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Une dizaine de chars turcs ont lancé l'opération "Bouclier de l'Euphrate" en Syrie ce mercredi matin, dans une offensive visant à la fois Daech et les milices kurdes.

 

Une dizaine de chars turcs sont entrés en territoire syrien ce mercredi 24 août au matin et tirent actuellement en direction de positions tenues par le groupe Etat islamique dans la localité frontalière de Jarablos, comme le constate l'AFP. 
Ankara avait annoncé au cours du week-end vouloir jouer un rôle plus actif en Syrie : cette opération, baptisée "Bouclier de l'Euphrate", est la plus ambitieuse de la Turquie depuis le début du conflit syrien en 2011. Le vice-président américain Joe Biden est arrivé en milieu de matinée à Ankara où il doit rencontrer le Premier ministre Binali Yildirim, puis le président Recep Tayyip Erdogan.

L'armée turque, soutenue par les forces de la coalition internationale antidjihadiste, a lancé avant l'aube (4h heures locale) l'opération, qui engage également ses avions de combat et ses forces spéciales. Des F-16 turcs, accompagnés d'avions de la coalition, ont largué des bombes sur des sites djihadistes. 

Vers 7h heures locale, un communiqué officiel du Bureau du Premier ministre confirmait le déclenchement des hostilités :

"Les forces armées turques et les forces aériennes de la coalition internationale ont lancé une opération militaire visant à nettoyer le district de Jarablos de la province d'Alep de l'organisation terroriste Daech".

Des centaines de rebelles syriens soutenus par Ankara (Armée syrienne libre), acheminés par bus, se sont également préparés à une offensive sur le terrain. Ce mercredi en fin de matinée, ils avaient pénétré sur 3 kilomètres à l'intérieur du territoire syrien.


Objectif : damer le pion aux milices kurdes

L'état-major vise une opération rapide. Le ministre de l'Intérieur Efkan Ala, premier responsable turc à s'exprimer après le déclenchement de l'offensive, a déclaré :

"Je pense que cette menace sera éradiquée dans un court délai."

L'agence de presse progouvernementale Anadolu a précisé que sur 12 cibles visées par les chasseurs, 11 ont déjà été détruites. Des sources militaires ont par ailleurs indiqué à la télévision l'artillerie avait éliminé 70 cibles.



Un char d'assaut turc en direction de la Syrie, ce mercredi 24 août. (BULENT KILIC / AFP)

Bien que l'attaque vise ses ennemis, le régime de Bachar al-Assad a dénoncé ce mercredi l'incursion turque sur son territoire, pointant une "violation flagrante" de la souveraineté du pays.

Les Kurdes également visés

Jarablos est le dernier point de passage contrôlé par Daech à la frontière turco-syrienne depuis sa retraite de Minbej. Ankara avait ordonné mardi soir aux habitants de Karkamis, qui fait face à Jarablos du côté turc, d'évacuer la ville pour "des raisons de sécurité".
Mardi, un responsable turc avait indiqué que cette opération était également motivée par la volonté d'Ankara d'empêcher la prise de contrôle de Jarablos par les FDS, qui combattent également Daech dans la zone.

L'offensive a pour but de "mettre un terme" aux problèmes à la frontière turque en général et vise aussi les milices kurdes, a confirmé ce matin le président turc Recep Tayyip Erdogan. Un sujet qui devrait largement occuper les discussions avec Washington ce mercredi : les Forces démocratiques syriennes (FDS), alliance de combattants kurdes et de groupes armés arabes, sont en effet soutenues par la coalition.

OBS


Ankara accuse Fethullah Gülen d'avoir orchestré une tentative de coup d'Etat avorté qui a fait 246 morts, sans compter les putschistes, ainsi qu'au moins 1.400 blessés.



 Deux emprisonnements à perpétuité, 1.900 ans de prison et plus de 2 millions de jours d'amende administrative: telle est la sanction que la justice turque trouve appropriée pour punir le prédicateur Fethullah Gülen, accusé d'être l'instigateur du putsch manqué, annonce mardi l'agence turque Anadolu.

Depuis la fin des années 1990, Fethullah Gülen vit en exil aux Etats-Unis, mais il conserve encore une certaine influence en Turquie. Il a tout d'abord aidé Recep Tayyip Erdogan à parvenir au pouvoir, mais leur vision de la gestion du pays a divergé.

