouvelle fois aux immigrés, qui selon lui, représentent un danger sur le plan sécuritaire pour son pays.

Citant plusieurs pays musulmans et faisant référence à l'affaire d'un étudiant marocain arrêté aux États-Unis pour un projet d'attentat, puis le cas d'un réfugié ouzbek poursuivi pour avoir cherché à former des recrues à la fabrication de bombes. 


Trump a lâché : "Nous avons affaire à des animaux", et de poursuivre "Vous avez le choix entre être intelligent, rusé et dur ou être très, très bête et aveugle. Hillary Clinton veut en accueillir par centaines de milliers", a déclaré Trump à ses partisans.

Visiblement, le candidat républicain mise sur la stratégie de la peur, pour faire son entrée au Bureau Ovale. Wait and see… 


Le Chaba

Loin de la Maison-Blanche, l'adolescente a troqué son costume de « fille de président » pour l’uniforme de serveuse... Le temps d'un job d'été.



Pendant que Malia Obama profite de ses vacances d’été pour s’amuser avec ses amis et twerker à des festivals de musique, la seconde fille du président des États-Unis a trouvé un petit job d’été… Légèrement moins fun.

En effet, Sasha Obama a été embauchée au Nancy’s, un restaurant de fruits de mer situé sur l'île de Martha’s Vineyard, au sud de Cape Cod (Massachusetts), et très prisé par la jet set américaine et les présidents des États-Unis, nombreux à y établir leurs résidences secondaires.

Une employée comme tout le monde, ou presque

Selon les informations du Boston Herald, la jeune fille de 15 ans y apprendrait toutes les ficelles du métier, du travail à la caisse à la préparation des tables. Et si la fille de Michelle Obama se présente sur son lieu de travail sous son vrai nom, Natasha, l'adolescente n'a pas réussi à passer inaperçue très longtemps : « On se demandait pourquoi il y avait six personnes qui aidaient cette fille, puis on a découvert qui elle était » raconte un employé dans les colonnes du Boston Herald.

Ainsi, Sasha Obama serait une employée presque comme les autres, si l’on fait abstraction des six agents mobilisés pour assurer la sécurité de la fille de président aux alentours du restaurant.



 




Le Figaro



Une nouvelle polémique enfle autour de Melania Trump, l’épouse du candidat républicain à la Maison Blanche. 

Après le plagiat d’un discours de Michelle Obama, elle aurait menti sur son parcours. À tel point que le site internet de Melania Trump a été supprimé. Une suppression que cette dernière a justifié sur Twitter en expliquant que les informations contenues sur ce site «ne reflètent pas de manière adéquate ses affaires et intérêts professionnels actuels».

Pour autant, la vraie raison est probablement à aller chercher ailleurs. De fait, la suppression de ce site s’inscrit en pleine polémique autour d’un diplôme renseigné par la femme du candidat républicain sur la biographie présente sur ce site. 

Un diplôme fantôme


Une biographie qui prétendait que Melania Trump avait obtenu un diplôme de design et architecture à l’université de Slovénie, avant de privilégier sa carrière de mannequin.
Pourtant, cette biographie est la seule à faire mention de ce diplôme. Dans aucune interview, discours ou apparition publique, la femme de Donald Trump n’en a parlé. Elle avait mentionné sur la chaîne MSNBC avoir étudié le design et l’architecture, mais mettait surtout en avant sa carrière de mannequin. 
Selon le New-York Times, elle a en réalité rapidement abandonné son école d’architecture pour se consacrer au mannequinat et n’a donc jamais obtenu le diplôme. Il s’agirait donc d’un nouveau mensonge, qui défraie une fois de plus la chronique outre-Atlantique. En l’état, le site de Melania Trump renvoie pour sa part sur celui de la «Trump Organization».

Avec Direct Matin


Considéré par beaucoup comme le meilleur basketteur de tous les temps, Michael Jordan, seul propriétaire NBA Afro-Américain, a décidé de prendre la parole dans une déclaration officielle face au nombre grandissant de noirs tués dans l’incompréhension aux US.

