Son nom a été cité dans l’affaire « Panama papers » parmi les
fortunes ayant ouvert des sociétés Offshore. Mais, aussitôt après, le
milliardaire nigérian Aliko Dangoté, première fortune africaine, s’était
fendu d’un démenti dans les colonnes du très sérieux Jeune Afrique.
Mais
pour le quotidien sénégalais Libération ce démenti ne tient pas la
route. Le journal révèle dans son édition de ce vendredi que le nom du
patron de Dangoté Cement figure bien dans les fichiers du scandale qu’il
a pu consulter. Pis, révèle toujours le journal Dangoté est
bénéficiaire économique de deux entités Offshore montées entre 2003 et
2005. Il s’agit d’Ovlas Trading Sa, une société immatriculée à Niue, un
paradis fiscal, et de Petrowest Sa, immatriculée aux Seychelles depuis
sa création le 26 janvier 2005.
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