Depuis le putsch raté du 15 juillet, la Turquie demande avec insistance à Washington l'extradition de l'ex-imam turc, bête noire du président Recep Tayyip Erdogan, et a reproché amèrement jusqu'ici aux Etats-Unis de ne montrer aucun empressement à se saisir de la demande d'extradition.

Avec Sputnik 


Un mois après le coup d'Etat manqué attribué par le président turc Erdogan à Fethullah Gülen, le prédicateur turc en exil réclame dans une tribune publiée dans Le Monde une « enquête internationale » sur les événements du 15 juillet.




Installé aux Etats-Unis depuis 1999 et alors que les autorités turques réclament avec insistance son extradition après la tentative de putsch qui a fait 273 morts et 2 000 blessés, Fethullah Gülen a décidé de prendre la plume. Dans une tribune publiée par le quotidien Le Monde, il qualifie de « diffamation » la thèse selon laquelle il aurait été en mesure de « pousser l’armée à mener un putsch » à 10 000 kilomètres de distance.

Le prédicateur réclame la création d’une commission internationale pour mener des investigations indépendantes sur le coup d’Etat manqué, qu’il décrit comme « le pire acte terroriste » perpétré sur le sol turc. « Si le dixième des accusations dirigées contre moi sont établies, écrit-il, je m’engage à retourner en Turquie et à subir la peine la plus lourde »

Car Fethullah Gülen assure s’être opposé toute sa vie aux interventions militaires. Il qualifie de « félons » et d’« individus qui ont trahi son idéal » tous les militaires sympathisants de son mouvement Hizmet qui auraient rejoint les putschistes. Il s’en prend aussi violemment au pouvoir turc, l’accusant de mener « une chasse aux sorcières destinée à renforcer le régime ».

RFI

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a rejeté vertement les critiques venues de toutes parts. Les purges massives, qui se passent désormais dans la presse, l'entreprise et la police, ne sont pas les affaires de la communauté internationale.


"Certains nous donnent des conseils. Ils se disent inquiets. Mêlez-vous de vos affaires!", a lancé  Erdogan depuis son palais présidentiel à Ankara. "Ces pays dont les leaders ne sont pas inquiets pour la démocratie turque, ni pour la vie de nos citoyens et leur avenir alors qu'ils sont tellement préoccupés par le sort des putschistes, ne peuvent pas être nos amis".


A ce jour, plus de 18.000 personnes ont été mises en garde à vue à un moment donné, dont près de 10.000 sont poursuivies et placées en détention préventive. Quelque 50.000 passeports ont été annulés, une "précaution contre le risque de fuite des terroristes", a précisé un responsable turc, alors que la Turquie s'est installée dans l'état d'urgence pour trois mois. 17 journalistes dont des figures de premier plan ont été inculpés pour appartenance "à une organisation terroriste" et écroués. Tous les secteurs de la fonction publique sont touchés. Le Premier ministre Binali Yildirim a par ailleurs affirmé que l'armée était maintenant "nettoyée" de ses éléments pro-Gülen. 149 généraux ont été limogés.


Vendredi, la purge s'est étendue aux secteurs des affaires. Mustafa Boydak, président du conglomérat familial Boydak Holding, a été arrêté à Kayseri (centre), en même temps que deux dirigeants de son groupe, Sukru Boydak et Halit Boydak, a rapporté l'agence de presse progouvernementale Anadolu.

Des mandats d'arrêt ont également été délivrés contre l'ex-président de ce groupe qui a des intérêts dans l'énergie, la finance et les meubles, ainsi que contre deux proches.
Vingt-et-un journalistes ont aussi comparu devant un tribunal, dont Nazli Ilicak, ancienne députée, licenciée du quotidien progouvernemental Sabah en 2013 après avoir critiqué des ministres empêtrés dans un scandale de corruption -- orchestré, selon Ankara et sans qu'aucne preuve ne soit avancée, par Fethullah Gülen.


Le président turc a toutefois promis d'abandonner les poursuites en justice lancées contre des personnes accusées de l'avoir insulté. Un des leaders de l'opposition était notamment poursuivi ainsi que plus de 2.000 autres personnes, selon des chiffres officiels.