 
Un message très fort :

En tant qu’Américain fier, en tant que père qui a perdu son propre père (James Jordan a été assassiné par 2 hommes en 1993 durant un vol en bordure de route en Caroline du Nord, l’un des deux est admissible à la liberté conditionnelle cette année, ndlr) dans un acte insensé de violence, et en tant qu’homme noir, je suis profondément troublé par la mort d’Afro-Américains aux mains des forces de l’ordre et en colère face aux lâches et haineux officiers de police qui les
prennent pour cibles. Je pleure avec les familles qui ont perdu leurs êtres chers, je ne connais que trop bien leur douleur.
Dans sa lettre, Jordan annonce qu’il fait don d’1 million de dollars chacune à 2 organisations qui œuvrent pour construire une relation de confiance entre les représentants de la loi et les communautés dans lesquelles ils travaillent : l’Institute for Community-Police Relations et le NAACP Legal Defense Fund.

Même si je sais que ces contributions ne suffiront pas à elles seules à résoudre le problème, j’espère que les ressources aideront ces deux organisations à produire une différence positive. Ces trois dernières décennies, j’ai pu constater le dévouement des représentants de la loi qui me protègent moi et ma famille. J’ai le plus grand des respects pour leur sacrifice et leur service. Je reconnais également que pour beaucoup de personnes de couleur, leurs expériences avec les forces de police ont été différentes de la mienne. J’ai décidé de parler dans l’espoir que nous pouvons nous rassembler, en tant qu’Américains, et à travers un dialogue de paix et l’éducation, pour atteindre un changement constructif.
J’ai été élevé par deux parents qui m’ont appris l’amour et le respect des gens quels que soient leur race ou leur passé, je suis donc attristé et frustré par les divisions et les tensions raciales qui semblent empirer dernièrement. Je sais que ce pays vaut mieux que ça, et je ne peux plus me taire. Nous devons trouver des solutions pour assurer aux personnes de couleurs un traitement juste et égal ET que les officiers de police – qui mettent leur vie en jeu tous les gens pour nous protéger tous – soient respectés et soutenus.
Nous avons la chance de vivre dans le meilleur pays du monde – un pays qui a fourni à ma famille les plus grandes opportunités. Les problèmes auxquels nous faisons face ne sont pas apparus du jour au lendemain et ne seront pas résolus demain, mais si nous travaillons tous ensemble, nous pouvons favoriser une meilleure compréhension, un changement positif et créer un monde plus en paix pour nous, nos enfants, nos familles et nos communautés.

basket-infos


Une autre bavure policière vient encore d’être commise. Selon nos confrères de jeune Afrique, la police a tiré sur un jeune afro-américain non armé, couché à même le sol et les bras levés vers le ciel. Une autre histoire qui vient alimenter la polémique sur les multiples bavures policières racistes aux États-Unis.

Les faits se sont produits lundi dans la mi-journée. Charles Kinsey, un médecin thérapeute noir américain de Miami, est allé secourir l’un de ses patients, un autiste égaré dans les rues de Floride. Comme ce patient venait de s’échapper du centre où il était interné et qu’il bloquait la circulation, le médecin a pris l’initiative de le prendre en charge et de le ramener lui-même au centre. Il était alors loin d’imaginer la mésaventure qui allait lui arriver. L’un des automobilistes appellent la police qui se pointe quelques minutes après.

Charles Kinsley était déjà aux côtés de son patient avant l’arrivée de la police. Il se met alors à terre, les mains bien levées pour montrer aux policiers qu’ils ne représentent aucun danger pour la patrouille présente. En plus de cela, Charles Kinsley va même crier : « Tout ce qu’il a dans les mains, c’est un camion-jouet pour enfant », une manière de rassurer les policiers qu’il n’y a aucune inquiétude.

Malgré tous ces efforts de persuasion, la police tire à trois reprises. Heureusement, le médecin est juste blessé. « Je pensais qu’il ne m’arriverait rien du moment que je restais les mains en l’air… jamais je n’aurais pensé qu’ils me tireraient dessus. J’avais tort » déclare la victime. « Il n’y a aucune raison de faire feu sur un homme qui essaie d’aider, et en plus met ses mains en l’air à l’arrivée de la police », a-t-il ajouté.




AfrikMag


Les délégués de la convention républicaine ont fait de Donald Trump leur candidat officiel, malgré de nombreux détracteurs du milliardaire, au sein du parti.
:
Le milliardaire américain Donald Trump a été désigné officiellement, dans la nuit de mardi à mercredi, par les délégués de la convention républicaine, pour être candidat à la Maison Blanche. 

C'était une cérémonie dont l'issue laissait peu de place au suspense. Dans la nuit de mardi à mercredi, le milliardaire américain et populiste Donald Trump a été formellement désigné comme candidat à la Maison Blanche par les délégués de la convention républicaine rassemblés à Cleveland. 