Les combats contre les Kurdes ont repris. Alors qu'Erdogan promet que la purge dans l'armée ne freinera pas la lutte contre l'organisation état islamique, c'est contre les Kurdes de Turquie que les premiers combats ont repris dans la nuit de vendredi à samedi. Il y aurait huit morts dans les rangs de l'armée et 35 parmi les combattants du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), selon l'armée turque. Vingt-cinq soldats ont également été blessés dans cet échange de tirs dans la province de Hakkari, frontalière de l'Irak et de l'Iran. L'armée turque accuse le PKK de l'avoir attaqué.
Humanite

La Turquie a décrété mercredi jour de deuil national à la suite de l’attentat. A l’heure actuelle, le Premier ministre turc privilégie la piste de l'Etat islamique.



Le bilan de l'attentat terroriste qui a ensanglanté mardi soir l'aéroport Atatürk d'Istanbul , s'alourdit au fil des heures. Alors qu'en début de journée Ankara parlait de 36 morts et 147 blessés, désormais le dernier bilan s'établi à 41 personnes tuées et 239 blessées (dont 109 on d'ores et déjà quitté l'hôpital).
Parmi les personnes décédées 13 sont des ressortissants étrangers (dont 3 auraient en fait une double nationalité). Selon un officiel turc qui souhaite garder l'anonymat, les victimes étrangères comprennent cinq Saoudiens, deux Irakiens, un Tunisien, un Ouzbek, un Chinois, un Iranien, un Ukrainien et un Jordanien.
A ce stade, selon le Premier ministre Manuel Valls, en déplacement à Lens, dans le Pas-de-Calais, il n'y a "pas d'informations sur des Français qui seraient victimes de cet attentat".

Trois assaillants

Selon les autorités, des explosions ont d'abord eu lieu à l'entrée du terminal des vols internationaux vers 22H00 (19H00 GMT). Trois assaillants ont mitraillé des passagers ainsi que des policiers en faction, une fusillade a éclaté puis les kamikazes se sont fait sauter.

« Trois kamikazes ont mené une attaque », a indiqué Vasip Sahin, le gouverneur d'Istanbul, aux journalistes.
La télévision turque a de son côté diffusé des images très impressionnantes sur lesquelles on voit notamment un policier tirer sur un assaillant puis celui-ci, blessé, tomber au sol en actionnant sa charge.

Condamnations internationales

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a rapidement exhorté la communauté internationale à une « lutte commune » contre le terrorisme, dans un communiqué. « Cette attaque, qui s'est déroulée pendant le mois du ramadan, montre que le terrorisme frappe sans considération de foi ni de valeurs », a dit le chef de l'Etat.
A l'étranger, les condamnations de cet acte de terrorisme ont rapidement afflué. Le président français François Hollande a « condamné fermement » un « acte abominable » tout en appelant lui aussi à un renforcement de la coopération internationale en matière de lutte antiterrorisme.
A Washington, un porte-parole de la Maison blanche a condamné ces attaques « abominables » tout en promettant le soutien des Etats-Unis à Ankara. Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a « condamné l'attaque terroriste » et a lui aussi réclamé une coopération internationale accrue.


Le trafic a repris dans la nuit

Binali Yildirim a visité dans la nuit un grand hôpital proche de l'aéroport , et s'est rendu au chevet des blessés. « Je vous présente mes condoléances », a-t-il lancé à son arrivée à l'hôpital aux gens réunis devant l'entrée, accompagné d'un imposant dispositif de sécurité, selon les chaînes de télévision.
Si tous les vols ont été ont été suspendus au départ d'Atatürk, le plus grand aéroport de Turquie et le 11e dans le monde, avec ses 60 millions de passagers en 2015, ils ont repris à partir de 03H00 locales (00H00 GMT).
D'après une source officielle, les drapeaux seront mis en berne pour la journée, mercredi ayant été décrété jour de deuil national par la Turquie. En octobre dernier une mesure similaire avait été adoptée après un double attentat-suicide qui avait coûté la vie à 103 personnes près de la principale gare d'Ankara .

  Les vidéos d'explosions ICI 


Les Échos   


Le président turc Recep Tayyip Erdogan qui devait assister aux funérailles de Mohamed Ali, a décidé d'écourter son séjour à Louisville (Kentucky, centre), vexé par l'accueil que lui ont réservé les organisateurs, ont rapporté les médias turcs.


M. Erdogan s'était vu refuser avant cette visite de prendre la parole à l'occasion de la cérémonie qui doit avoir lieu vendredi. L'homme fort de Turquie accompagné notamment de son gendre, Berat Albayrak, qui est ministre de l'Energie, a assisté jeudi à la veillée mortuaire puis a décidé d'écourter brusquement son séjour qui devait initialement se poursuivre jusqu'à vendredi soir.

Selon le quotidien Hurriyet Daily News qui a cité des sources du cabinet présidentiel, M. Erdogan aurait été particulièrement vexé qu'on lui ait refusé de déposer sur le cercueil du boxeur un morceau de l'étoffe noire ornée de versets coraniques, la Kiswa, qui recouvre la Kaaba, construction cubique au centre de la grande mosquée de La Mecque.
Par ailleurs, les gardes du corps du chef de l'Etat turc et les services secrets américains auraient eu un différent en marge des obsèques, selon le quotidien et l'agence de presse Dogan.

Mohamed Ali est vénéré dans tout le monde islamique pour s'être converti à la foi musulmane en 1964 et avoir défendu les valeurs pacifiques et universelles de l'islam tout au long de sa vie.

Le déplacement de M. Erdogan, accusé d'autoritarisme par ses opposants, avait provoqué une controverse en Turquie, frappée cette semaine par des attentats à la bombe, revendiqués par les rebelles kurdes, qui ont coûté la vie à 17 personnes, renforçant davantage les craintes sécuritaires dans le pays. 

7sur7



Le mariage de la fille cadette du président turc Recep Tayyip Erdogan, Sümeyye, avec Selçuk Bayraktar, dont l’entreprise fabrique des drones, a été célébré samedi à Istanbul sous haute sécurité. 



Quelque 6.000 personnes étaient invitées au mariage, selon les médias qui ont diffusé des photos de Sümeyye, 30 ans, les cheveux recouverts du voile islamique, assise à l’avant de la voiture des mariés. Le président Erdogan et son épouse Emine ont deux garçons, Burak et Bilal, et deux filles, Esra et Sümeyye.


La cérémonie a débuté avec une lecture du Coran, selon la chaîne privée de télévision NTV. Le Premier ministre sur le départ Ahmet Davutoglu et le chef d’état-major des armées, le général Hulusi Akar, étaient les témoins de la mariée, selon NTV. Le Premier ministre pakistanais Nawaz Sharif était également présent. Après des dissensions avec M. Erdogan, M. Davutoglu avait annoncé la semaine denière son départ de la présidence du Parti de la justice et du développement (AKP, au pouvoir), et donc aussi automatiquement de l’exécutif. Sa présence au mariage semble viser à dissiper les rumeurs sur un conflit avec le chef de l’État. Plusieurs routes ont été fermées à la circulation et des barrières supplémentaires érigées autour de la salle de noces à Kucukcekmece, sur la rive européenne d’Istanbul, selon les médias.

Sümeyye Erdogan, diplômée de la London School of Economics, a conseillé l’AKP en matière de politique étrangère quand son père était Premier ministre, mais a cessé de travailler pour le parti lorsque M. Erdogan est devenu président en 2014. Elle est vice-présidente d’un groupe pro-islamique de défense des droits des femmes, l’Association pour les femmes et la démocratie. Le marié, qui a entamé ses études à l’Université technique d’Istanbul, est détenteur d’un doctorat du Georgia Institute of Technology aux États-Unis. Il est responsable technologique de l’entreprise de sa famille, Baykar Makina, qui fabrique des drones et a participé à plusieurs projets de développement des systèmes de défense de la Turquie.

 Photos:
 Sumeyye Erdogan et Selcuk Bayraktar

 Un membre des forces spéciales sécurise la zone d’Yahya Kemal Beyatli Arena, avant l’arrivée de la fille du Président Recep Tayyip Erdogan


 Des invitées arrivent avant le début des festivités


 Le President Recep Tayyip Erdogan délivre un discours aux mariés






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