"Quel grand honneur d'être le candidat républicain investi pour la présidentielle des Etats-Unis. Je travaillerai dur et je ne vous laisserai jamais tomber", a réagi sur Twitterle candidat new-yorkais, qui a réussi sa conquête du parti contre toute attente, concluant son bref message par l'un de ses slogans favoris: "L'Amérique d'abord!".


"New York, New York"

Une par une, les délégations des 50 Etats fédérés et des territoires américains ont annoncé au micro le résultat de leurs primaires, après avoir profité de l'occasion pour glisser un court message publicitaire sur leurs pommes de terre (Idaho) ou l'absence d'impôt local sur le revenu (Floride, New Hampshire...). 

L'annonce symbolique des voix de la délégation de New York, qui par ses 89 votes a fait passer Donald Trump au-dessus de la majorité requise, a été faite par le fils du milliardaire, Donald Jr. "Félicitations papa, on t'aime", a-t-il déclaré face aux délégués, entouré notamment de son frère Eric et de ses soeurs Ivanka et Tiffany, dans une ambiance bon enfant dans la salle omnisports de Cleveland. Debout, des délégués et invités présents dans les tribunes ont rugi à l'annonce du passage de la majorité, l'orchestre jouant l'air "New York, New York".



Melania Trump, l'épouse de Donald Trump, s'est largement inspirée d'un discours de Michelle Obama à l'occasion de sa première prise de parole lundi soir à Cleveland lors de la convention républicaine. 

Michèle Obama est-elle l'exemple à suivre pour Melania Trump? Lundi soir, lors du lancement de la convention républicaine à Cleveland, l'épouse de Donald Trump a pris officiellement la parole pour la première fois.  

Des similitudes plus que troublantes

Si elle s'est employée à vanter les mérites de son mari, un "incroyable leader prêt à diriger le pays", l'ancien mannequin de 46 ans s'est également illustrée pour avoir plagié, presque mot pour mot, un discours de l'actuelle Première dame des Etats-Unis. La ressemblance entre les deux allocutions est frappante. 

Le journaliste américain Jarrett Hill a été l'un des premiers à relever ces nombreuses équivalences. "OMG. Melania. C'était littéralement une ligne entière de Michelle Obama en 2012", a tweeté le reporter en prenant l'exemple d'une phrase précise prononcée par Melania Trump. 

Mais après vérification, l'épouse du magnat de l'immobilier ne s'est pas inspirée d'un discours de 2012 de Michelle Obama, mais d'un autre, prononcé en 2008, lors de l'investiture de son époux. 

Deux discours plus que proches

Plusieurs journalistes américains se sont amusés à comparer les deux prises de parole. 








La traduction de ces passages ne laisse pas de place au doute.  

"Mes parents m'ont inculqué les valeurs selon lesquelles il faut travailler dur pour obtenir ce que l'on attend de la vie, qu'une parole est un engagement, que l'on fait ce que l'on dit, que l'on tient sa promesse et que l'on traite les gens avec respect [...] Ils m'ont appris à afficher les valeurs et la morale dans ma vie de tous les jours. C'est la leçon que je transmettrai à notre fils [...] Et nous devons transmettre ces leçons aux nombreuses générations qui viennent parce que nous voulons que nos enfants sachent que dans cette nation, la seule limite qui s'impose à la réussite est celle de la force de leurs rêves et leur volonté de faire en sorte qu'ils se réalisent", a déclaré Melania Trump. 

En 2008, Michelle Obama avait lancé à la tribune: "Barack et moi avons été élevés dans le respect de tant de valeurs semblables: il faut travailler dur pour obtenir ce que l'on attend de la vie, qu'une parole est un engagement, que l'on fait ce que l'on dit, que l'on tient sa promesse et que l'on traite les gens avec dignité et respect, même lorsque vous ne les connaissez pas et même si vous n'êtes pas d'accord avec eux [...] Barack et moi voulons transmettre ces valeurs aux générations qui viennent [...] Parce que nous voulons que nos enfants sachent que dans cette nation, la seule limite qui s'impose à la réussite est celle de l'ampleur de leurs rêves et leur volonté de faire en sorte qu'ils se réalisent". 

Lors d'une interview accordée à NBC, Melania Trump a confié qu'elle avait, en grande partie, écrit son discours seule. "Je l'ai lu une fois et c'est tout. Parce que je l'ai écrit... avec aussi peu d'aide possible".  



L'Express 

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